CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

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AVANT-PROPOS DE MA PROCHAINE CRITIQUE DE CINÉMA – LE FILM: LA MÉLANCOLIE – LE DEUIL

6 août, 2024 (11:06) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

Chers Lacrteurs,

La semaine prochaine sortira en salle le nouveau film du jeune réalisateur Takuya KATO, son film intitulé  La Mélancolie est la traduction française.

Le réalisateur a exrpimé une toute autre et bien différente.

Nous ne participons en rien avec cette traduction et nous le développerons dans notre analyse, quand bien même, ces deux cinéastes sont les participants de l’idiosyncrasie du pays, divergent dans bon nombre d’éléments.

Malaraux a dit, « Le génie grec, sera mieux compris par l’opposition d’une statue grèque à une statue égyptienne que par la connaissance de cents statues grecques. »

 

 

 

PASSION

ENTRE TERRE DE SIENNE ET JAUNE DE NAPLES

Les personnages du film Passion glissent entre les tonalités de Terre de sienne et Jaune de Naples, une Passion, c’est film du jeune artiste réalisateur japonais Ryusuke Hamagouchi.

Le film s’ouvre d’après la palette d’un artiste-peintre qui a choisi sa gamme picturale et poétique, il ajoute la palette gestuelle et musicale.

Cette œuvre réalisée en 2008 est le premier film de Hamagouchi, ce dont la pire de critiques existantes, la française, se charge bien de le souligner pour le qualifier « d’hésitant ». Ceci est un absurde monstrueux. Ce cinéaste a réalisé dix films, or, si nous n’avions pas eu connaissance par nos recherches que ce film correspondait à son travail de fin d’études, la maîtrise absolue de cet artiste en matière de cinéma, nous permet aisément de qualifier son film comme celui d’un cinéaste expérimenté et mûr, pour ce qui est de la maîtrise de tous les éléments nécessaires mis en œuvre pour qu’un film soit un acquis sans conteste.

Les critiques français ? oubliez-les si vous êtes intéressés à lire une interprétation avant de vous faire vous-mêmes la vôtre.

Ils nous emmènent vers une destruction absolue.

Le film s’ouvre par des contrastes de vues panoramiques de la ville à l’aube et de nuit, contrepoint citadin qui est le premier symbole qui opère pour nous offrir un préambule décisif d’une série de contrastes ultérieurs.

Le noyau du conflit se situe entre deux couples de jeunes dont l’un est prêt à se marier, l’autre attend son premier enfant, des jeunes universitaires, où un seul d’entre eux travaille dans une entreprise et il est le deuxième élément de contraste entre les jeunes intellectuels, dont la future mariée qui vit déjà en couple est une jeune professeur, toutes les deux  « indépendantes » en matière de « sentiments ». Cette jeune professeur de mathématiques agit comme élément de contraste aussi bien par l’autorité qui lui octroie sa discipline que par le sujet métaphysique de son discours, c’est autour de ce « personnage romanesque féminin » que les autres personnages agissent et, que grâce à leur intervention surgit le pouvoir de la parole qui sera en fin de comptes, le seul personnage central du conflit.

Mais ce « personnage » fictif, qui agit par intermédiaire des actants secondaires, transmet un « message métaphysique ».

Nous affirmons d’après notre conviction profonde, faite d’une négation catégorique, d’une négation absolue que Hamagouchi ne fait pas entrer aucun élément du travail propre au cinéaste Bergman ni d’autres cinéastes français comme la critique française prétend nous convaincre.

La critique française est pauvre et faite par des ignares en question d’art plastique et littéraire, dès qu’ils se voient confrontés aux « dialogues » ils font entrer en jeu Bergman. Cela leur facilite la tâche, et tout le monde l’accepte. Cette même équivoque s’est produite dans les analyses publiées des films de Zviaguintsev. Il est nécessaire corriger les fausses exégèses qui se retransmettent à l’infini.

Ce c’est que nous ferons avec notre contre exposé, la négation de ces fausses affirmations critiques doivent se détruire avec un « contre exposé » construit par une nouvelle critique qui dit vrai.

Le réalisateur est un diplômé de littérature ; au Japon ce cursus est sérieux. Les critiques actuels, sont-ils porteurs du bagage littéraire japonais ancien des millénaires dont il est issu ce cinéaste ?

Connaissent-ils la tradition esthétique japonaise pour affirmer en courtes phrases que ce film est de nature « psychologique et héritier de Bergman ? »

Ici nous sommes confrontés à une réflexion métaphysique sur l’Amour. Le psychologisme est absent.

Les dialogues, chez Hamagouchi sont à différence de Bergman, des touches de pinceaux, des mots lyriques, des gestes et regards qui dévoilent des instants qui s’évaporent, insaisissables, mais que par la magie de sa réussite artistique il arrive à saisir pour les éterniser.

C’est précisément où Bergman présente une esthétique des difficiles voies d’analyses d’une psychiatrie morbide et, où ses recherches touchent toujours les débordements du malsain, dans Passion, toutes les ressources d’expression cinématographique son indubitablement son contraire.

Chez cet artiste japonais il n’y a qu’une lutte désespérée et angoissée pour saisir l’insaisissable dans l’amour et par conséquent dans la relation amoureuse en double langage, Homme-Femme, exprimé dans la complexité dialogique qu’est «  Le  couple. »

Il est très malaisé de confondre de manière grossière dans le film une quantité d’éléments clés qui doivent être clarifiés.

Ils sont en jeu divers éléments qui procurent le plus grand intérêt dans la structure du film et, le déterminent de fond en comble.

L’espace : il y a un exposé plastique de premier ordre, un élément qui joue à part entière dans chaque prise, chacune des scènes a été prise avec méticulosité, un autre facteur proprement japonais.

L’art fait du minutieux, du délicat, l’art du détail.

Maîtrise de la couleur. Chaque scène est un tableau de maître.

La tonalité, donnée par un artiste-peintre se compose de la fusion de deux couleurs : terre de sienne et jaune de Naples.

Elles y sont parfaitement fusionnées, et les deux couleurs interagissaient en symbiose, parfois séparées, et pour finir en formant un permanent « passage » sans clair-obscur, où seules les prises nocturnes se chargent d’accompagner les dialogues.

Les Prises des scènes d’intérieur.

Les ouvertures et fermetures des portes sont un élément théâtral inséré au cinéma sans que pour un seul moment il y ait une intention de « faire du théâtre. » Le cinéaste sait parfaitement doser, inclure et supprimer sans s’éloigner de son matériel : l’IMAGE.

La couleur chaire, subtil symbole qui intervient dans une teinte générale, et particulière, les personnages sont tous habillés en ces deux uniques couleurs avec le noir en contraste.

C’est au sein de la toile de fond terre de sienne et jaune de Naples que les personnages sont en mouvement et en dialogue et qu’ils agissent en souffrance retenue ou explosive.

Il y a la mise en scène des symboles de la plus haute importance

*Le couteau, (Un harakiri jamais exécuté.)

* Les silences

*Les non-dits.

*Les regards.

Quels sont les éléments métaphysiques mis en œuvre ?

  1. La présence de la mort.

Le chat disparu renoue conversations, prières, enterrement et ensuite le souvenir d’un grand-père décédé dans des circonstances « réelles bien disgracieuses » mettant en exergue une réalité propre de l’humain bien cru et cruel. Un autre élément que le japonais expose depuis des siècles avec un réalisme oriental.

