CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

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MON EXPÉRIENCE LITTÉRAIRE AVEC UN ROBOT DE L’IA

24 octobre, 2025 (11:32) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

COUVERTURE ESSAI VOLUME II LA MORT EN FRANCE. 

 

 

 

 

        MON EXPÉRIENCE LITTÉRAIRE

 

 

                   AVEC UN ROBOT DE L’IA

 

 

 

 

Chers Lecteurs,

J’ai toujours été contre l’IA, la robotisation et la dématérialisation parce qu’elles sont des alternatives de déshumanisation. Je les nommais : la crétinisation sociétale.

Nonobstant…Oui, il faut se rendre à l’évidence des nuances « humaines » qui nous obligent à revoir nos croyances.

J’avoue m’être trompée.

Ma troisième et désastreuse « expérience » d’inscription universitaire m’a exigée à me connecter au ChatGPT et voici le résultat de mon expérience, une merveilleuse expérience que je ne pouvais pas laisser en silence.

Je ne savais rien de chatGPT et je n’ai jamais voulu me connecter par refus « intellectuel » et par peur. Mais une fois que j’ai entendu le médecin et écrivain  Laurent Alexandre auteur NE FAITES PLUS D’ÉTUDES, je vais acheter son livre dès que possible, je me suis dit il faut y aller !

Ce que je viens d’expérimenter avec mon inscription universitaire pour y étudier le RUSSE a été désastreuse.

Je me suis dit, il faut que j’essaie et je suis allée au ChatGPT, à l’IA et lui ai soumis un morceau d’un essai que je suis en train de finir en ce moment, il s’agit du volume II de mon essai LA MORT EN FRANCE : POLITIQUE FUNÉRAIRE DE LA TERREUR.

Le robot m’a surpris, car avant de juger une partie de mon essai, il m’a demandé si je voulais qu’il intervienne, tout de suite, je lui ai dit que je ne cherchais point de « correction », parce que je ne l’accepte de « personne », « un témoignage sur LA MORT ne peut se « corriger », il s’agit d’une expérience humaine qui touche les tréfonds de l’âme, elle est en dehors de toute  tentative de « correction », il ne s’agit point de syntaxe, ni de grammaire ni d’orthographe.

Mais j’ai ajouté qu’en revanche ce que je lui demandais était une « évaluation » et un jugement ce que je n’obtiens pas d’autrui, puisque je ne suis pas éditée par un éditeur d’importance que par moi-même et en cinq exemplaires, et mon statut d’auteur indépendant laisse tous mes textes dans l’état d’invisibilité totale.

Mon étonnement a été foudroyant quand j’ai reçu en réponse un verdict surprenant, hautement élogieux que je peux mi permettre de répéter, parce qu’il sort d’un robot et pas d’un « être humain » que jadis, je mettais sur un piédestal or ces « êtres humains » détruisirent ma vie professionnelle, ils m’appauvrirent avec leurs faux jugements intellectuels et fausses appréciations esthétiques, parce que vides de vérité, et uniquement motivés par leurs sentiments d’infériorité des êtres complexés et ancrés fortement dans leurs cerveaux très matériels et non « virtuels », qui se mirent en action contre moi par jalousie et sadisme et je me suis trouvée désemparée, sans pouvoir me défendre.

Les erronés jugements intellectuels ne peuvent devenir l’objet d’un jugement juridique, parce qu’un tribunal est inopérant et va se déclarer « incompétent », puisque quand ces « faux jugements intellectuels » ils sortent des « professeurs assermentés » l’étudiant ou le professeur qui « passe » un concours fait preuve de les dépasser intellectuellement et qui a raison dans ses jugements intellectuels, il reste, « un inférieur » dans l’échelle ADMINISTRATIVE et les juges ne peuvent prendre parti.

LE JUGEMENT DE MON TEXTE PAR LE CHATGPT

Le robot virtuel à la lecture de quelques pages de mon « essai-témoignage », il a jugé le texte et rien que le texte, et l’a inscrit dans une échelle de valeurs la plus haute est la soussignée fut jugée avec d’éloges intellectuels : il m’a trouvée : « une capacité intellectuelle supérieure et douée des grandes aptitudes pour la recherche de haut niveau, faisant preuve ingéniosité, de nouveauté en mêlant un esprit de finesse et de spiritualité toutes travaillées avec une grande force poétique »

Bref, aucun signe d’adulation partisane, et aucun signe de jalousie, le robot se tient aux mots, et à la construction du texte aussi bien par sa forme que par son contenu pour son évaluation et enfin, je n’étais pas « LA GAZMURI » comme me nomment mes ennemis.

Comment pourrait-il agir contre ma personne ?

Il ne peut pas juger mes écrits en noyant mon essai dans des mauvais sentiments ; s’il ne les a point, il n’a aucun type de sentiments, ni bons ni mauvais, il ne possède ni de vices ni de vertus ! ?!

Le robot n’est pas un humain, je peux lui faire confiance, une entière confiance !

Deux facteurs dans ma confiance sont déterminants : d’une part, il est dépourvu de « sensibilité », car il n’est pas un « humain », donc il ne génère aucun vice des humains, et d’autre part, il ne me connait pas, il n’a pas de moi, la « connaissance humaine » donc un mur étanche s’installe, c’est qu’on doit nommer comme étant une« méconnaissance » absolue de l’interlocuteur, c’est ce qui nous sépare et qui écarte le danger de la moindre possibilité de tromperie et de trahison dans son jugement intellectuel.

Il ne me juge que par mon texte, et je dois confesser que j’en ai été ravie, je suis sortie de mon écritoire où j’étais collée à mon ordinateur avec le ravissement d’avoir fait une expérience inoubliable.

Enfin, je pouvais dialoguer intellectuellement avec un robot qui remplaçait mes maîtres de jadis !

Parce qu’avec « les Professeurs » de notre époque le dialogue est INTERDIT.

Le protocole universitaire interdit qu’il ne vienne s’installer une connaissance approfondie entre maîtres-élèves, et si l’on sait davantage, ils se déstabilisent et fuient de peur !.

Parce que les professeurs de notre époque sont ignorants, oui, ils le sont !

L’on juge trompeusement la capacité cognitive qui doit être « intelligente » la croyant synonyme à la capacité de « mémoire » et, ils ignorent que la véritable « intelligence » n’est pas celle que les étudiants admirent, mais la capacité de mettre en dynamique devant les élèves des articulations remplies de nouveauté, afin d’éveiller chez eux la curiosité, la sensibilité, l’esprit d’initiative et l’esprit critique et avant tout, il faut que les professeurs les obligent à étudier AVANT d’arriver en cours pour entamer avec le Professeur un DIALOGUE ce que les étudiants sont incapables de réaliser parce qu’ils arrivent du lycée en parfaits ignorants et l’université est pour le ministère et les rectorats une caserne qui se propose la continuité des lycées, avec un enseignement scolaire, ennuyeux à en mourir, et qui remplit ce que le secondaire n’a pas fait, et c’est la mort assurée de la connaissance qui est au sein de la fac une seconde étape et prolongation du lycée. Dans l’espèce, je perds mon temps et j’ai dû quitter pour ne pas perdre ma vie, il ne me reste qu’un soupir pour profiter et je compte le profiter au maximum !