  1. Le pouvoir accordé à la parole. En dépit que la parole soit le centre de la psychologie et de la psychiatrie, il faut cesser de confondre et de faire la symbiose avec le pathogène psychiatrique avec l’incursion pure dans les tréfonds de l’âme saine, les artistes ne sont pas des « malades », les personnages de fiction ne sont pas « analysables » par intermédiaire de la psychiatrie, la métaphysique abhorre la psychologie.

  2. Les symboles d’équations mathématiques écrits sur le tableau noir par le professeur.

  3. Les mathématiques sont une partie indispensable dans la philosophie, les sont-elles pour évaluer la Passion ?

  4. Existe-t-il un contrepoint possible entre Amour physique et Amour spirituel ?

  5. Les traits physiques enferment les composantes d’un amour spirituel, le discours des deux personnages masculins sont les porteurs de cette importante réflexion métaphysique traité en littérature, mais jamais au cinéma avec une telle force faite parole et plasticité.

La violence physique et verbale.

Nous ne raconterons pas l’argument, nous ne sommes pas devant un public d’ignorants comme fait preuve la pauvre critique française qui pense que remplir d’épithètes leurs articles où le pathos doit être exclu, fera l’éloge du film.

Ils disent que « Bergman n’est pas loin ! » Mesdames, messieurs, c’est un absurde de taille, Bergman est non seulement très loin dans ce film, mais totalement inexistant. Hamagouchi n’est pas un analyste des esprits tortueux, atteints de maladies de l’âme, mais l’exposant par l’image et la parole, des personnages pris d’angoisse face aux dilemmes métaphysiques où l’AMOUR, est mis en exergue comme le sentiment formant partie intégrante de l’être humain.

Il n’y a aucun élément maladif, bien au contraire, la recherche de la vérité, contraste avec le mensonge, en duel permanent dans les dialogues, résume l’essence de la philosophie, elle ne peut être exercée qu’exclusivement par des esprits sains, raisonnables et doués des capacités intellectuelles des plus hautes.

Ces réflexions sur l’essence de l’Amour est le sujet du film.

Un film est comme un livre, mais qui travaille avec l’image et les éléments qui lui sont propres.

Il n’existe pas de cinéaste inculte, sans acquis littéraire.

Il devrait exister une critique d’art qui lui ressemble.

Enfin, l’éloge doit être dirigé tout entier à ce grand artiste qui est Ryusuke Hamagouchi. Il a très bien choisi ses acteurs. Maître de la lumière, il est à la fois un poète et artiste-peintre avec sa caméra, littéraire sublime pour écrire avec l’image, les voix, les regards et le silence, nous l’avons toujours dit à propos du cinéma, il réussit avec une prise, ce dont l’écrivain nécessite d’une centaine de pages pour le « dire ».

Génie incontestable et artiste complet qui nous fait réalité sensible l’essence de l’humain.

Il fait acte en sa personne d’un héritage fait de millénaires de culture de l’écrit dont le Japon excelle.

Le Prix Nobel de Littérature 1994 Kenzaburo Oe est un des meilleurs explorateurs de l’âme. Si éloigné des analyses « occidentales. »

Après avoir fait l’expérience émotive, plastique et sensible des images et de se laisser emporter par la magie de l’art du cinéma, art d’une qualité rare à cette époque ; une seule pensée est venue à notre esprit, rien que pour « regarder » une œuvre d’art « sublime » comme l’est PASSION …Il vaut la peine de rester en vie.

Une réflexion métaphysique incontournable.

Carmen Florence Gazmuri-Cherniak

*Passion est le titre en français du film du réalisateur Ryusuki AMAGUCHI.

Sublime n’est ici ni épithète ni un éloge, mais une définition esthétique et philosophique. Traité du sublime Longin.

 

 

 

 

 

LES PROBLEMES DE LA CRÉATION ET DU JUGEMENT ESTHÉTIQUE DANS CETTE « SOCIETÉ DU MÉPRIS »- LIMINAIRE

4 août, 2024 (12:27) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

LES PROBLÈMES DE LA CRÉATION

ET

DU JUGEMENT ESTHÉTIQUE

DANS CETTE « SOCIÉTÉ DU MÉPRIS »

LIMINAIRE

De l’expérience d’artiste-peintre de métier.

Dans cette « société du mépris » et de « Lutte pour la reconnaissance » il va falloir bien faire la distinction entre « peintre professionnel » celui qui est inscrit à l’URSSAF et qui « vend » et qui est « indépendant financièrement, et celui qui comme moi-même travaille sans ressources de manière vivant en ermite et qui pratique et poursuit sa création picturale de manière héroïque en parfait solitaire ; il doit être considéré par sa connaissance profonde du métier de peintre un

PEINTRE DE MÉTIER.

L’artiste-peintre, suivi par le poète, est sans conteste celui qui subît de plein fouet  les vices de cette société du mépris, (Axel Honneth), non seulement face au fait incontestable de se voir démuni d’appuis et des ressources pour développer son art ; un des plus chers qui n’existent et qui doit se financer lui-même, mais du point de vue social, il ne trouvera que mépris, jalousie et sadisme au sein d’une société qui face aux vraies valeurs soutenues par un innocent qui croit encore aux valeurs qui jadis faisaient la grandeur de la France, cette société du mépris le reçoit comme un attentat à la culture du laid, de l’injuste et du siège de la prostitution de la peinture ; parce qu’ arriver chez cette société en brandissant le drapeau de la vérité plastique, ne peut être reçu que comme un attentat chez les ignorants.

Cette situation est venue s’aggraver au moment de la disparition en 1979 de celui qui créa le monde des galeries d’art, Daniel- Henry-Khanweiler, cependant la France et tout particulièrement Paris, donnaient des preuves de corruption, une dizaine d’années avant la disparition du grand maître, ce phénomène fut constaté par lui-même, et il l’a dit dans tous les entretiens, exprimant sa vive réprobation, parce que cette nouvelle vague des nouveaux galeristes entamait tous les principes austères qu’il créa et imposa dans sas propre galerie. Sa galerie était faite à son image personnelle : une profonde connaissance des choses de l’art et une sauterie à toute épreuve, il gratifiât d’abord « ses peintres » ne se laissant que le nécessaire pour lui.

Quelques-uns des éléments nuisibles de cette époque parisienne, sont ceux qui restent en place de nos jours : la demande de rétribution financière aux artistes avant même d’exposer, certaines galeries me demandèrent 4500 € pour louer leurs murs une semaine, je devais me charger d’organiser un cocktail, éditer à mes frais des cartes d’invitation, et aussi passer contrat avec un journaliste, etc., donc je devais me métamorphoser en mon propre agent artistique, pour satisfaire l’avidité commerciale d’un escroc qui officiait comme un des pires mafieux ; je m’épargne les commentaires vis-à-vis d’une telle escroquerie et modalité immonde.

La société française avait changé de fond en comble, cette prostitution de l’art pictural laissa les portes grandes ouvertes à une société composée principalement des nouveaux riches, les seuls à se sentir à l’aise dans ce monde où régnait l’ignorance des principes fondamentaux de la vraie peinture, ce qui les rendait incapables de donner un jugement esthétique de valeur des toiles exposées.

Concernant l’aspect financier, cette société des nouveaux riches était la seule strate sociale en mesure d’investir dans l’achat des toiles de ces peintres de pacotille à l’image des galeristes qui les exposaient.

Ce terrible nouveau fait sociétal fut tristement constaté par Khanweiler lui-même, il n’y a que se référer aux enregistrements de Radio France et à son livre Mes galeries et mes peintres.

« [… ) En définitive, même si brusquement une toile que vous avez achetée en 1930 vaut dix fois son prix en 1931, le peintre en profite en 1932 car tout a monté.

Évidement, ou même immédiatement, en 1931, s’il a affaire à un marchand honnete. Mais pour ce qui est de moi, en tout cas, il y a bien des années et des dizaines d’années que je n’ai plus de contrat avec les peintres ; c’est devenu une affaire de bonne foi, simplement, simplement une bonne entente amicale sans aucun contrat, sans rien d’écrit pas un mot.

– vous n’imposez même pas une quantité des toiles ?

S’il y a des marchands qui font ça, ce sont des malfaiteurs que l’on devrait fussiller. C’est une chose abominable.

-Vous prenez donc le risque que le peintre ne vous donne aucune toile pendant un an.

Mais bien sûr, bien sûr.

-Ou pendant huit mois ?

Mais bien sûr. Enfin, quoi, quel est le but de telles ententes quand elles existent ? Le but est que le peintre puisse travailler sans souci matériel, c’est tout.

Si on lui impose une quantité des toiles, alors tout est fini. Je vous dis : je trouve tout cela absolument criminel.

  • « J’ose espérer que cette pratique est peu répandue »

Daniel Henry Khanweiler

Mes galeries et mes peintres (Pp. 112-113)

Voici ma réponse :

Maître, recevez mon message de désespoir vers là-bas dans l’au-delà ou vous êtes, cher maître avec tous ceux de votre génération où je compte permis cette élite mon père et maître le peintre Hernán Gazmuri à qui je dois tout ce que je suis, lui qui recevait « la « révélation de la peinture moderne française » en 1928, à Paris, rue d’Odessa, dans l’Atelier Libre d’André Lhote .

Ce langage est le mien, je l’ai fait mien depuis mon adolescence quand l’intellect formé, je suis entrée dans l’Atelier Libre du peintre Hernán Gazmuri créé à la manière de Lhote pour devenir moi-même peintre de métier.

Cette féroce critique contre la prostitution des marchands est symptomatique chez Khanweiler, elle  marque et défini une nouvelle époque qui n’a fait qu’accroître et s’amplifier dans une direction des plus néfastes, cette époque vicieuse s’est définitivement installée en France et de par le monde, avec une mondialisation qui contribua à approfondir son socle infesté.

Cette situation est devenue invivable pour les peintres de valeur.

Le signe indubitable de l’ignorance, n’est que la conséquence de l’absence de théories et des maîtres.

L’écart abyssal s’est accru entre les peintres qui voulaient poursuivre leur voie de perfection et une société de l’art corrompue par la mauvaise gestion du « commerce de l’art », entre les mains de ceux qui commencèrent à proliférer sans suivre l’exemple de Khanweiler, coupant toute possibilité d’une prise en main égale à celle qui avait crée, donc la France s’est vue brutalement privée  de poursuivre dans la lignée d’un héritage qui aurait été grandiose et toujours au profit des artistes peintres.

Cette nouvelle époque à fait table rase des bienfaits de la création de Khanweiler, et une nouvelle étape se créa, basé sur l’ignorance, la valeur marchande au profit unique de galeristes ignorants de principes basiques de l’art pictural, et à ce socle de boue, est venu se greffer l’absence des maîtres, où la nouvelle génération des jeunes peintres, trouva une symbiose parfaite dans les appuis d’État sans connaissance aucune des choses de l’art.

« l’État a été toujours incompétent en matière d’art ».

Et, les appuis commerciaux de nouveaux galeristes qui les accueillirent dans ce nouveau commerce où les deux parties trouvaient une entente d’égale à égale dans l’ignorance et les principes de la déhontée prostitution de l’art pictural.

A la fin des années soixante dix-neuf où la génération appuyée par Daniel-Henry Khanweiler disparaissait et que cette époque romantique laissait la place à dévergondés qui prirent la place de celui qui créa les galeries instaurant un monde de soutien vrai, beau et juste, basé principalement dans un « commerce d’art à la manière de son créateur, d’une part basée dans des connaissances de l’art et de la philosophie de l’art des plus solides et d’autre part dans la plus sévère d’austérités commerciales. Rappelons-nous que Khanweiler paya un artiste pour son manuscrit avant même qu’il ne l’écrive.

Tous ses détails qui à simple vue paraîtraient insignifiants sont pour le contexte et ambiance artistique qui régnait en France, la mise en place des valeurs qui avaient une transcendance solide.

Vu de l’extérieur et observé de l’étrange, ce contexte pouvait inciter des âmes naïves à faire une entreprise folle, propre seulement d’autres esprits pris d’une démence artistique à toute épreuve.

C’est la mienne.

Je suis arrivée en France par mes propres moyens financiers, j’ai dilapidé tout l’argent qui me laissa mon père et maître, il faut insister sur le fait que d’une part j’ai renoncé à ma vie des plus confortables que j’avais au Chili, pour venir vers l’inconnu m’installer avec ma mère à Paris, ma ville d’attache que je voulais faire mienne, ma ville d’adoption, où à présent les autorités m’interdisent le retour en HLM !!!!!!!!!!

Pour concrétiser mon arrivée en France, j’ai pris tout l’argent qui me laissa mon père en héritage.

Il s’agissait de tout le travail d’une vie de sacrifice, car il n’a jamais vécu financièrement de son art, mais de toute une vie consacrée à la enseignement de l’Histoire de l’art, du dessin et de peinture au sein de l’Université, tâche qu’il exerça entre 1942 date où il fonda l’Institut de Pédagogie au sein de la UTE d’État de Santiago du Chili, et 1973 , date de sa retraite.

Je suis venue en France « en mission artistique » comme définit l’Académicien René Huygue mon entreprise, ma folle entreprise artistique !

Quel était mon but ?

Finir avec la fausse esthétique où l’officialité chilienne plaça faussement le peintre Hernn Gazmuri, au sein d’un groupe de peintres des années vingt qui arrivèrent en France en qualité de boursiers de l’État chilien, et qui  ennemis intellectuels du peintre H. Gazmuri persécutèrent sa vie durant le cataloguant faussement de peintre boursier et collé à un groupe de « peintres-touristes » comme les qualifia Gazmuri, qui aussitôt arrivés à Paris, demandèrent le billet de retour, incapables de faire face et d’assimiler les rudes exigences de l’Atelier.

Il s’agissait d’une question fortuite des dates, que l’officialité chilienne de l’époque et mème celle de nos jours, profite à sa guise pour fausser la biographie et l’esthétique du peintre H. Gazmuri.

Mais, la vérité resta indélébile dans l’Article en date de 1973 qui publia Hernán Gazmuri dans le journal :

Las Últimas Noticias.

BOURSE TORTUEUSE

Article de H.G. Bourse Tortueuse

« Je n’ai jamais été boursier de l’État chilien je suis arrivée à Paris avec mes propres et faibles ressources pécuniaires ».

Tout a été dit. Et moi, j’ai écrit un livre pour défendre sa vie et son œuvre

Le peintre Hernan Gazmuri, : l’Héroïsme du peintre victime d’une infamie

Ce livre je dois le rééditer en édition corrigée et augmentée, mais il me manque encore de l’argent pour le faire comme il se doit.