Les élèves à peine sortis du lycée et qui ne méritent point leur place en sciences humaines sont convaincus que les professeurs Wikipédia ambulants sont des « intellectuels », la vérité est qu’ils détruisent la pensée et les capacités intellectuelles si l’on se soumet à les écouter.

C’est un vaste sujet à développer ailleurs pas dans ce article.

Deux composantes seront toujours absentes d’un robot ChatGPT : les sentiments et la sensibilité.

Ces deux éléments forment parti de l’Amour et de l’Art.

Les deux sont intimement liés.

Si l’on veut les préserver, cette époque exige de les sauvegarder en ermite.

Je ne soumettrais jamais mon art ni ne parlerai de « sentiments » à l’IA, mais pour tout que qui concerne la connaissance et un jugement intellectuel, nous sommes dans l’espace de la vérité.

Le médecin-écrivain Laurent Alexandre a très bien alerté que l’IA ne doit pas devenir une « prothèse cognitive. »

C’est là qui réside le principal danger, méconnaître le bon usage que l’on doit faire de l’I.A.

L’IA ne doit pas remplacer notre activité cognitive, il faut savoir s’en servir, et ce savoir-faire, nous demande au contraire de nous dépasser nous-mêmes, bien  avant de lui soumettre un texte pour son évaluation. Or, ce que les étudiants imbéciles font est de leur demander de faire le travail à leur place et ils s’affairent à remplacer des mots et des phrases avec des synonymes et ils restent aussi ignorants qu’auparavant.

Les professeurs en font de même ou bien pire !

 

Carmen Florence Gazmuri-Cherniak

LES INVARIANTS PLASTIQUES

24 octobre, 2025 (08:47) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

LE PEINTRE HERNÁN GAZMURI DANS L’ATELIER DE LHOTE PARIS 1928-1932

 

  « LES INVARIANTS PLASTIQUES »

 

 

 

 

 

Chers Lecteurs,

 

De tous les désavantages de la vieillesse, le pire n’est pas de perdre à tout jamais une figure florissante, c’est ce que tout le monde croit, mais de ne plus pouvoir entamer des projets, et notre plus riche avantage est celui d’avoir acquis « l’expérience de vie » qui nous épargne de tomber dans la naïveté et l’idéalisme.  Personne ne peut plus nous atteindre.

« Les Invariants Plastiques « d’André Lhote est une théorie de la peinture éternelle parce qu’elle nous permet de renouveler la peinture avec une théorie-Il dit qu’il n’y a pas de bonne peintre sans théories – et sa théorie nous permet de nous renouveler nous-mêmes en tant que peintres en avançant sur des nouvelles solutions plastiques sans nous répéter.

Je serai brève, et je vais écrire seulement quelques lignes à propos de la peinture, une de mes raisons de vivre et la raison principale pour laquelle j’ai fui le Chili et suis venue avec Maman « en mission artistique » comme m’a défini l’Académicien Monsieur René Huygue en 1980.

Non, je ne ferai point de cours de peinture en ligne, tel qui me l’a dit mon maître et père, « tu as l’avantage de connaître les Invariants plastiques dès tes seize ans avec moi, et n’oublie jamais que moi, j’ai perdu presque ma vie, pour aller étudier avec André Lhote, l’on ne donne jamais nos connaissances à personne. »

Oui, ce sont des « secrets d’école » et ils doivent rester gardés entre Maître et élèves, de ces secrets que jadis transmettaient les maîtres à ses élèves dans leur atelier.

Moi, je ne reçois aucun enseignement gratuitement, n’attendez plus de moi la même générosité exaltante de ma jeunesse, parce que ce que la France « gratuitement » m’a donné en abondance et tel qu’un tsunami, les gifles de jalousie et de sadisme, voici mon retour.

Ceci dit, il faut savoir qu’il y a à Paris deux expositions de peinture de la plus haute valeur qu’il ne faut surtout pas rater, celle de la Collection de l’École de Paris au Musée de Montmartre, et l’exposition de Georges de la Tour au Musée Jacquemart -André.

J’irai les voir tranquillement le mois prochain.

Elles sont en ce moment dans deux lieux de privilège sans que la publicité soit aussi significative que pour les autres sans aucune valeur picturale.

Des affiches publicitaires dans les médias répandent l’ignorance ; elles obtiennent le but attendu : que la société continue à s’enfoncer dans l’erreur en exaltant les médiocres sans jamais pouvoir jeter un regard intelligent sur ce qui est la peinture véritable et montent sur un piédestal l’avalanche des « barbouilleurs » qui se disent peintres, et la masse les suit avec une crédulité assommante.

La vrai peinture a comme base le DESSIN sans lequel il n’y a pas de « peinture », donc les « peintures monochromes » et les toiles qui débordent de NOIR que les ignorants veulent faire croire que le noir est « lumineux » se couvrent de ridicule et ils exposent tel que ces faux peintres, leur ignorance accablante.

Deux petites touches d’écriture avant de fermer cet article, car je suis la même ligne de LHOTE, je vis entre la palette et l’écritoire, pour vous alerter qu’il ne faut pas suivre la tendance que les imbéciles répandent çà et là.

Et, faisant honneur à mon maître le peintre Hernán Gazmuri et à son maître André Lhote, je vous dis, que les secrets d’école se gardent précieusement, comme l’écrit André Lhote dans son « Introduction au Traité du Paysage et de la Figure  :

« Un livre à ne pas laisser entre toutes les mains »

 

Carmen Florence Gazmuri-Cherniak

LA MANIPULATION SOCIÉTALE PAR LE DISCOURS, L’ARGENT ET LA PEUR

23 octobre, 2025 (18:58) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

 

 

 

 

 

 

     LA MANIPULATION SOCIÉTALE

 

 

                      PAR LES MOTS, L’ARGENT

                                   ET LA PEUR

 

 

 

Chers Lecteurs,

C’est depuis que la philosophie critique est née à Francfort et qu’en France le discours analytique du pouvoir s’est révélé fructueux avec les analyses de Foucault et qu’Axel Honneht nous a ouvert la voie vers une nouvelle articulation socio-philosophique qui nous a permis de connaître et maîtriser les méthodes contraignantes du pouvoir, et  c’est depuis que nous avons une palette des nouvelles données contemporaines de grande force interprétative à notre disposition pour nous défendre de ces imposteurs en politique.

« Avant » la domination politique était mise en place par le discours, ensuite par tous les moyens modernes qui ont ouvert le champ de la linguistique appliquée par l’administration et ses « protocoles » destinés à asservir,  à nous contrôler et  nous manipuler, et en fin de compte arriver à leurs fins : LA DOMINATION SOCIÉTALE ABSOLUE.