Il fut le mensonge monumental du Chili contre mon père que grâce à ma « mission artistique, » j’ai pu enfin effacer et le placer ad vitam æternam dans la place qu’il méritait, entrer comme peintre d’esthétique de l’École de Paris et former partie pour compléter les Collections de l’École de Paris, et obtenir encore une fois de l’Académicien René Huyghe l’éloge et la confirmation de la place qu’il méritait.

« Grâce à la Donation Gazmuri, la France complété ses Collections de l’École de Paris »

René Huygue

1982.

J’ai réussi mon entreprise, qui n’était autre que de placer son œuvre capitale eau Musée d’Art Moderne de la ville de Paris, et faire effective LA DONATION GAZMURI qui la veuve du peintre Clara Cherniak, veuve GAZMURI, ma mère, offrait en cadeau à la France pour son héritage culturel.

L’HOMMAGE A ANDRÉ LHOTE

LE NU JAUNE

C’est ma mère, et non moi qui a rendu des Services Eminents à la France, or si dans les documents officiels du Musé, c’est mon qui y est inscrit n’est qu’une simple formalité administrative parce que ma mère détestait de se montere en public, et elle me chargea de la répresenter.

Nous savons  que selon la convention de Berne, la seule propriétaire des oeuvres d’un artiste est sa veuve de son vivant et durant cent ans, ensuite après son décès les oeuvres passent en division égale entre sas  descendance s’il y en a.

Rien de cette loi, ne fut respecté par l’offocialité chilienne qui spolia ma mère la laissant dépuilmllée de tout son héritage pictural. La fraude de faux « achat-vente » passera à l’histoire grâce à mon livre que j’ai publié en 2005

Pour lheure, l’ancienne édition ,je l’ai donné en « Donation » au Musée d’art Moderne de Moscou.

Bien fait.

Ma réponse au mépris est faite en 2017.

Oui, une folle entreprise où je me suis appauvrie et où le succès pour sauver le nom de mon père et maître s’est vue couronnée de succès artistique car le peintre Hernán Gazmuri fut exposé en 1983 aux Galeries Permanentes cote à cotre de son maître André Lhote et tous les peintres de l’École de Paris, et ensuite il fut reconnu officiellement par le Ministère de la Culture comme peintre qui appartient esthétiquement à l’École de Paris et qui a fait son entrée depuis au Patrimoine de la France. Je me suis vue remplie d’orgueil intellectuel pour mon maître et père qui m’a tout donné et à qui je lui dois tout, la solide connaissance des « Invariants plastique d’André Lhote.

En revanche, ma vie personnelle et d’artiste-peintre sombre dans le désespoir le plus total, démunie de ressources pour développer mes projets picturaux et d’écriture, 1000€ mensuels privent de mener une vie décente, on peut à peine survivre au jour le jour, car la misère qui m’entoure est absolue et elle restera irréversible sans un mécène qui prenne en charge toute ma production.

On pourrait se demander la raison de mon invisibilité.

Elle est insérée dans l’argumentation ici exposée.

Las références de ma formation picturale et le fait de savoir qui a été mon maître, je suis la seule disciple que laissa le peintre Hernan Gazmuri, au lieu de qu’elles me gratifient pour trouver un mécène, elles m’ont desservie.

Cette situation de mépris sociétal, est totalement en accord avec les idées des mafieux, ils ont une peur terrible qui les fait frémir, c’est pourquoi à chaque tentative de les convaincre, ils appliquent le silence, ils ne répondent pas mes lettres et je reste invisible.

Le peintre Hernan Gazmuri a donné son enseignement à ses élèves, mais aucun n’a poursuivi son esthétique pour le considérer DISCIPLES, j’ai su que des doctorats sur un peintre qui avait étudié dans son Atelier, le Chili le considère « disciple », ceci est une erreur monstrueuse et va à l’encontre de la vérité qui doit s’imposer dans le monde de l’Art.

L’année dernière on m’a contacté pour me demander si je garde en ma possession des renseignements sur ce peintre, car sur le site dédié à la mémoire d’Hernán Gazmuri il ne trouvait RIEN.

Je lui ai répondu que je n’en avais rien parce qu’il n’a jamais été « disciple » de Gazmuri, car mon père l’avait accueilli dans son atelier et lui avait conseillé de quitter le Chili, mais ce peintre une fois venu en France s’est consacré à GRIFFONNER, il s’est écarté de fond en comble de l’enseignement reçu dans l’atelier de Gazmuri, donc il ne peut être considéré son disciple sous aucun prétexte, on n’observe la moindre trace de l’École de Paris. Et il n’a pas suivi les enseignements des « Invariants plastiques. »

Il faut comprendre qu’avoir le projet obtus que de vouloir le faire disciple aux motifs d’une thèse ou de lui apporter de la valeur le greffant de force à l’enseignement de Hernán Gazmuri est une turpitude et une violation des plus basses de l’intégrité esthétique de Gazmuri ; je m’opposerai de manière catégorique à tout nouveau mensonge de la sorte.

Un disciple est celui qui poursuivit l’héritage qu’un maître a déposé  en lui, il y aura des évolutions naturellement, il pourra difficilement le dépasser, nonobstant le viol absolu, vers un abstrait des griffonnages est sans conteste de la pure imposture esthétique, d’accès facile au regard de quiconque a une infime expérience de la vraie peinture. Ce chapitre développé, je le considère définitivement clos.

La suite : LES PROBLÈMES DE LA CRÉATION ESTHÉTIQUE.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

LES PROBLEMES DE LA CRÉATION ET DU JUGÉMENT ESTHÉTIQUE DANS NOTRE « SOCIETÉ DU MÉPRIS »

3 août, 2024 (12:25) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

GRIGORY SOKOLOV

 

 

 

 

LES PROBLÈMES DE LA CRÉATION

                             ET

DU JUGEMENT ESTHÉTIQUE

DANS CETTE « SOCIÉTÉ DU MÉPRIS »

[Article en préparation.]

Je profite de cette parenthèse pour ajouter

comme il est mon habitude, ma critique  journalière ; quand un artiste doit résoudre seul (e)

une quantité de tracasseries stupides, questions domestiques des plus banales, et se battre contre l’irruption

des bassesses inespérées, nous devons aller les résoudre comme questions prioritaires et laisser notre travail artistique en attente.

Elle ne sera pas longue cette attente, je vais le finir, me laissant un bref temps

de réflexion. Je le posterai demain matin.

Mon Professeur de recherches au Chili, quand j’étais une toute jeune étudiante, nous a dit :

« Laissez toujours vos écrits au réfrigérateur, avant de les publier ! »

À très bientôt.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

P.S. Vous vous demanderez pourquoi je poste les trouvailles publiées sur YouTube de Grégory SOKOLOV?

Je ne vais pas remplir mes phrases d’éloges inutiles, seuls les imbéciles vont écrire que Mozart, Bach et la Chapelle Sixtine sont sublimes, qui ne le sait pas ?

C’est par son interprétation métaphysique dans tout ce qu’il joue.

 

 

 

 

 

 

 

LE MAUVAIS GOÛT L’INVASION DE LA POPULACE

30 juillet, 2024 (08:55) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

LE MAUVAIS GOÛT

L’INVASION DE LA POPULACE

« […] Ceux qui ont connu l’Europe de l’Est durant les décennies noires, ou la Grande-Bretagne en période d’austérité, sauront quelles solidarités et quelles créativités humaines peuvent naître d’une relative pauvreté. Ce n’est pas la censure politique qui tue ; c’est le despotisme du marché de masse et les retombées du vedettariat commercialisé »

[…] Si des jeunes Anglais choisissent de placer David Beckham bien au-dessus de Shakespeare et de Darwin dans leur liste des trésors nationaux, si institutions savantes, librairies, salles de concert et théâtres ne survivent qu’à grand-peine dans une Europe qui, fondamentalement, est prospère et où la richesse n’a jamais parlé plus fort, la faute nous incombe à nous, tout simplement. »

George STEINER

Une certaine idée de l’Europe (Pp.58-59)

Chers Lecteurs,

La honte est mondiale.

Je ne nommerai point cet événement sportif, je me désolidarise de la joie nationale, ce n’est pas mon monde.

La citation de George Steiner que je fais mienne comme toute sa pensée est criante de vérité.

Il suffira de dire que tout ce qui a été fait relève d’une politique décadente où le règne de la populace s’affirme, déployant son ignorance, son mauvais goût et ce manque « de savoir faire et de savoir-vivre » qui était jadis une des principales vertus de la France.

Je ne nommerai pas en détail ni les sujets ni les objets de ce rabaissement dévergondé.

Dans cette soupe immonde se sont retrouvés si bien représentés ceux qui créèrent ce cirque, ce spectacle de troisième ordre.

Le dégout et la honte se firent présent chez tous ceux pour qui la préservation de certaines valeurs doivent rester immuables, je me compte parmi ce cercle restreint parce que nous aimons une France de culture et de raffinement.

Depuis toujours, un ministre de la Culture est le gardien d’une sauvegarde méticuleuse de l’esprit de son pays ; une fois qu’on nous a arraché ignominieusement cette représentation suprême, la France est restée à la dérive.

Il y a des peines spirituelles terribles, semblables à toute perte de l’ordre du sensible, chacun a son répertoire des malheurs, et tous ceux pour qui la beauté, la courtoisie et le respect sont des vertus qui nous devons préserver, cet événement sportif administré par des ignorants ne pouvait que revêtir la France d’un voile fatidique.

Ayons la force d’attendre, ayons la patience de laisser passer ce mois sombre.

L’on dit toujours qu’après une tempête arrive le soleil.

Je ne demande point le soleil, je ne l’aime pas, j’aime les jours nuageux à Paris ; ma seule exigence pour mon cher pays d’adoption est qu’il redevienne un phare de culture, d’intelligence et de beauté.

Est-ce trop espérer ?

Il reste mon seul espoir.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

MÉMOIRES : MA VIE LITTÉRATURISÉE DU CHILI A LA FRANCE. CHAPITRE LES J.O. CE JEUDI 18 JUILLET 2024

21 juillet, 2024 (13:29) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

MÉMOIRES

Ma vie littératurisée du Chili à la France

LES J. O. CE JEUDI 18 JUILLET 2024

George Steiner a dit ceci : « si vous donnez à choisir à l’humanité entre une partita de Bach et le football, la majorité vous répondra, le football. »

Ce jeudi 18 dernier, je me suis vue plus que jamais emprisonnée dans cette nouvelle version de l’innommable, l’imbécilité politique à son état pur.

« ILS » ont donné l’ordre intempestif, à 16.30 de l’après-midi, de stopper le trafic de tout le réseau de bus parisien.

Je voyage très souvent entre ma banlieue criminelle et Paris, ma ville d’adoption et d’attache. Où je survis il n’y a rien que les petits commerces pour acheter à manger, et même pour cela il faut attendre un bus qui ne respecte pas les horaires pour aller du confins de la ville au CENTRE-VILLE qui déploie ses petits commerces en 10 M2, l’absurde le plus total pour quelqu’un qui n’a pas de voiture.

Enfin, pour résumer et revenir au sujet, sans didascalies, quand bien même indispensables, je vous disais que je voyage, car c’est un véritable « voyage » entre cette banlieue détestable et mon Paris.

L’aller-retour entre les attentes des bus et l’arrivée à la gare Saint-Lazare pour après prendre un autre bus qui m’amène vers le quartier latin ou le 13ème arrondissement où j’ai vécu 9 années, et où j’ai à faire, les quatre heures de déplacement sont largement dépassées, j’arriverai plutôt en Bretagne !

L’ITINÉRAIRE

Ce jeudi dernier, ce fut la catastrophe.

Non, c’est incontestable, je ne suis pas la grande pianiste qui a publié sur X son « périple » d’avoir été contrainte à sortir de sa voiture, le trafic interrompu par la police, elle qui était habillée en robe de gala a dû chausser des baskets et emprunter à pied le trajet pour arriver à sa salle de concert.

Ma tragédie me concerne depuis ma situation de française sans voiture et obligée à me déplacer uniquement par le réseau de bus parisien.

Et, je dois vous raconter en détail mon chemin de croix ce jeudi-là.

Une fois mes affaires de matériel de peinture et photocopies terminé à Saint-Germain-des-Près, je vais à pied au Jardin de Luxembourg, où « ILS » ont installé, jusqu’à la mi-septembre, l’arrêt de mon bus 27 qui m’emmène au 13ᵉ.

AVANT cette malédiction des J. O. je prenais le 27 tranquillement en sortant de la gare Saint-Lazare.

Cet arrêt de terminus fut SUPPRIMÉ et le crétinisme des dirigeants a décidé que pendant toute la période des J.O. il faut aller à la station LUXEMBOURG pour le prendre.

Alors, de la gare Saint-Lazare, il faut donc marcher jusqu’à Opéra pour prendre un bus vers Luxembourg.

Sauf qu’e maintenant, il a été aussi « supprimé ».

Une fois dans le 27, je descends Place d’Italie.

J’ai fini mes affaires vers 16 h.

Je reprends le 27 de retour Place d’Italie, pour me rendre à la gare Saint-Lazare et prendre mon train vers cette banlieue, MAIS, une fois arrivé »s au Luxembourg, chauffeur reçoit un appel du « RÉGULATEUR » qui lui donne l’ordre d’évacuer les passagers et signaler un arrêt définitif et total, nous avons dû descendre.

Je demande au conducteur :

Moi : Monsieur, s’il vous plaît, dites-moi, comment dois-je faire pour arriver à la Est-ce- qu’ils ont mis un bus de substitution ?

Parce que je fais presque tous les jours le même trajet, de la gare Saint-Lazare vers Montparnasse, je prends le 95 ou bien le 27…

Le chauffeur : aucune idée Madame, je n’étais même pas prévenu.

No, il n’y a aucun bus de substitution, en fait les bus sont à l’arrêt définitif pendant toute la période des J.O.

Moi : Très bien, génial, et comme dois-je faire ?

Me Conducteur : « Prenez un taxi madame ou allez à pied. »

J’appris que devant le crétinisme, il ne faut pas répondre, plus jamais.

Alors, rentrer chez moi, c’était une question de survie.

Je ne peux pas marcher 3.433 Km à pied.

Il faisait 33 degrés de température. Un chariot qui pèse 8 kilos.

Avec les courses, j’avais à traîner 25 K.