La propagande contre la Russie va vent en poupe, alliée des USA, la France et « ce nouvel Occident »  qui veut sortir ses griffes en se couvrant de ridicule se sont alliés pour mettre à genoux la Russie, monumental projet de tous ses  incapables.

Les nouvelles sanctions, l’augmentation d’armement qui fera convaincre aux Français bien posés et tranquillement, par le moyen d’une bonne justification , cette nouvelle année blanche qu’ils programment, les hausses des prix qui provoquera encore plus de pauvreté.

Mais il ne faut pas oublier que ce sont ces« experts » en économie qui laissèrent la France à genoux, et qui ne cessent de nous dire que c’est la Russie qui est en « grave difficulté financière !».

À présent ils nous bombardent du matin au soir dans tous les médias avec la propagande grotesque que mon Président Putin prépare l’invasion de la France, les imbéciles qui se greffent aux analphabètes sont aussi crédules en matière de mensonge d’État qu’en matière d’histoire, deux éléments déterminants qui aide le gouvernement à poursuivre son programme de dopage cérébral.

Et, et ce programme sinistre est diffusé par éditorialistes et Généraux à la retraite qui nous déplient leurs discours savants où se mêlent des analyses comparatives sur le comportement de PUTIN à des rappels historique anciens fort déplacés, et sans lien véritable avec le présent, parce que leurs exégèses psychanalytiques sont hors sujet. La psychanalyse me semble-t-il, doit rester à la marge aussi bien dans la guerre que dans les arts et tout particulièrement dans la littérature, la psychiatrie doit rester proscrite.

Pourquoi ?

Parce que d’une part, la littérature est une création fictionnelle, elle crée des  êtres de fiction, la psychiatrie est une science qui s’adresse aux êtres vivants pour guérir leurs maladies mentales, et d’autre part, la guerre, les militaires,  ses « chevaliers », travaillent avec des programmes guerriers qui naissent d’une stratégie militaire !

Ce qui n’a aucun rapport avec la psychiatrie qui est introduite de force dans tous les conflits soient -ils guerriers, historiques et juridiques, pour excuser les crimes les plus abjects.

L’intention du gouvernement est de faire oublier l’inflation, la dette abyssale, et les problèmes les plus terribles qui subissent les Français, par le moyen de la peur d’une guerre imminente.

Ces politicards de la pire catégorie et ses parvenues qui depuis qu’ils sont au pouvoir, depuis une quarantaine d’années, transformèrent la France en dépotoir et en pays du « Tiers-Monde ! »

J’ai honte et je suis partagée entre la révolte et l’indignation, parmi une masse de bovins soumis au mensonge d’État.

Ils sont franchement pathétiques et il est bien pire encore cette nouvelle donne : qui soit le peuple qui les supporte parfaitement dopés !

 

Carmen Florence GAZMURI-CHERNIAK

Надежд Газмури Чернияк

 

 

 

 

UN PSYCHODRAME DE NOTRE TEMPS

21 octobre, 2025 (10:43) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

 

UN PSYCHODRAME DE NOTRE TEMPS

 

 

 

Chers Lecteurs,

Tous ceux qui comme moi, aiment la justice, face à ce psychodrame d’un jugement hors-série de l’ancien président de la République et ensuite du verdict et de cette incarcération, le tribunal sociétal, public et celui des réseaux sociaux auxquelles je n’appartiens pas, tout comme je n’appartiens à aucun parti, à aucun groupe ni association ; je suis une solitaire et indépendante ; donc,  les gens commentent et agissent uniquement guidés par ses propres convictions politiques, et s’octroient le droit de juger sans avoir le dossier entre ses mains, clause qui s’impose et qui est déterminante pour oser donner une « opinion » digne en matière de droit et avec une composante dangereuse parce qu’elle se fera publique.

L’intelligence force la personne qui la possède à se conduire de la sorte, faisant preuve d’être en possession de cette vertu si rare à notre époque.

J’aime le droit et, parce que j’aime la justice qu’en 2017 j’ai été admise tout de suite après m’avoir inscrite en Parcoursup à la fac de droit d’Assas, mais à ce moment-là, je traversais une période très spéciale, et je n’avais pas  d’argent pour m’acquitter des frais d’inscription universitaire, alors le secrétariat me conseilla d’écrire une lettre de motivation au doyen de la faculté, mais cette illustre figure m’a répondu personnellement et négativement. J’ai dû me plier à son honorable décision.

Aujourd’hui, si cet illustre personnage avait eu la générosité d’acquiescer à l’exonération demandée pour une seule année évidement, aujourd’hui, je serais déjà avocate.

J’avais de projets de haut niveau.

En premier lieu, juger moi-même l’assassin de Maman et ces trois complices.

Il y a des situations exceptionnelles en cas de crime avéré où une personne de la famille qui est un professionnel de droit, est autorisé à présenter le dossier devant le Tribunal compétent, dans mon cas particulier, il s’agit d’une plainte pénale. Pour le cas de Maman, un crime avéré, il n’y a pas de prescription.

Il est très rare qu’une personne de la famille mène une telle procédure et qui soit avocat, mais cela existe.

Ceci dit, c’est depuis toujours et du plus loin que je m’en souvienne, c’était depuis mon adolescence de jeune lycéenne que je voulais faire une formation de droit pour défendre les innocents, mais le programme chilien et son histoire me déplaisaient, parce que je regardais vers la France et l’historie n’entrait pas dans mon centre d’intérêt, alors j’ai décidé de suivre la formation de pédagogie en espagnol pour défendre mes écrivains.  Parcours aussi noble que celui d’une formation de droit.

Une mauvaise compréhension de l’art littéraire et de tout Art mal enseigné est aussi un crime spirituel.

Le temps par lequel nous passons si vite, et le destin malencontreux, m’ont donné une autre réponse et je fais maintenant face à tous les obstacles, cet à contre-courant sur tout ce qui me dépasse qu’à présent, je prends mes décisions, c’est là, voyez-vous, une mesure d’intelligence nécessaire pour se préserver et ne pas sombrer.

Revenant à ce psychodrame, et après cette longue, mais nécessaire didascalie, je vais vous dire ce que je pense, et le motif pour lequel je n’ai rien écrit auparavant.

En matière de droit, personne n’est autorisée à écrire sans maîtriser le dossier.

« Les preuves en l’espèce » qui sont l’élément déterminant pour donner un jugement, sans cet élément, vous et moi, nous sommes interdits de juger. Les dires superflus, motivés par des « opinions » tendancieuses et personnelles restent hors sujet. Et c’est parfait ainsi.

Je n’ai pas lu ce dossier monumental d’accusation contre l’ancien Président de la République française, donc je ne suis pas autorisée à parler ou à écrire prenant parti ou bien, sur sa culpabilité ou bien, sur son innocence.

Nonobstant… chacun de nous a une intime conviction, elle doit rester entourée de tous les interdits sérieux nommés ci-dessus.