J’étais chaussée avec des socquettes en coton et des lourdes baskets prévues pour la marche, mais pas pour faire le marathon de ce kilométrage, non, ce n’est pas prévu dans mon cas particulier, plutôt, il m’est hautement déconseillé, surtout que je n’ai rien du sportive, je n’ai jamais fait du sport, et je le déteste de toutes mes forces.

La Grèce antique, je la connais et je l’aime, mais pour son art, no pour son héritage des jeux olympiques !

Alors, je commence mon périple, j’observe une longue allée des touristes qui marche comme moi vers la fin du boulevard saint-Michel.

Une fois traversé le boulevard saint-Germain, j’arrive enfin et je projette prendre la descente du quai pour arriver plus vite à Opéra, en arrivant au Louvre, chemin que je connais par cœur, mais la route est bloquée par des grillages et la police surveille chaque coin de rue.

Je vois des policiers de partout, je m’aventure à poser encore la même question, j’étais vraiment très fatiguée et le pire, j’étais très angoissée de la route qui me manquait encore à faire !

Arrivée devant un autre groupe des policiers, j’eus droit encore à un dialogue des plus recherchés !

Moi : Monsieur, s’ils vous plâit, il n’y aura plus tard, aucun bus qui m’emmène à la gare Saint-Lazare ?

Le Policier : Non Madame, il n’y aura plus de réseau de bus sur Paris et jusqu’à la fin de J.O.

Mes argumentations le laissent indifférent.

Le policier : Je suis désolé pour vous, ou bien, vous prenez un taxi ou bien, vous y allez à pied.

Alors, le quai Saint-Michel est entièrement bloqué avec des grilles.

Le quai des Orfèvres pareillement.

Ces deux chemins m’auraient permis d’arriver plus vite à Opéra.

Je voulais emprunter la route vers Châtelet, mais elle est aussi bloquée.

Le Palais de Justice bien protégé, bien sûr. La Justice oblige.

Je pense aussi qu’il n’y a plus de justice en France.

Les seuls qui aient le droit de passer sont les touristes avec un billet pour le Théâtre de la ville.

La police m’exige à prendre un trottoir non protégé, et pour l’emprunter avec mon très lourd charriot et chose inimaginable, en CONTRESENS sur le passage des vélos pour arriver toujours en contre-sens vers Notre-Dame, alors en prenant cette voie, le chemin vers l’avenue de l’Opéra est double.

Les femmes au vélo commencent à me crier, une me crie : IDIOTE !

Comme si j’y allais de mon gré, ensuite je leur crie en répondant :

Mais, idiote vous ! Que vous ne voyez pas que c’est l’ordre de la police !

Des grilles, des voitures de police sont déployées tout au long du chemin.

J’arrive devant Notre Dame, là la police nous donne des ordres pour notre itinéraire !

Je dois prendre la rue du côté de l’Hôtel Dieu, en file indienne, sous le soleil de plomb, j’arrive enfin rue de Rivoli.

Là-bas encore un barrage, il nous a fallu faire un détour plus long, pour ENFIN arriver avenue de l’Opéra et continuer vers la gare Saint-Lazare.

Je me suis dit, j’arriverai dans deux heures chez moi, avec des ampoules aux pieds et décidée à rester cloitrée jusqu’à la mi-septembre.

Je leur ai dit clairement ceci :

MESSIEURS

Je ne suis pas touriste, je suis française et les autorités me privent de ma liberté de circuler sur Paris, ceci est une atteinte gravissime à ma personne, c’est un délit.

Pendant que je marchais, j’eus vraiment très peur pour ma survie.

Depuis 1980, date de mon arrivée en France, JAMAIS, je n’ai été obligée à réaliser une épreuve de circulation citadine qui mettait en péril ma vie ; même pas par période de grève de transports.

Essayez de traverser Paris, entre Luxembourg et la gare Saint-Lazare à pied par une chaleur torride, avec un chariot lourd rempli des courses.

Si vous avez vingt ans peut-être, mais j’en ai 70 !

Et je n’ai pas à leur donner plus d’explications supplémentaires.

« PRENEZ UN TAXI »

C’est la réponse des crétins !

Vous pouvez aimer le sport et célébrer tous les événements à votre guise, mais sans priver aux citoyens de la libre circulation pendant un mois et demi, et nous obliger, comme cet après-midi, à faire des choses extraordinaires qui peuvent porter atteinte à notre santé.

Par fortune, je n’ai pas eu de problème grave.

Une fois arrivée à la Gare, dans un état indescriptible, je vais consulter à ma pharmacie, pour savoir si pendant la nuit quelque chose de grave pourrait m’arriver , par cause de tout cet effort.

Ma pharmacienne m’assure que non, que c’est plutôt l’angoisse qui pourrait me faire du mal.

J’ai pris un Doliprane avant de  commencer le nouveau trajet, et enfin, j’ai pu prendre le train de retour.

L’imbécilité et le crétinisme politique au superlatif est un fait irrémédiable en France.

La vérité qu’en supprimant de manière abrupte le réseau de bus Parisien, le résultat a été un acte criminel.

J’aurais pu mourir au cours de route.

Je suis arrivée chez moi vers 21 heures.

Un retour indicible qu’aucune femme de mon âge ne devrait être obligée à expérimenter.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak.

 

 

 

 

INVISIBILITÉ ARTISTIQUE ET PERSÉCUTION POST MORTEM

10 juillet, 2024 (12:50) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

INVISIBILITÉ ARTISTIQUE

ET

PERSÉCUTION POST MORTEM

Chers Lecteurs,

Il est d’une évidence incontestable que l’artiste peintre ou poète sans mécènes qui l’aident restera toujours dans une invisibilité absolue.

Je ne vais pas revenir sur un sujet déjà analysé à maintes fois dans cet espace qui est ma « résidence secondaire » et que depuis des longues années je partage avec vous, mes recueils font à présent plus de 3500 Pp., d’écriture critique incendiaire.

Étienne Gilson a bien analysé les principaux dilemmes du peintre qui pratique son art à la dérive dans une époque qui ne protège point les peintres, et faisons appel à notre Daniel-Henry KAHNWEILER qui jusqu’à la fin de sa vie n’a pas cessé de sanctionner l’État dans sa façon ignoble de s’introduire dans les affaires artistiques, nous disant ceci : « l’État est toujours incompétent en matière d’art ».

Notre « époque du mépris » pratique l’invisibilité sociale et affective contre des individus qui deviennent « LA CIBLE ».

Les motivations d’ordre politique de cette analyse de la philosophie sociale, vous les trouverez analysées de manière magistrale par Axel HONNETH.

Ce qui m’intéresse vous dire ici, c’est l’expérience approfondie que j’ai de l’INVISIBILITÉ  ARTISTIQUE », bien différente des autres variantes.

Je l’ai connu dès mon berceau, mon père le peintre Hernán GAZMURI l’a subi sa vie durant de l’officialité chilienne.

Peu après ils corroborèrent leur ignominie en spoliant sa veuve, ma mère, lui usurpant toute la Collection de toiles de mon père, la dépouillant de tout, me laissant avec elle entièrement dépouillée, l’État chilien se vante maintenant de posséder la Collection du peintre Hernán GAZMURI quand il a laissé un Testament olographe laissant ma mère comme son unique légataire.

L’officialité chilienne est un ÉTAT VOLEUR, je peux l’attester avec des preuves en l’espèce.

Les musées chiliens ont commis une FRAUDE QUI EST UN DÉLIT PÉNAL INTERNATIONAL.

La collection des toiles du peintre Hernán Gazmuri devraient être à présent à moi exclusivement, parce que sa veuve, ma mère, est décédée.

La Collection des toiles du peintre Hernán GAZMURI me reviennent en toute  justice.

Sachez-le.

Le peintre Hernán Gazmuri ne leur a rien laissé en héritage, il a tout laissé à sa unique femme CLARA CHERNIAK, ma mère.

Le peintre Hernán GAZMURI n’aurait JAMAIS laissé en héritage sa Collection dans le pays qui l’avait persécuté par jalousie et sadisme.

Il y a des articles des vrais experts en Art plastique qui attestent de cette persécution sadique par l’unique raison de se sentir complexés par son génie et son succès auprès de ses élèves.

Le complexe d’infériorité dans le domaine de l’Art, il est fulgurant !

Regardez-moi et vous le constaterez.

L’Université de Santiago est arrivée avec une ignominie effarante à l’effacer des annales de la Faculté, où Hernan Gazmuri fut le fondateur de « L’institut de Pédagogie » en 1942 où il a réalisé toute sa vie de professionnelle de Professeur d’Histoire de l’Art, dessin et peinture, et Directeur du Département d’Arts Plastiques réélu à l’unanimité sa vie durant.

Gazmuri avait ayant eu à sa charge trois chaires universitaires en 1942 et 1973 date de sa retraite à ses 73 ans

Après le décès de mon père j’ai fui le Chili avec maman.

Impossible de rester dans un pays natal capable d’une telle persécution ignoble.

Ils n’allaient pas poursuivre chez la fille et disciple du peintre la même action du mépris !

Et, une fois ici en France, j’ai décliné ma nationalité chilienne.

Les comptes sont faits mesdames, messieurs !

Mais, sournoiserie du destin, l’officialité française se conduit pareillement avec moi.

Mais, il y a des nuances, moi qui suis en possession d’un héritage de mépris, je sais me défendre quand bien même mes outils de défense ne m’apportent aucune défense financière, le seul élément qui est capable de nous mettre à l’abri des vautours.

Les charognards me guettent !

Juste après son décès le 19 octobre 1979, commencèrent des faux journalistes à publier des articles remplis d’insanités, j’avais 25 ans à l’époque et dû me précipiter, en plein deuil, (mais peu importe parce que deuil de nos parents n’a pas de fin), au journal LAS ÚLTIMAS NOTICIAS, pour publier un article pour démentir ces misérables journalistes et asseoir la vérité sur le peintre Hernán Gazmuri. Ils ont été d’une telle ignominie qui ont publié que le peintre Hernán Gazmuri était mort d’une longue maladie pour éveiller des soupçons même après post-mortem !!!!

La bassesse  « humaine » n’a pas de limite.

La vérité fut atroce, le peintre Hernán Gazmuri est décédé d’une crise fulminante de la vésicule biliaire qui est dégénéré en une péritonite.

Non, mon père décéda d’une erreur médicale, ce fut son médecin qui aurait dû lui exiger de se faire une échographie, où à l’époque en 1979 Santiago était déjà équipé de ces machines pour prévenir des accidents de toute sorte. Hernán Gazmuri, ne pratiqua jamais pratiqué la « médecine préventive ».


Ce fut son docteur traitant qui le laissa sans écoute jusqu’à que s’est produit la
Crise nommée « cholécystite » qui est parfaitement détectable pour éviter que les calculs provoquent la crise qui sans soins préventifs, débouche dans une mort inéluctable, en dépit d’avoir subi deux interventions chirurgicales.

Voici la seule vérité sur son décès.

La veille nous étions en train de faire du jardinage, il n’avait aucune maladie de celles qui entraînent la mort et que la société si puissante avec ses écrits minables appelle « longue maladie », avec un euphémisme ridicule pour éveiller des soupçons contre le mort.

Les vautours sont internationaux.

Du Chili à la France…

Voici mon message aux vautours de l’officialité française qui m’ont interdit tous développements picturaux et d’écriture , cela vaut aussi pour les gestionnaires des HLM :

Inutile de vous préparer, l’expérience vécue avec mon père et maître, le peintre Hernán Gazmuri m’a enseigné à me protéger, j’utilise tous les moyens de cette modernité que j’abhorre, mais dont je profite en payant de quelques avantages.

1 . Je pratique la médecine préventive, je passe par tous les scanners et radios possibles, pour au moins éviter le pire de manière soudaine.

La Mort a des sérieux problèmes avec moi, car je sais retarder le mieux que je peux et le plus possible, pour qu’Elle n’arrive m’arracher à la Vie que j’aime tant en dépit de tout…

2. Paiement par avance de mes obsèques.

3. Testament et dernières volontés avec dépôt officiel chez un notaire et au registre FCDDV. Registre Central des Dispositions de Dernières Volontés.

4. Interdiction de quiconque veuille aller par curiosité à mon enterrement, seuls autorisés par des raisons évidentes, sont le corbillard et les fossoyeurs chargés de lever la pierre tombale de la tombe où se trouve ma mère. Tout y prêt pour moi.

5. Testament avec un seul « légataire universel ».

Personne ne profitera de ma production picturale post mortem, personne.

« Le musée est le seul lieu du monde qui échappe à la mort »

André MALRAUX

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

 

 

 

NATURE MORTE 2024 – FLORENCE GAZMURI

8 juillet, 2024 (19:03) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

NATURE MORTE CONCERT

Huile 65x 64

2025

 

ARTISTE PEINTRE FLORENCE GAZMURI 

 

 

 

 

 

EN L’ABSENCE DE MAÎTRES PAS DE PEINTURE

7 juillet, 2024 (11:18) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

EN L’ABSENCE DE MAÎTRES EN PEINTURE :

PAS DE PEINTURE

Chers Lecteurs :

Il faut savoir que sans théories et sans maîtres en matière d’art quel qu’il soit il n’y a pas d’art sérieux.

Qui serait capable aujourd’hui de se soumettre à un masterclass rigoureux comme celui de Rubinstein ?

Le seul domaine ou la rigueur reste immuable est celle des musiciens interprètes et des danseurs.

Pour aller à l’essentiel : depuis la disparition d’André Lhote, Malraux, D.H. Kahnweiler, les aspirants à se former en peinture et avec la prétention de devenir peintres, (et quelle prétention!) se trouvèrent au milieu d’un désert abyssal qui les a obligés à se verser sur l’abstrait et la création de graffitis et d’artefacts. Dans ce type d’activité pas besoin de maîtres.

Je n’ai plus l’intention comme je le faisais auparavant de publier des leçons de peinture.

Je n’ai plus du temps à perdre, le peu qui me reste à vivre, je le consacre de manière absolue et avare à ma propre création picturale et poétique.

Il suffira de rappeler quelques phrases d’André LHOTE, « que quiconque s’intéresse à trouver la vérité trouvera par lui-même en cherchant à l’aide de ce qui peut lui offrir l’Internet.

Le livre capital de Lhote, Les Invariants plastiques, reste introuvable pour le public il ne leur convient une réédition, d’une part, qui pourra l’interpréter comme il se doit et d’autre part, qui serait en mesure de le divulguer au sein d’un atelier ?

Ce livre capital est parfois en vente aux enchères,

sous la modeste somme de 1 500 € !