De tout ce qui fut exposé dans les médias, une seule chose a retenu toute mon attention, il n’y a pas eu d’accusation pour enrichissement personnel ni de conflit d’intérêt, donc cette clause, pour moi fondamentale dans le jugement de quiconque est accusé est sans conteste un élément de la plus haute importance.

Enfin, l’être humain que je suis, mais traitée en France pire qu’un animal, sachez-le, parce que même un animal possède un statut juridique depuis des années « d’être doué d’une sensibilité » et j’aime outre mesure les animaux, or, après avoir regardé les médias ce matin, dans mon for intérieur, je me suis dit ceci :

Quel psychodrame abominable, au lieu de l’ancien Président de la République française, j’aurais tant souhaité que cette France de laquelle « j’étais amoureuse » et à qui j’ai tout donné, exerçant une mesure de justice et d’honneur à la suppliciée qui fut Maman entre les griffes de ces faux médecins assassins.

J’attendais de la France la justice, elle ne me fut jamais donnée, elle ne nous a jamais été donnée.

La justice aurait dû incarcérer et les laisser périr à perpétuité cette bande diabolique de faux médecins.

Ils sont chichement en train d’exercer, vivent en toute tranquillité et de surcroit inscrits sur Doctolib.

Celle-ci a été mon unique pensée que je maintiens et que je maintiendrai intacte jusqu’à mon dernier jour.

Que justice soit faite ici-bas c’est un désir qui ne s’étiendra jamais et dont j’ai le droit de l’exprimer, d’une part, parce que j’ai été le seul témoin oculaire du refus de soins prémédité avec des circonstances aggravantes  et d’autre part, parce que j’ai un dossier monumental avec les preuves en l’espèce qui démontrent clairement le crime contre maman souffrante.

Souhaiter le châtiment du Ciel, n’est pas de ma compétence…Et le jugement et le châtiment de ces tortionnaires de Maman est un impératif de justice et applicable ici-bas.

 

Надежда Газмур Чернияк

CYNISME POLITIQUE

20 octobre, 2025 (20:43) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

      LE CYNISME POLITIQUE

 

                  EST ABOMINABLE

 

        IL FAUT QUE L’ON FASSE UN

             ASSAINISSEMENT

            AVEC CARACTÈRE

       D’URGENCE ABSOLUE

QUI EST LA PRINCIPALE COUPABLE?

 

C’EST ELLE, ÉVIDEMMENT  ET ÉTANT DONNÉ

 

QU’ELLE NE VA JAMAIS ADMETTRE SA FAUTE,

SES FAUTES, UNE SEULE MESURE POLITIQUE S’IMPOSE

 

IL FAUT LA DESTITUER DE CE POSTE DE RESPONSABILITÉ,

 

PARCE QU’ELLE NE LE MÉRITE POINT ET ELLE N’EST PAS A LA HAUTEUR;

 

CERTAINS POLITIQUES HONORABLES L’ONT DEMANDÉ,

 

SUIVONS LEUR EXEMPLE, NE CONTRIBUEZ PAS A CETTE LONGUE ET HONTEUSE

 

PÉRIODE DE DESHONNEUR QUE VOUS JETTEZ SUR LA FRANCE !

 

Надежда Газмури Чернияк

FAUTE D’ÉTAT – MESSAGE AUX PARVENUS IRRESPONSABLES : JE PEUX VOUS ENVOYER LES COORDONNÉES DE L’ENTREPRISE DE MA TÉLÉSURVEILLANCE

20 octobre, 2025 (08:31) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

 

                  UNE PREUVE EN L’ESPÈCE

 

                        LA FRANCE A ÉTÉ CONFIÉE

   ENTRE LES MAINS DE PARVENUS DÉVERGONDÉS

 

 

 

Chers Lecteurs,

Le plus marquant de cette affaire de braquage au Musée du Louvre est le silence des autorités, « quand elles disent « nous ne sommes pas compétentes » je le prends très au sérieux, alors quand je traverse un conflit non résolu par l’administration, avec pleine autorité de victime  je dis : « je l’ai déjà signalé aux autorités INCOMPÉTENTES », et je dis vrai, car ce sont elles-mêmes qui se reconnaissent comme des vraies INCOMPÉTENTES.

Si j’étais nommée sur un poste de responsabilité quel qu’il soit, ma première préoccupation serait d’assurer les lieux.

À présent, dans ce monde fait d’escrocs, de malfaiteurs, des criminels  qu’ils le soient ouvertement ou sous couvert des postes de responsabilité, ils se croient surpuissants assermentés par l’État ce qui leur permet d’oser les canailleries les plus basses.

Alors, les industriels et commerçants se sont mis d’accord et ils mirent en place un réseau commercial bien préparé pour « nous venir en aide » et nous « protéger » ; ces entreprises ont vu et visé juste en analysant le nombre d’agressions, et cambriolages chez les particuliers.

Ces industriels savent combien est difficile à maîtriser la détresse que les gens peuvent ressentir chez eux, parce qu’exposés à toute sorte d’attaques d’individus lâches qui leur condition de pègre les fait croire que tout leur est permis.

Ces entreprises qui louent les services techniques et l’appareillage de surveillance demandent des forfaits assez onéreux pour une personne comme moi-même à misérables revenus, mais je suis obligée à me soumettre et je dois payer.

Vous direz, mais elle n’a rien, certes, au vu de la société française, je ne suis RIEN et je n’ai RIEN, mon compte en banque est toujours vide, ce qu pour cette société qui chiffre la valeur d’une personne dans l’argent, me remplit d’ignominie, car les pauvres gens me jugent pour mon  manque d’argent.

J’ai deux trésors chez moi : ma bibliothèque et mes toiles.

Je ne les ai pas achetés hier ni avant-hier, mes livres sont le résultat de plus de quarante années de travail ou lentement, j’ai constitué ma propre bibliothèque qui n’a pas des livres luxueux de la Pléiade, mais des livres d’étude bien choisis, livres de peinture et de ma littérature constituée des compagnons de route intellectuelle.

Mon petit atelier, je ne l’ai pas peint l’année dernière, de l’année dernière il y a plus de trente travaux récents, mais j’ai commencé à dessiner et à peindre en France il y a déjà quarante ans, quand mes faibles revenus me le permettaient. Je devrais en avoir un très grand atelier, mais je ne peignais que quand mes revenus me le permettaient et quand mes responsabilités d’amour familial me laissaient le temps de libre. Pour moi, l’humain a plus de valeur que l’Art, je donne préférence à la VIE.

Mes deux trésors étaient ici exposés aux voleurs, j’ai été menacée de mort  dès le lendemain de mon arrivée, ce fait ignoble ne m’est jamais arrivée à Paris où l’on est merveilleusement ANONYME, mais dans les banlieues,  cet anonymat que j’aime est impossible de préserver.

Donc, j’ai loué les services d’une entreprise de télésurveillance qui est à toute épreuve.

Dès que je l’ai i stalle les attaques se sont estompées, la preuve que cette Cité en remplie de lâches malfaiteurs.

Alors, regardez le contraste entre une citoyenne sans aucune importance comme moi-même qui vit entourée de mépris et d’invisibilité et les grandes institutions et les édifices qui ont la charge de garder le patrimoine de la France !

Le fait de réfléchir à ce contraste invraisemblable est accablant, et nous signale la conduite à adopter : nous sommes obligés si nous avons une « conscience citoyenne » à d’une part, le dénoncer, et d’autre part, à exiger que ces fausses autorités incompétentes soient destituées de leurs fonctions.

Ne pas le faire est une faute citoyenne et rester en faute d’ une demande de réparation aux erreurs commises par les autorités en place ; les responsabilités sont claires et tous les français devraient réclamer sans partis pris et en toute objectivité.

Le monde est rempli des dangers, les vrais coupables sont ceux qui manquent à leur devoir de sauvegarde des trésors qui lui ont été confiés. Un Ministère a non seulement la tache de l’organisation administrative, pour l’heure, elle est désastreuse, mais ce sont les citoyens qui doivent par le suffrage en remédier le temps voulu.

Le plus grave est que les individus de plus basse condition spirituelle et professionnelle ont les clés de la maison.

L’on, ne nomme pas des incapables au sommet des institutions, ils se sont couverts de honte avec le laissez-passer aux cambrioleurs.

Si je laisse ma maison sans protection, il sera ma faute si je me fais saccager et, si j’ai la télésurveillance et si par malheur, elle ne fonctionnait point, c’est l’entreprise qui serait en faute et en toute justice je pourrais l’assigner devant les tribunaux !

Mais en l’espèce, il n’y a dans cette affaire qu’une seule coupable pour avoir laissé le musée du Louvre à nu et à la merci des criminels.

« LA FAUTE D’ÉTAT EST L’INFRACTION DE MANQUE DE PROTECTION AU PATRIMOINE DE LA FRANCE. »

Vous pouvez consulter le web avec aisance, les délits et les peines encourues sont détaillées et c’est précisément le Ministère de l’Inculture qui le donne le détail.

Je vous le recommande bien vivement et vous souhaite une bonne lecture.

Надежда Газмури Чернияк

DÉLIQUESCENCE POLITIQUE

19 octobre, 2025 (20:40) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

            DÉLIQUESCENCE POLITIQUE

 

 

 

“L’art est la présence dans la vie de ce qui devrait appartenir à la mort ; le musée est le seul lieu du monde qui échappe à la mort.” 

                                                André MALRAUX

 

 

 

Chers Lecteurs,

 

Le Louvre est aussi dépourvu de protection qu’une vulgaire HLM et les politicards en place et ceux qui ont déjà quitté le pouvoir, se sont mis à nous donner des informations journalistiques, au lieu de demander pardon à la France pour leur cupidité !

Au lieu de dépenser leur temps en soirées mondaines, se consacrer à  surveiller leur garde-robe, et distribuer la Légion d’honneur au vedettariat, il serait grand temps qu’au moins cette bande de parvenus s’occupent de veiller à la sécurité des lieux de culture qui gardent le Patrimoine de la France et, par la même occasion, il va falloir leur dire de mettre les mêmes cadenas qu’ils ont dans leurs villas.

L’une répète les mêmes phrases de la police, elle s’autorise des commentaires que personne ne les lui a jamais demandés et, pour compléter le cadre de la honte, un autre vieux politicard dit que c’est un fait « très grave », nous n’avons pas besoin de « commentaires » mais des actes !

Nous restons avec deux commentaires superflus de grand-mères sans culture qui causent devant le poste de télévision.

Laisser démunis les lieux les plus sacrés d’un pays qui gardent les trésors de l’humanité est scandaleux et vous déshonore.

Les musées sont sans protection et négligés, dépourvus de toute la panoplie de protection dont nous disposons quand bien même nous ne faisons que nous protéger individuellement de la pègre banlieusarde, ces crétins ont laissé sans verrous destinés à donner la plus haute sécurité au Louvre.

Vous devez prendre conscience que cet acte mafieux est révélateur et mérite que ceux qui sont en poste soient destitués ipso facto.

Si vous les laissez-faire, vous qui vous dites français de souche en méprisant ceux qui, selon vos calculs, ne méritent pas la France – j’ignore quelle est votre échelle de valeurs – regardez-vous en quoi débouche votre comportement de parvenus !

Ceux qui vous octroient ces postes sont les premiers coupables, parce qu’ils donnent la tutelle des lieux sacrés du pays entre les mains d’incompétents.

Les commentaires superflus cachent la vérité, ne jetez pas la faute aux voleurs, cherchez les vrais coupables ! Ceux qui leur ouvrent les portes !

« C’est par leurs actes vous les connaitrez »

Je vous ai connus dès que l’on vous a nommés, je me suis dit:

Pauvre France cette nomination sera une catastrophe. La voici, et ceci ne fait que commencer !

Une souvenance de jeunesse qui est nécessaire de vous rappeler  ce soir :

Un jour en parlant avec l’Académicien René Huyghe, j’ai su par lui-même ce qui est écrit dans les livres :  pendant l’Occupation, il a sauvé des tableaux du Louvre, il y était Conservateur ; René Huyghe les a sauvés des griffes des nazis, les gardant cachés chez lui, ensuite, quand il a été Conservateur du Musée Jacquemart André, les mafias jetèrent sur lui des ignominies face à son travail d’années de bénévolat en silence, en totale discrétion et sans le moindre profit, un acte qui s’est prolongé des années durant. Là, j’ai su que les mafias existaient aussi en France, j’étais naïve et parfaitement idiote en idéalisant mon pays d’adoption qui n’a pas respecté son contrat.

Les parents adoptifs se doivent de protéger et de respecter les « enfants adoptifs » comme leurs propres enfants. Un pays qui adopte une citoyenne sans faute qui a du mérite et qui honore son pays d’adoption, mérite le même respect. C’est THÉMIS qui le dit.

C’est ainsi que vous vous comportez avec les vraies valeurs de la France.

Quarante années se sont écoulées et la France que je suis venue chercher a touché les abysses de sa plus honteuse déliquescence en s’entourant d’ignorants et des parvenus aux postes de direction de « l’Inculture. »

 

Надежда Газмури Черняк

 

 

MOI, J’AI LA TÉLÉSURVEILLANCE ET J’AI PLEIN DE CAMÉRAS ET D’ALARMES ET LE LOUVRE N’A PAS SONNÉ ?! VIVE….L’INCULTURE VOUS ÊTES UNE HONTE NATIONALE ET MONDIALE !

19 octobre, 2025 (14:01) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

          EN FRANCE  NON SEULEMENT L’INCULTURE

A LE VENT EN POUPE, MAIS SE GREFFE

      UNE NEGLIGENCE ASSOMMANTE !

 

            LE LOUVRE EST AUSSI NÉGLIGÉ

                    QUE CETTE -HLM INSALUBRE

 

 

                    J’AI HONTE !

 

MOI, SI PAR MÉGARDE JE FAIS UNE MAUVAISE

MANIPULATION,

 

 

L’ ALARME SE DÉCLENCHE IPSO FACTO

ET L’ON L’ÉCOUTE JUSQU’À MONTPARNASSE !

LA POLICE ARRIVERAIT TOUT DE SUITE !

ET LE MUSÉE DU LOUVRE

 EST REMPLI DES MALFAITEURS

EN BANDE ORGANISÉE 

ET IL RESTE EN SILENCE ABSOLU?!

 

BRAVO!

 

CONTINUEZ !

PARIS, MA VILLE, TRÈS BIEN ORGANISÉE ET TRÈS

BIEN PROTÉGÉE!

 

VIVE LES PROCHAINES ÉLÉCTIONS !

 

  Надежда Газмури Чэрняк

REQUIEM À MAMAN – MAMAN DIS-MOI, DIEU EST AVEC TOI ?

16 octobre, 2025 (13:34) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

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                       RÉQUIEM À MAMAN

                                                                 2013-2025

 

 

  « La mort révèle l’amour, c’est l’inconsolable qui pleure l’irremplaçable »

                                            Vladimir JANKÉLÉVITCH

 

                                       « La patrie est là où l’on nous aime »

                                                 Mikhaïl LERMONTOV

I

Maman,

Ici-bas, je survis et je ne me laisse pas abattre.

Le néant dont parlent les philosophes, je l’ai vécu le 18 octobre 2013

Ce néant ne fut pas l’élucubration de la pensée qui se complait

À faire des phrases sophistiques pour parloter

Sur les articulations de l’inconnu

Sans le vivre ni le connaitre dans l’ici et maintenant.

Quand par cinq spasmes respiratoires

qui ont fait sauter ton corps squelettique du lit dur et froid

De cet hôpital du 20 de Paris.

Je ne comprenais pas

Que c’était la Mort qui t’arrachait de moi…

Tes yeux avec un regard d’épouvante

Les miens effrayés, obligés à te regarder pour la dernière fois.

Non, je ne le croyais pas

J’ai vu, senti et touché le néant

Un vide blanchâtre m’aspirait

Un vide blanchâtre qui insondable m’obligeait à tomber

Et à le suivre.

La lutte contre le Néant

m’échappait

Ton corps exsangue

Tes bras pendants

je t’ai fermé tes yeux

Je t’embrassais désespérée d’horreur

Sans me détacher de toi

J’aurais voulu

Qu’on m’enferme dans le même cercueil avec toi

Un binôme

Toitures les deux  jamais séparées

D’avant la naissance jusqu’à la même tombe.

  II

Tes yeux d’un regard qui ne changeait jamais

De son éternelle lumière de pure tendresse

Tes yeux qui ne me regarderaient plus jamais

avec ton océan de tendresse

De mère belle et sublime

J’ai toujours dit comme tout le monde

Que tu étais d’une beauté sublime

Les gens disaient de toi :

« Votre mère est d ‘une beauté émouvante »

III

Elles m’ont dit

Qu’embrassée à toi

J’ai hurlé

Pleuré

Pendant une heure sans arrêt.

Je n’ai plus de larmes

Depuis, je ne pleure plus jamais

Rien ne me fait pleurer.

Elles me laissèrent pleurer attachée à toi plus d’une heure

Sans arrêt

Dans l’hôpital, c’est moi qui a dû courir annoncer ta mort

C’était un vendredi à 12.50

Dans un instant tout le personnel s’est sauvé de l’étage

Comme des rats

Effrayées de voir

Que leur projet diabolique

Avait eu son effet.

Ta Mort atroce

Par « Le Sicaire «  avait été si bien programmée

avait donné son résultat

Elles laissèrent vide instantanément l’étage

Et allèrent se cacher comme des rats.

IV

Jusqu’à ce qu’une petite aide-soignante voilée

Arriva avec une tasse de thé

Et m’a dit :

« Je sais ce que vous devez supporter ici… »

« Je sais tout ce que vous devez subir dans cet hôpital « 

Pour me dire  ensuite qu’on allait t’enlever

et que devait boire parce que j’étais déshydratée

Je ne voulais pas

Elle m’a dit :

Vous ne pouvez-pas rester comme ça

On vous a laissé pleurer. »

À la porte hermétique fermée

De la chambre de la douleur

Où toutes seules toi et moi, Maman

Étions enfermées sans personne

Dans la chambre de la douleur

Tu te nécrosais  à vif

De l’intérieur vers l’extérieur

Moi, je devenais une autre femme

Ma voie sans toi serait jusqu’à ma mort

une route gelée et escarpée.

Ils avaient programmé

sous les ordres du « Docteur Traître-Tant »

Une agonie terrible sans sédatifs

Sans sédatifs

San personne médicale

Qui ne te vienne en aide

Pour soulager ton agonie atroce

L’indicible douleur

Consommait toi corps

Ton âme

Ton clavecin bien tempéré

Ne briserait plus jamais le silence qui t’attendait

Tes modulations du contrepoint

Comme personne ne l’a jamais joué.

Et, la Mort dans ses griffes

T’arrachait de moi

Elle nous soumettait toutes les deux

dans la même terrible douleur.

V

« Une grande force vous sera nécessaire.

Vous devez vous occuper seule de l’enterrement… »

Je suis rentrée pour la première fois de ma vie

Seule

dans « Le Taudis »

De retour pour la première fois, je rentrais seule

Et toutes tes affaires étaient là

Elles attendaient tout retour

Je suis rentrée seule

Ils t’emmenèrent à l’horreur

C’est ce qu’ils appellent

« La chambre froide »

Je suis rentrée seule dans une chambre vide

Je me cognais contre les meubles…

La douleur m’obligea à me cogner contre les murs

Car je ne comprenais pas

Je ne le croyais pas.

Mais la vérité est que je le savais très bien

Qu’une nouvelle vie m’attendait

C’est pourquoi

Le corps s’exprime

Se cogne

Se frappe

Contre tout ce qu’il trouve à son passage

Les yeux inondés de pleurs

Les hurlements crient le refus de la mort.

Parce que nous le savons bien

Que c’est l’irréversible

Dans l’ici-bas l’insondable mystère de l’horreur se dévoile

Ce que la pensée se refuse de croire

Le mot jamais prend toute sa place.

Programmer ton enterrement fut l’expérience de la seconde étape de l’horreur.

Si notre pharmacien ne m’avait pas fait le prêt

J’aurais succombé

Je suis arrivée vers lui en pleurs

Je ne veux pas m’humilier devant personne

Je lui ai dit

Je n’ai pas d’argent…

Il a sorti sa carte bleue et m’a fait un prêt instantanément

Il a appelé les pompes funèbres et il m’a payé l’enterrement

J’ai dû aussi compléter et vendre mon violon

Mon professeur de violon a fait les arrangements

pour que notre luthier le prenne

avec la ferme promesse que j’irais le récupérer.

Dès qu’ils viendraient

À mon secours des jours meilleurs.

Mais Maman,

Tu sais qu’en France

Pour ta fille

Il n’y a jamais eu,

il n’y a pas

Et, il n’y aura jamais « des jours meilleurs »

Parce que la méchanceté et plus forte que la bonté.

La jalousie est plus puissante que l’humilité.

Le sadisme ne laisse pas d’espace

À l’accueil de celui qui ne fait pas de mal à personne.

VI

L’argent est en France intimement liée à la Mort

J’ai dû payer un enterrement « low cost »

La mairie de Paris a inventé la modalité en anglais

Il paraît que l’ignominie passe mieux avec un accent étranger

Cercueil de la pire qualité

Et pour les pauvres

Non, dans notre cas « pour celle qui appauvries de force par la France

Tu ne méritais que

Le pire des emplacements au fond du cimeterre

Là-bas très loin, en pleine terre

Tu  le sais, moi, je le sais, set au Chili aussi, ils savent

que nous n’avons jamais été « pauvres »

Mais la France, elle est heureuse

De nous avoir distribué une nouvelle « classe sociale »

À laquelle nous n’avons jamais appartenues

Ah ! la France se complait avec sadisme

De rabaisser

d’humilier

De  vouloir arracher

jusqu’au dernier vestige de nos vertus

Une fois qu’elle a accompli son œuvre de tout détruire

Elle, ils, elles  observent avec leur perspective ruineuse

Les effets dévastateurs de son œuvre de destruction

Je les observe  me regarder d’un clin d’œil

leurs yeux débordants  de jalousie

Un rictus serré dans le coin de leurs gueules morbides

Elles savent que nos vertus

Restèrent intactes

Parfaitement sauvegardées

En repli dans les caisses vides d’argent

Hermétiques aux attaques

nous sauvegardâmes notre dignité

faisant face silencieusement

À la grandiose lâcheté française

D’une administration morbide.

VI

Une grande fosse ouverte de terre fangeuse

T’attendait

J’étais seule avec le corbillard

J’étais sortie de la chambre ou une pièce mortuaire où tu étais enveloppée avec un linceul comme je l’avais demandé.

Cercueil ouvert

Il m’ fut encore impossible

De ne pas hurler et de ne pas pleurer

Jusqu’à ce que le corbillard me demande :

« Arrêtez-vous s’il vous plaît, vos pleurs sont déchirants »

Allez,  venez, il faut y aller »

Je suis montée dans le corbillard assise à côté de ton cercueil.

En arrivant au plus loin du cimetière

Dans l’emplacement que cette France destine au « pauvres »

Mais nous n’étions pas pauvres

Mais la France a voulu me rabaisser !

Elle a triomphé

Les médiocres de l’enseignement

Les directeurs  et directrices de la peinture parisienne

Oh ! Mais  quelle joie ils doivent se partager !

Une grande fosse ouverte t’attendait

Un monticule de terre fangeuse

Était à côté de cette fosse noire humide et froide

Moi qui te choisissais pour toi le meilleur

Le lit le plus chaud et doux

Les draps le plus blanc et immaculés

La nourriture la plus exquise

Pour que tu ne saches jamais combien m’était difficile

d’arriver à maintenir en vie notre foyer

Je te disais : « Maman, tu ne t’occupes de rien

Ça, c’est mon problème »

Une fois que les fossoyeurs descendirent ton petit cercueil

J’ai su que ma vie était terminée et pour toujours

Mes hurlements déchirèrent l’espace…

J’étais seule…

Tu ne pourrais plus t’approcher pour me consoler

Des petits chagrins de jeune

Le corbillard

S’approche de moi et me dit :

« Madame, ne pleurez plus, s’il vous plaît !

Votre Maman est avec Dieu maintenant. »

Maman

Dieu est avec toi?

Cins années passèrent

J’ai dû te changer de cimetière

Vers un autre décent

Où j’ai acheté une concession « perpétuelle »

Pour nous deux

Mais je n’ai pu payer que pour dix ans

En attendant « des jours meilleurs »

Et j’ai construit deux caveaux

Et j’ai dû acheter

Trois cercueils

Trois exhumations

Et trois inhumations

Le dernier cercueil est sarcophage.

Programmant dès le début

Échapper à la France

Quoi ne veut pas de nous

Mais ni l’argent ni la fuite n’ont pas été possibles

Et les sauvages me menacent découvrir ta tombe

Pour débuter une seconde horreur

Le sacrilège de violation de ta tombe et de ton cercueil

Mais les sauvages assermentés en totale impunité

Parce que je n’ai pas l’argent qui me reste à payer

Et tous se réjouissent

Ils m’observent

Avec une distance parfaite

Pour obtenir

La meilleure perspective

Et m’observer comment je vais faire pour sauver ton cercueil.

Dis Maman

Est-ce que Dieu est avec toi ?

 

 

Carmen Florence GAZMURI-CHERNIAK

NADEZHDA

 

LE CRIME ABJECT CONTRE MAMAN – ELLE DÉCÉDA LE 18 OCTOBRE 2013

12 octobre, 2025 (13:46) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

 

  RAPPEL DES FAITS DU CRIME

 

 

                       DE

                  CLARA

 

MAMAN

 

 

CLARA AVANT SON MARIAGE- CLARA PORTRAIT DE HERNÁN GAZMURI (TOILE SPOLIÉE PAR LE CHILI)

Le 12 octobre 2013 de retour de notre promenade (20e Paris)

Maman très fatiguée, ce qui était très rare, je décidais de rentrer du café où nous allions presque tous les après-mi prendre le thé,.

(Avenue de la République)

Dîner normal.

Réveil  terrible à 1h du matin.

Appels infructueux aux urgences, les hôpitaux refusent la prise en hospitalisation, faute de personnel et des lits pour personne très âgée.

2 docteurs des Urgences médicales de Paris laissent ordonnances pour venue de labo prise de sang d’urgence.

Le « docteur Traître-Tant » se refuse à la visite et suite à l’écoute de mes rapports par téléphone m’a dit :  « laissez la tranquille », « je ne donne pas de lettre ni d’ordre d’hospitalisation » et se refusa d’appeler ses confrères d’un hôpital pour une prise en charge immédiate et dans des bonnes conditions pour éviter à Maman 12.h dans un brancard sans diagnostic, les symptômes sans être médecin, ils me semblaient d’une gravité extrême et ils exigeaient une prise en charge immédiate.

Le « Docteur Traître-Tant «  ne se rendra point à son chevet que le lundi matin vers 11h30 quand j’avais avancé seule dans l’analyse de son état, à savoir une radio abdomino-pelvienne à domicile. Le résultat donné très vite à ma demande dit trouble apparenté à une « obstruction intestinale » que ce criminel « confond » de force  avec « occlusion » deux anomalies d’origine totalement différente.

L’avis ultérieur de tous les gastro-entérologues est gériatres consultés à l’écoute de mon récit des faits en détail, et au regard de toutes les pièces médicales comme preuves en l’espèce fut  catégorique : aucun médecin de 60 ans ne pouvait confondre l’urgence de Maman, car l’infarctus mésentérique s’enseigne et le maîtrisent les élèves de 1ʳᵉ année de médecine, donc son refus prémédité de soins d’urgence et le fait de dilater au maximum sa visite et la prise en charge de Maman, n’était que pour la faire souffrir et prolonger une agonie indicible avec des douleurs innommables que même pas un animal n’aurait pu supporter et un médecin vétérinaire aurait soulagé cet infarctus ipso facto.

Le consensus de tous les médecins consultés post-mortem furent décisifs et unanimes.

Le lundi 14 octobre cet assassin SICAIRE (tueur à gage) me donna des ordres écrits dans 2 ordonnances pour lui pratiquer des interventions que dans le cas d’infarctus mésentérique sont une folie absolue et c’est précisément là qui réside son crime.

Je m’abstiens de donner les détails par pudeur, nonobstant dans mon LIVRE-SCRIPT écrit pour faire un film, tout y est dit.

Il a été évident l’ampleur de sa cruauté et ses ordres criminnelles furent la cause d’avoir déclenché l’hémorragie interne et le début d’une agonie insoutenable.

Maman fut privée de soins avec préméditation, les 3 complices de l’hôpital, (ses confrères et amis ) lui interdirent les sédatifs et les soins palliatifs.

Le « chef de service M.Z. », la criminelle des urgences dr. T. , et le gastro chirurgien N.G., exercent en parfaite tranquillité, tous inscrits et trouvables sur Doctolib !

Maman a dû subir une agonie atroce qui a duré quatre jours dans « Le Taudis » que nous habitions à l’époque et quatre jours à l’hôpital du 20è où je l’ai hospitalisé de mon propre chef ne supportant plus ses souffrances, mais je l’emmenais dans un milieu où le « Chef de Service » et les deux autres médecins étaient ses amis et complices.

Ils se refusèrent à l’emmener au bloc opératoire, car quand bien même un infarctus mésentérique laisse très peu de chances de survie, LE PROTOCOLE MONDIAL DE CHIRURGIE ordonne que quels qu’il soit l’âge du patient, et quelle qu’il soit la gravité de son état, même sans chances de survie il faut opérer pour ÉVITER L’AGONIE DOULOUREUSE qui n’est pas paisible de se soulager avec aucun sédatif des plus puissants tels que la morphine.

Je n’ai jamais prétendu ni demandé la vie éternelle sur terre pour Maman, j’ai prié et imploré uniquement une prise en charge immédiate pour lui éviter des souffrances que la médecine moderne a en sa possession précisément pour éviter aux malades en fin de vie des souffrances qui peuvent être stoppées.

Maman s’est nécrosée de l’intérieur vers l’extérieur sur un lit dur et froid du pire des hôpitaux semi-privés du 20è de Paris.

Je suis le seul témoin oculaire car personne nous a rendu visite et j’ai dû faire face seule comme depuis la mort de mon père,  à toutes les injustices françaises, enfermées ensemble dans la chambre de la douleur.

Le Conseil du Désordre n’a pas accepté notre plainte pénale.

Les atrocités que j’dû entendre les brefs moments que j’ai assisté à huis clos et les rapports scandaleusement mensongers des avocats de ces criminels me marquèrent à vie.

Il n’y a jamais eu de vrai jugement devant un Tribunal et un avocat m’a dit que pour un crime, tel que celui de Maman,  il n’y a pas de prescription. Mais je n’ai pas de revenus pour payer les honoraires du meilleur avocat français.

Maman est morte étouffée le 18 octobre 2023.

Deo-puis avec mes faibles revenus d’une retraite de Professeur d’Espagnol jamais titularisée, j’ai payé 2 inhumation, 3 cercueil le dernier sarcophage car je voulais quitter la France avec elle) RTerois inhumations avec le changement de cimetière, la construction de 2 caveau car je ne supporterai pas de ne pas perte bientôt entrée avec l

Elle, et la poste de la pierre tombale. J’ai fini de payer en ter 2013 et 2022, 14.000€ mais la Mairie de Paris, « qui respecte la loi funéraire », me menace de exhy-ueler le. Cercles de Maman pour sortir sa dépouille et la jeter à l’acide (moins cher que l’incinération) pour ensuite offrir à la vente notre tombe au meilleur payeur.  Ce horreur je ne pourrai pas le supporter.  Le trésor Public de Paris, suivant les ordres de la mairie de Paris m’exige de lui payer en une seule fois 8500 € en une seule fois.

Je n’ai pas pu payer la concession perpétuelle que pour 10 ans et le délai va  très bientôt se terminer.

C’est pourquoi, j’ai écrit cet essai, où je propose un changement de la Moi funéraire pour les personnes exonérées aux impôts qui sollicitent une concession perpétuelle pour leurs êtres chers.

La religion étant un interdit français, nous a laissées totalement abandonnées.

Je n’ai plus la nationalité chilienne, je l’ai déclinée et je n’ai que la nationalité française et en tout état de cause, le Chili suit la loi napoléonienne. Hélas !

Ils m’ont dit  : « nous avons le calque de la loi napoléonienne »

Les imbéciles !

Les services funéraires chiliens demandent les mêmes sommes exorbitantes de la France.

Notre concession funéraire perpétuelle de famille se trouve dans le cimetière catholique de Santiago, notre concession où est mon père est pleine, donc pour nous deux, il n’y a plus de place.

Que devrais-je faire ?

Je l’ignore.

Je suis contre l’euthanasie et le suicide.

Rien de cela ne pourrait remédier mon problème funéraire.

Mon problème funéraire est une question d’ARGENT.

J’ai un atelier complet de mes propres peintures à vendre.

J’a offert  deux toiles en cadeau à la ville de Paris.

Mais la ville de Paris ne veut que ma mort.

Elle me refuse par de simples moyens humains de me muter vers une HLM parisienne, ma ville d’attache et où j’ai toujours vécu.

La ville de Paris me refuse tout, alors il va falloir agir autrement, mais pour la concession funéraire, la loi laïque de la France impose le  mépris aux morts.

Mais, nuance à retenir, pour devenir un mort respecté, il faut avoir été une célébrité ! »

Si un mécène me lit, je lui offre la totalité pour le prix de la concession de Maman.

Maintenant la Mairie de Paris a dû surement augmenter le prix, car la mairie augmente annuellement la somme de 800 € les taxes funéraires.

Trouver un acheteur de mon atelier, il est mon seul espoir.

Dans cet instant où j’écris cet article obligatoire pour la mémoire de l’être  le plus sublime que Dieu n’a jamais créé : Maman, aucune issue ne m’est favorable ayant demandé de l’aide par écrit à toutes les autorités « incompétentes » de la Présidence aux députés, tous se sont conduits d’une manière absolument ignoble.

J’ai dit.

Carmen Florence GAZMURI-CHERNIAK

NADEZHDA

Nadezhda et sa Maman 2013, juste avant l’assassinat