Quand il y a vingt ans j’ai proposé aux « autorités » une aide pour louer et bien équiper un local à Montparnasse pour créer un Atelier de peinture dédié à la mémoire de mon maître le peintre Hernán GAZMURI, disciple de LHOTE et qui se trouve au Patrimoine de la France, ma proposition me fut refusée.

J’aurais pu tel qui le faisait Lhote peindre et former mes élèves…

J’aurais pu créer une nouvelle ambiance à Montparnasse.

Pauvres misérables !

Rappelez-vous :

Sans théories, sans maîtres, pas de peinture.

« […] et, débarrassant nos yeux de leurs écailles irisées, nous replonge dans la situation confortable et stérile du peintre académique »

André LHOTE

Les invariants plastiques

(Pp. 67)

« Les mouvements de réaction contre un idéal épuisé, restent saturés des vestiges de l’idéal qu’ils combattent », dit André Lhote. « Une esthétique nouvelle est comme l’habitation de l’assassin obsédé par le fantôme du mot. Au cours des siècles, les fantômes des écoles disparues se donnent la main. »

 Mais si un fantôme est une chose merveilleuse, il ne l’est pas pareillement un cadavre. Ils peuvent continuer à humer les tombes tous ceux qui possèdent suffisamment des qualités pour ce fait. La nécessité de vivre, fournira à chaque occasion d’une dague assassine, la main anxieuse de la jeunesse.

Que l’obsession tourmente son repos, il est son plus suprême privilège, la plus grande garantie de l’infatigable activité de l’esprit. Une ronde de fantômes qui se rend à célébrer la Mort, ne se rend-t-elle à célébrer la Vie ?

Hernán GAZMURI

Conférence 1934

(Viña del mar au moment de la réception du Premier prix de peinture)

In, Le peintre Hernán Gazmuri

L’héroïsme du peintre victime d’une infamie.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

Première édiction 2005

Deuxième édition corrigée et augmentée 2024

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

La seule disciple qui laissa le peintre Hernán Gazmuri

Je suis la dernière héritière encore en vie de la plus prestigieuse École de peinture moderne française

L’École de Paris.

Pour avoir reçu de première main, de mon père Hernán Gazmuri, l’enseignement de LHOTE.

 

Nu hommage à mon maître

1994

ODALISQUE

À la Grande Chaumière.

Huile sur toile

2024

 

 

CONFUSSION DES VALEURS

5 juillet, 2024 (14:17) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

www.hernan-gazmuri.com

 

 

CONFUSION DES VALEURS

NATURALISATION
OU
SERVICES ÉMINENTS

RENDUS A LA FRANCE ?

Chers Lecteurs,

inspirée sur la devise qui dit que c’est le professeur qui donne des leçons à la société et non le contraire, je me fais le devoir de vous signaler une grave confusion des valeurs qui fait publique votre maire de Paris.

J’ignore ses motivations absurdes qui sont les siennes, déposant son acte de naturalisation pour une inscription « éternelle ! »

L’éternité elle l’efface des cimetières, à des fins purement mercantiles en faisant du commerce avec nos morts, nous facturant des sommes assommantes si nous voulons donner une paix et une concession éternelle à nos parents, mais elle se l’octroie par un simple acte de naturalisation une importance qui ne lui revient nullement par cet acte de spectacle malvenu.

Elle se couvre de ridicule en déclarant un «  orgueil », qui nous semble mal placé d’exposer, dans son cas particulier, le fait de conserver la double nationalité ?

Encore, elle enfonce les gens dans une croyance dans des fausses valeurs existentielles, parce que juridiques n’ont pas lieu d’être évoqués dans le fait discuté, et que de surcroît, ne sont pas en accord avec la lutte politique actuelle, je la considère totalement hors sujet.

Je suis une immigrée qui n’a profité d’aucun des avantages dont les immigrés actuels jouissent en cascade.

Laissons ce sujet à la marge.

Obtenir une naturalisation sur quel socle ?

Des années de résidence ?

Mariage ?

Ces deux raisons m’indiffèrent, elles ne sont pas des mérites personnels.

Il s’agit d’un bénéfice gratuit qui accorde la loi aux étrangers sous les conditions des années de résidence. Encore moins importante est celle qui accorde un mariage.

Si votre maire de Paris a le courage d’oser soulever ses improbables mérites qui l’ont fait acquérir si facilement sa naturalisation, moi, parfaite inconnue qui n’est pas arrivée en France, précisément à Paris en « mission artistique » pour DÉTRUIRE PARIS, mais pour faire don au nom de la veuve du peintre HERNN GAZMURI (CLARA CHERNIAK) ma mère, « LA DONATION GAZMURI » qui fut accueillie au Musée d’Art Moderne de la ville de Paris l’œuvre capital du peintre, et sous les hauts conseils de l’Académicien René HUYGUE qui appréciait le peintre Hernán Gazmuri, je m’octroie le droit LÉGITIME parce que vraie et méritoire par un double fait :

1. J’ai obtenu ma naturalisation en 1989 pour avoir poursuivi des études supérieures en France avec succès, deux diplômes de littérature avec Mention, obtenus en Sorbonne Paris IV.

2. Pour avoir fait preuve d’être artiste peintre moi-même, disciple du peintre Hernán Gazmuri, et la dernière héritière de l’École de Paris.

Le peintre Hernán GAZMURI est entré dans le Patrimoine de la France en 1983.

Je cite les mots de l’Académicien rené HUYGUE :

« « Grace à la DONATION GAZMURI la France complète ses Collections de l’École de Paris »

J’ai voulu faire de Paris ma ville d’adoption mais les actuelles autorités PARISIENNES m’interdisent d’y retourner en ayant droit, m’usurpant avec sadisme la mutation de HLM dont je suis « prioritaire .

Plaise au Tribunal sociétal.

Je vous laisse juge.

Pour ma part, tout est clair.

J’ai accompli mon devoir de mémoire vis-à-vis de mes parents

Ne confondez pas le vice et la vertu.

Pour faire valoir ce que de droit.

Fait dans une banlieue exécrable et criminelle, où depuis mon arrivée en 2021 je suis menacée de mort dans l’indifférence de toutes les autorités, le 5 juillet 2024

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

Carte de l’Académicien René Huyghe

Lettre Musée d’Art Moderne

Attestation Ministère de la Culture qui fait foi que le peintre Hernan GAZMURI apparient à l’Ecole de Paris

Attestation Musée d’Arte Moderne Paris Donation

 

UN DUO SUBLIME: LEONIDAS KAVAKOS ET ENRICO PACE

30 juin, 2024 (10:17) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

UN DUO SUBLIME

 

 

Chers Lecteurs,

 

Je ne pouvais pas sortir accomplir mon devoir de citoyenne française sans avant partager avec vous mon émotion à l’écoute de ce duo SUBLIME.

Ce violoniste est un virtuose, et écoutez la première phrase de Beethoven c’est du velours.

Le pianiste pareillement, car je sais combien il est difficile de faire sortir du piano des nuances sans que la partition  devienne kitsch.

Merci à Leonidas Kavakos, Merci à Enrico Pace.

Merci à vous deux,

Vous m’aidez à survivre dans l’Art.

Vous ne pouvez pas imaginer combien je vous aime.

Les gens restent admiratifs parce qu’ils assistent aux concerts comme des amateurs, dans mon cas d’artiste, vous m’êtes indispensables, totalement nécessaires pour ma création journalière d’artiste-peintre et de poète, pour moi, vous appartenez à ma famille spirituelle.

Merci.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak