CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

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PENSÉES MATINALES

4 mars, 2025 (09:10) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

ESCROQUERIES DES BAILLEURS SOCIAUX AU NIVEAU NATIONAL

 

 

 

VOICI UN EXEMPLE

 

 

 

PENSÉES MATINALES

LE MENSONGE DES ÉDITORIALISTES

 

 

Il se croit tout permis sous couvert de son titre d’éditorialiste de la chaîne LCU en annonçant, selon lui,  qu’il n’y a pas d’inflation parce que le gouvernement (le sien évidemment) hausse automatiquement les salaires et retraites au rythme de cette inflation, donc pour lui, en défendant son gouvernement avec un cynisme confirmé, nous sommes victimes de problèmes de vision et subissons des délires à chaque fois que nous contrôlons nos comptes et faisons nos courses. Selon cet individu, souriant et si satisfait de lui-même, l’inflation n’existe point en France, car elle est compensée automatiquement par la hausse des pensions et de salaires.

Étant donné que les français pauvres se taisent et que la pauvreté va toujours de pair avec la soumission, hélas ! Personne ne pipe mot.
Un exemple ?

LES BAILLEURS SOCIAUX

Je vous ai dit qu’ici dans cette commune, comme dans d’autres, le bailleur social VILOGIA a commis autant d’abus contre « certains » locataires que sa position de jouisseur de protection gouvernementale lui permet.

À juger par sa nonchalance éhontée, turpitude et le mensonge qu’il pratique sans frein ni limite, il se voit conforté avec un couvercle étanche de son gouvernement, cette protection est semblable au couvercle étanche de Tchernobyl, c’est pourquoi il se croit tout permis.

Du contraire, il n’oserait pas agir de la sorte.

Vilogia s’est permis d’envoyer des factures exorbitantes, gonflées à leur guise et fraudées aux locataires. Cette escroquerie est sans conteste, une nouvelle méthode qui est une pratique de presque tous les bailleurs sociaux au niveau national.

Le mal nommées « factures de dépassement de charges », dont la preuve en l’espèce de leur escroquerie.

Ils peuvent inventer tout ce qu’ils voudront, ils ont le problème de le prouver !!!

Et, je le redis, en absence de COMPTEURS individuels, tous les locataires devraient faire front commun, pour dire NON !
Une personne haut placée vient de m’expliquer la raison, l’État a pratiqué une suppression confirmée des sommes qu’il allouait aux bailleurs sociaux ; alors, ils décidèrent frauduleusement de leur jeter l’obligation de payer le déficit en l’imputant aux locataires pauvres ce qu’ils n’ont jamais consommé ; cette escroquerie a un nom en matière pénale :

USAGE DE FAUX.

Délit qui est sanctionné encore plus fortement quand ce délit est commis par des fonctionnaires d’État.

Enfin, çà et là, les désabusés se sont constitués en « collectifs » pour mener ensemble leur lutte contre leurs « bailleurs sociaux.

Une étude socio-économique ne suffit point.

La raison de cette escroquerie faite en toute impunité au niveau nationale s’est faite déjà très connue dans la presse, je ne vous donne aucune nouvelle. Ce qui devrait attirer votre attention est le surplus d’escroquerie ajouté que certains bailleurs sociaux appliquent à certains de leurs locataires.

Il y a bon nombre d’entre eux qui ne passent pas à la trappe. Ils sont leurs « protégés ».

Ils restent rassurés et à l’abri.

Vis-à-vis de ce phénomène, ils restent muets, silencieux, étant confortés et épargnés par le bailleur « sociale », ils se cachent comme des rats, aucun commentaire ne sortira de leurs cachots, ils ont bon nombre de fautes juridiques à cacher, le favoritisme va vent en poupe dans les rayons du champ locatif d’État.

C’est celle-ci LA SOLIDARITÉ !

Bien, je pars à mes occupations.

C’est un vaste sujet qui doit être développé en plusieurs chapitres, un livre ne suffit point.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

JOURNAL – QUATRE LIVRES EN ÉCRITURE -PUBLICATION : OCTOBRE 2027

2 mars, 2025 (10:43) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

MEMORIAS CONTRAPORTADA – Copie – Copie – Copie – Copie – Copie

MA VIE LITTERATURISÉE DU CHILI A LA FRANCE

COUVERTURE ESSAI VOLUME II LA MORT EN FRANCE

LA MORT EN FRANCE POLITIQUE FUNÉRAIRE DE LA TERREUR ET DORMANCE ESSAI VOLUME III ET DERNIER

LETTRES A MES PARENTS ADRESSE :  L’INFINI

 

JOURNAL
Le 2 mars 2025

 

 

J’ai fait mes comptes, mis de l’ordre dans mes paperasses et le terrier.

Il ne me manque qu’à refaire l’inventaire de toutes mes toiles et gouaches, et me remettre à la peinture que j’ai dû abandonner contre mon gré toute la semaine passée en faisant des démarches stupides, mais qui seront productives très bientôt.
Vous devinez de quoi je parle…

Quand le terrier est en ordre en dépit du désordre des gérants de cette ordure de HLM que j’espère quitter très bientôt, il semble donner un effet magique, m’octroyant un ordre mental qui est le plus important quand bien même vide de tout confort matériel.

Je fais « du camping », mais c’est très économique, je n’ai presque aucune dépense d’énergie. Sans électroménagers les économies sont éclatantes, personne ne dépense aussi peu que moi, cela est une évidence dont j’en ai les preuves, et les fournisseurs d’énergie l’ont constaté et me l’ont confirmé.
Hier, c’était le début du mois. J’observe que certains retraités ont changé la donne, enfin !

Ils ne disent plus : « fin du mois, fin du monde », ils l’ont changé et ils ont fini par dire : « 15 du mois, fin du monde ! »

Je me compte comme une des retraitées qui par des injustices des mafieux de l’éducation de l’Ignorance Nationale et parce qu’il me manqua dans la comptabilité des années travaillés, les treize années d’annuités entre l’année 2000 et 2013, quand je me suis consacrée à plein temps à Maman gravement invalide, pour la garder et m’occuper d’elle sans aucune aide extérieure, j’ai vécu au RSA, et contrôlée tous les trois mois, par fortune par des « assistantes sociales parisiennes » très compétentes et consacrées uniquement à ce contrôle, or, cet espace, cette parenthèse a eu une réduction flagrante dans le calcul de ma retraite, mais pas tant que ça, la véritable raison de réduction de ma retraite fut fut réalisée par les mafieux jaloux et sadiques. Ils voulurent m’accabler pour que je sois condamnée à vivre très misérablement dans mes vieux jours, ils l’obtinrent, en France, il est impossible d’échapper à la misère quand on est atypique, ils abusent et nous servons de prétexte pour qu’ils déversent leurs complexes d’infériorité sur nous. Ils obtinrent le fait accablant de massacrer mes finances, sans jamais amoindrir mon pouvoir de création ni ma capacité que l’on appelle force de « résilience ».

Le contexte ministériel spécifique de l’espagnol au sein du ministère est connu par son pouvoir destructif, les inspecteurs sont des assassins assermentés, ils emploient des méthodes concentrationnaires, ils sont des dictateurs et cela est connu, je garde les articles de presse, il est pratiqué l’omerta, mais je dévoilerai tout ce que j’ai à mon avoir. Le département de l’Espagnol est différent des autres disciplines telles que les scientifiques, là il est impossible de tricher, absolument impossible. Les inspecteurs ont réussi par leurs méthodes de dictateurs que des jeunes professeurs d’espagnol se suicident.

Cela s’est produit à plusieurs reprises. Pauvres petites, si elles avaient été mes collègues je les aurais prises professionnellement en main, pour leur insuffler de la force et de la confiance en elles-mêmes, mais le problème est qu’elle sont seules, sans avoir des points de référence, en tant que françaises, elles se sont formées sous le contrôle uniforme de l’enseignement scolaire et universitaire français des « humanités » qui est déplorable de fond en comble, parce que l’esprit critique est aboli pour mieux les contrôler dès la première scolarité. Moi, je viens d’ailleurs où notre formation de jadis était fondée sur des principes contraires à ceux donnés par la France.

Les jeunes professeurs qui voient la « hiérarchie » comme des dieux, seront perdus.

J’exulte quand des jeunes étudiantes qui devraient s’insérer dans l’enseignement, au bout de quelques mois, elles le quittent !
Elles voient de l’intérieur le massacre professionnel et fuient ce secteur pour s’insérer ailleurs. Elles commencent à devenir intelligentes les jeunes, je les félicite et m’en réjouis.

Je suis sûre qu’elle est d’ordre génétique, mais il doit exister aussi une grande disposition mentale, une capacité d’analyse qui vous fait penser, bon qui a raison dans ce conflit ? Eux, les mafieux ou moi qui n’ai aucune faute, qui ai fait preuve de mes compétences de formation et d’exercice professionnel sans faille ?

Après réfléchir de la sorte, il est impossible se de sentir accablée par les injustices. Il est impossible. Nommez la résilience ou comme vous le voulez, chez moi il existe tout simplement la conviction que quand on vit avec des principes de morale et qu’on a suivi « un chemin de perfection » qui nous est donné par nos parents dès notre naissance, l’on devient invincible face au Mal extérieur.
Je prépare mentalement mon départ de cette immondice.

Il ne peut pas se passer autrement dans une société que je suppose possède encore des personnes civilisées au sein de certains organismes. Je n’ai pas l’habitude de généraliser les fautes de malfaiteurs comme le sont les gérantes de Vilogia, à toutes les administrations, il y a des personnes de bien qui échappent aux comportements délictuels et qui ne se déshonorent point. J’ai toujours loué dans des HM à l’exception de mes premières années d’immigrée, il y a plus de quarante ans, époque où les nouveaux arrivés n’avaient pas le droit de louer une HLM, maintenant, ils sont prioritaires, c’est le monde à l’envers. Jamais de ma vie de locataire de  la location sociale, je n’eus des serpents cobra si ridicules et minables, jamais, au contraire, elles me donnaient toujours certaines facilités par exemple si je déménageais avec Maman, la garantie je la payais greffée pendant quelques mois au loyer, et les gardiens étaient toujours aimables et l’écoute des locataires, c’était une époque que je peux qualifier de « paisible ».

À présent, j’observe que dans toute la France, les locataires des HLM se plaignent des multiples abus qui vont des négligences graves de l’entretien extérieur et de l’intérieur des appartements aux abus de facturation qui s’amplifient parce que l’État ne contrôle rien et laisser faire. Rien de cela ne se passait auparavant, l’État contrôlait et il y avait aussi des inspecteurs de la CAF qui se déplaçaient et étaient des véritables contrôleurs, maintenant, ils n’agissent qu’au sens unique avec l’excuse que la Caf n’est qu’un organisme payeur et non décideur ni contrôleur.

Ils pénalisent uniquement les locataires fraudeurs qui ne déclarent point leurs véritables ressources, les miennes qui sont « au seuil de pauvreté » sont régulées et contrôlées par le Trésor Public, la misérable retraite versée par la Caisse de la Sécu est déclarée aux impôts et je reçois ma déclaration préremplie, c’est formidable et je m’en réjouis, alors chez moi, tout est contrôlé et limpide, je m’en fous des Serpents Cobra, ce sont elles qui périront sous le spray de VIPERIL !

Je suis en train d’écrire quatre livres à la fois, je passe d’une écriture à l’autre de manière très organisée, parfois, je m’accorde quelques écarts, laissant en attente un livre pour m’adonner plus de temps à un autre, je me souviens d’un de nos professeurs à la fac de Castellano qui nous disait : « laissez vos écrits au réfrigérateur avec de passer au définitif ».

Certes, il faut laisser passer un peu de temps pour qui baisse l’émotion, pour les ressortir et appliquer notre esprit critique qui doit être en éveil à tout instant. Le repos chez un artiste est aussi très bénéfique. Modigliani recevait des réprimandes quand il ne peignait pas, il leur répondait : « je suis toujours en train de peindre ».

Moi aussi, je peux être affairée dans un labeur qui n’a rien d’artistique et je suis toujours en éveil en train de penser, à écrire mentalement, en réfléchissant aux couleurs, à une nouvelle mise en page de mes croquis, en fait, mentalement, je n’ai pas de repos, même en dormant, je me réveille parfois et je reçois un appel des mots qui arrivent à mon assaut et je suis obligée à me lever pour commencer à travailler. J’ai une énorme capacité de travail, je ne m’arrête jamais, et les heures que je dois obligatoirement réserver au sommeil ne dépassent jamais plus de cinq ou six heures et ce fut toujours ainsi, même dès très petite, je dormais très peu.

.J’ai constamment considéré que dormir c’est une perte de temps, mais obligatoire pour reposer le cerveau, bon pour ceux qui l’ont parce qu’en ce moment…
Je pars vers mes obligations.

En espérant une semaine très bonne, je garde l’espoir en faisant honneur à mon prénom russe.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

NADEZHDA

L’IMBÉCILITÉ EUROPÉENNE EST INCONTESTABLE

1 mars, 2025 (20:25) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

Pour ceux qui souffrent du « délire de persécution géopolitique »

un renseignement de la plus haute importance : le Sainte-Anne est ouvert 24/24 et 7/7.

Pensez à apporter votre Carte Vitale à jour, le séjour sera long à juger les dernières déclarations télévisées.

Foutez-nous la paix !

Allez vous faire soigner !

 

 

L’IMBÉCILITÉ EUROPÉENNE

 

EST INCONTESTABLE

 

 

 

 

 

Chers Lecteurs,

« Ils » commencèrent pour le partage des coffres-forts, maintenant « ils » programment de partager le bouton nucléaire.

L’intelligence est une vertu rare, elle l’a toujours été, mais il y a désormais un consensus sur sa rareté extrême et « Le déclin de l’Occident » s’est implanté, donnant des preuves en l’espèce qui sont irréfutables.

Je le redis, la France se distingue pour sa sacro-sainte publicité de son socle socio-politique faite de solidarité ; une religion laïque de façade, sans Écritures, il n’en est rien, et nous le savons et constatons au jour le jour, il faut stopper cette mascarade.

La « solidarité », n’est qu’une échappatoire sémantique vide, mis à part sa vacuité, elle leur sert d’ornement, et ce mot s’applique dans toutes les situations de la vie sociétale, ce mot solidarité est dirigé par les politicards et ils s’en servent pour occuper des postes et manipuler les citoyens mal informés, dépourvus d’esprit critique, signe notoire d’un affaiblissement flagrant est partagé par les dominateurs et dominés.

Ce phénomène propre à l’idiosyncrasie française est analysé par des gens observateurs et lucides, hors de l’Europe, il est un comportement sans conteste complètement ahurissant.

La manipulation des pauvres cerveaux est en train de prendre des proportions considérables, injectant au jour le jour chez les français des fortes doses d’anxiolytiques additionnés au chloroforme par des injections journalières dans toutes leurs publicités transformées en programmes géopolitiques.

Les imbéciles pourront les croire.

Le but, c’est de les préparer à une nouvelle vague d’inflations et d’appauvrissement des strates de la société déjà bien précaires qui survivent très difficilement. Je me compte parmi ceux qui par des « accidents de la vie »  vivent à l’écart, je préfère dire « les naufragés de la vie » vous savez qui a prononcé cette phrase superbe ; mais dite en France, elle est une formulation hypocrite qui cache des injustices abyssales, et qu’on ne peut pas nommer à chaque instant ; les français qui n’ont pas « des professions libérales » ; (les seuls qui échapperont à ce tsunami), s’appauvriront encore plus, et le pays entier en souffrira.

Attendez-vous aux fermetures d’usines, aux licenciements, aux pénuries de toute sorte, ces problèmes politiques surgiront d’une économie de guerre, une guerre qui n’est pas la nôtre, cela entrainera chez les français de classe moyenne et de personnes marginales de tout bord, des nouvelles souffrances indicibles.

J’attends, j’attends de voir le tsunami qui se prépare dans une France qui n’a jamais été aussi mal gouvernée.

Ils préparent aussi les excuses qui doivent aller de pair avec leur programme.

Quand les gens se réveilleront, s’ils arrivent à s’en sortir de l’endormissement du chloroforme injecté par le gouvernement, le réveil sera rude.

Pour ma part, je me considère déjà à la marge, totalement à part de ce cirque.

Rien de mieux que de vivre en ermite par ces temps troubles.

Je profite intelligemment de tout mon temps pour la création.

Que croyez-vous ?

Non, non, détrompez-vous, je suis très loin d’être une vielle en train de tricoter devant la télé.

Et dès juin prochain, je renoncerai à la télé, à l’internet et au smartphone.

Ma vie, pendant deux ans, elle sera un véritable « terrier ».

Bon courage à vous.

 

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

NADEZHDA

 

 

PAS D’INDÉPENDANCE SANS ARGENT

1 mars, 2025 (09:12) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

 

 

 

PAS D’INDÉPENDANCE SANS ARGENT

 

 

 

Chers Lecteurs,

Il va falloir comprendre que personne ne peut se vanter d’être indépendante si elle n’a pas d’argent, cette situation est mondiale.
La domination par l’argent est incontestable et visible.

Les idéalistes qui continueront à hisser le drapeau absurde de la sacro-sainte « solidarité » seront bientôt déçus, j’attends de voir ce qui va se passer avec ces rêveurs, quand les contraintes financières arrivent les frapper sans considération, le gouvernement leur dira qu’ils doivent se sacrifier pour « la paix », parce qu’ils faut les aider et que c’est notre « lutte existentielle ! »

J’attends le cours naturel des événements.

Les européens et tout particulièrement les français, créateurs de « la solidarité » rentreront bien silencieux et abattus au bercail, ils seront seuls et dépossédés encore plus, ils mettront leur beau drapeau de leur « SOLIDARITÉ » en berne.

Quant au reste, le problème de « la courtoisie » c’est un autre problème qui est venu se mêler aux affaires, il n’y a pas lieu de l’évoquer ici, c’est une question de « naissance » et quand elle n’a pas été donnée, il ne faut pas en parler.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak
NADEZHDA

 

UNE TRAGÉDIE PASSIONNELLE

28 février, 2025 (08:31) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

DIFFÉRENCE ENTRE LA RÉALITÉ ET LA FICTION

 

 

UNE TRAGÉDIE PASSIONNELLE

 

 

 

 

Transcription faite film du premier livre de la romancière allemande Daniela Krien : un jour, nous nous dirons tout, cette littérature contemporaine allemande de très haute qualité, comparable à Marlen Haushofer, aussi faite film, Le mur invisible, bouleverse par la force du langage choisi, (et nous n’avons que sa traduction, une autre chose serait de le lire en allemand) et l’idée très audacieuse de le faire cinéma, sa réussite est complète, aussi bien du point de vue purement visuel que par l’adaptation faite du roman parmi des dialogues choisis, elle complète l’image avec le contenu résumé des mots, les mots essentiels qui dans tous les dialogues sont les responsables du crescendo tragique.
Dès que nous approchons le cinéma allemand nous savons d’avance qu’il sera sur un socle où ne manqueront jamais des références sérieuses en matière de musique classique, littérature et le contenu toujours sérieux de cette production fera un contraste indéniable avec la décadente anti-création cinématographique mondiale où échappent de la laideur les pays nordiques. Il n’est pas erroné de lire les critiques d’une part du livre et d’autre part des critiques de cinéma. Je regrette nonobstant d’avoir lu les critiques françaises.

Elles sont innommables et je ne citerai aucun pour ne pas écrire leurs noms, ils ne méritent même pas une critique négative. Je suis allée chercher les critiques allemandes du livre, ils déplorent quelques aspects de la langue avec certaines des défaillances, je ne peux pas être juge sans connaissance de l’allemand, je crains qu’ il y ait aussi une erreur, d’aucuns lui font l’éloge au sujet de présenter un sujet archaïque uni à une présentation « lumineuse ».

En revanche la critique du film a été enrichissante, et nous nous confrontons, encore au XXI siècle, face à une incompréhensible mentalité équivoque et puritaine. Des revues allemandes de prestige et des critiques qui ne peuvent pas être accusés de manquer de culture, en dépit des éloges, leur réprobation persiste vis-à-vis des scènes et du contenu ; elles sont toutes décevantes. J’ai opté aussi pour les passer sous silence.

Voici ce que je crois :

La cinéaste et autrice tout comme les acteurs sont de premier ordre.

Le choix du couple d’acteurs a été singulier, des acteurs qui se surpassent.

La cinéaste Emily Atef et Daniela Krien ont réalisé en collaboration un chef-d’œuvre cinématographique ; elles ont été capables de réaliser la plus ardue des œuvres de cinéma contemporain prenant comme attache une œuvre littéraire.

Les acteurs dans cette mise en scène visuelle et auditive font le prodige de créer par le moyen de leur travail d’acteurs, la mise en œuvre factuelle une des plus difficiles de transcriptions cinématographiques : mettre dans une réalité fictionnelle les affres d’une passion amoureuse dont bien peu de gens sont à même de comprendre, il faut bien des qualités mentales pour appréhender naturellement des œuvres qui présentent les énigmes passionnelles avec la simplicité humaine faite art.

Bon nombre d’éléments aussi bien du contenu que de la forme sont
semblables au roman de D.H. Lawrence, L’Amant de lady Chatterley, quand bien même les enjeux existentiels sont très différents.

L’intromission des textes poétiques de Georg Trakl sont d’une intelligence esthétique totale, ces ajouts des lectures, des vers choisis, donnent le rythme nécessaire à l’action formant un tout harmonieux.

 

LA LENTEUR

Le socle sur lequel se déroule l’action au ralenti est la configuration tragique de la naissance d’une passion amoureuse.

C’est cette lenteur recherchée volontairement a été source de critique, mais elle était nécessaire ; ceux qui furent incapables de comprendre que la transcription des mouvements de l’esprit ne peuvent se faire cinéma violant de fond en comble les principes de l’art cinématographique, s’ils veulent de la vitesse, qui déclinent la critique de cinéma existentiel.

LES PERSONNAGES

Dans un contexte politique en mutation très complexe, le passé récent, le passé hérité s’introduit chez les personnages, l’histoire du pays ne peut ne pas entrer comme une toile de fond permanente qui bouscule la configuration mentale de chacun d’entre eux et qui compromet indubitablement cet intérieur abîmé et menaçant à tout moment leurs comportements dans un présent instable et difficile, ils sont tous avec des degrés différents, concernés par leur passé et enraciné au plus profond de leurs esprits.

ARTICULATIONS

C’est dans un contrepoint permanent que les couple doit vivre cette passion exigeante d’être vécue ; mais le contraste non d’âge, mais de configuration mentale et de capacité d’expérience de vie que l’héros masculin possède et que l’héroïne romanesque fait preuve d’ignorer en dépit de ces mots, son action se dérobe et vacille, le tragique de ce déséquilibre amoureux prépare un conflit sans issue annonçant la tragédie finale. C’est lui qui a raison.

Dans leur dernier dialogue, nous sommes alertés… Le climax n’est pas dans l’horreur de la tragédie de la fin, mais dans ce dernier face à face violent et débordant de vérité.
Cette passion exigeait le « ici et maintenant ». La phrase de la fin qu’il a prononcé ne fut qu’un présage de mort :

« Donne-toi une nuit de réflexion »

Et si, et si…

D’aucuns pourront critiquer, il faut de l’expérience de vie pour devenir critique de cinéma et de littérature, c’est un cinéma sérieux, si c’est dérangeant pour vous, si vous croyez que la fin n’aurait pas dû être faite ainsi, alors écrivez vous-même un autre roman !

Il faut s’abstenir de critiquer ce qui n’existe point.

Nous avons devant nous une merveille faite acte avec des prises de vue somptueuses qui vont de pair avec l’action, les dialogues, les silences et les regards. Tout ce contexte cinématographique révèle une maîtrise parfaite de la technique, ces deux artistes qui créèrent ce film ont su toutes les deux, appliquer les lois de tout art ; « augmenter, diminuer et supprimer ».

Quelle réussite !

C’est un phénomène de grandeur visuelle, un génie esthétique est né avec ce film doté d’une mise en scène parfaite qui a su avec une maîtrise des éléments techniques propres au cinéma, si différents des littéraires, mettre en scène les tréfonds énigmatiques d’une passion amoureuse.

 

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

 

UNE AFFAIRE D’ÉTAT IGNOBLE : DES MÉDECINS ÉTRANGERS PASSÉS A LA TRAPPE

27 février, 2025 (21:56) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

https://france3-regions.francetvinfo.fr/paris-ile-de-france/les-medecins-etrangers-employes-dans-les-hopitaux-franciliens-menacent-d-entamer-une-greve-de-la-faim-3114031.html

 

 

 

UNE AFFAIRE D’ÉTAT IGNOBLE

             DES MÉDECINS ÉTRANGERS

PASSÉS A LA TRAPPE

 

 

Chers Lecteurs,

À la lecture de cette nouvelle, je suis restée perplexe, comment est-il possible que des médecins qui ne sont pas ignorants sur ce qui se passe en France, aient choisi ce pays pour venir finir leurs études  et pour s’installer ?

Ils n’ont pas de pardon de s’être trompés d’une si stupide manière.

Maintenant, ils sont sous-payés, débordés de travail, exploités et désabusés, alors ils programment une grève de la faim !
Un suicide collectif et se ridiculiser devant l’adversaire.

Ils ont besoin d’un conseil public, parce qu’ils manquent de bons conseillers. Encore une deuxième faute.

Ils souffrent d’un manque absolu de connaissance de l’idiosyncrasie française. Si vous voulez gagner un litige, il vous faut connaître l’adversaire. Je l’ai appris de mes parents, mais je me suis exercée seule en France. Moi aussi, j’ai commis cette faute, je suis arrivée en croyant en mes succès universitaires et en croyant en mes valeurs et capacité de travail. Vous ne savez pas que les fonctionnaires français qui vous gouvernent et qui vous manipulent avec de fausses promesses de changement de statut, voire de salaire, sont des sadiques qui n’accepteront jamais qu’un « étranger » soit plus capable qu’eux ?

C’est là qui réside leur nécessité compulsive d’abuser, de vous rabaisser par le moyen de bas salaires, c’est exactement le même phénomène qui s’est produit depuis un demi-siècle avec les professeurs « contractuels », la seule façon de dominer c’est par l’ARGENT; moins ils vous paient, plus ils vous dévalorisent, jusqu’à ce que vous vous métamorphosiez lentement, ils veulent vous convaincre d’être « inférieur » et qu’il faut encore et encore faire des preuves !

Odieuse avalanche des fautes qu’ils entament contre vous pour que vous deveniez un esclave soumis au plus haut degré.

Vous devez savoir qu’ils ne sont vos supérieurs qu’en grade, non en intelligence.

Avant de fermer ce court article de révolte, permettez-moi de vous donner un conseil :

Annulez votre grève de la faim, elle sera inutile.

Devant l’ennemi, vous ne devez jamais vous affaiblir.

La faim vous le savez en tant que médecins, elle affaiblit le corps et l’esprit, ils vont s’en réjouir !
Faites le contraire.
Ayez confiance en vous sans jamais faiblir.

Le Conseil du Désordre ? Vous ne le connaissez point. Moi, oui, une bande de mafieux qui ne sert qu’à porter de l’aide à leurs pairs criminels. Personne ne vous défendra, en tout cas n’attendez rien de votre hiérarchie ni du gouvernement.

En revanche, sachez qu’en France, il existe « une justice », rare, mais que parfois, elle donne des résultats ; mais il vous faudra vous réunir et trouver un bon avocat avec l’aide Juridictionnelle, vous en aurez le droit, au moins partielle avec vos salaires de honte…

Et, qu’êtes-vous venu chercher en France ?

La France n’est pas un pays pour réussir, mais pour tomber au sous-sol de toute aspiration de réussite.

Une fois vos diplômes en main, FUYEZ ! Ou mieux encore, rentrez chez vous si vous en avez un « chez vous ».

Votre jeunesse et le diplôme de profession libérale vous donne le viatique vers une liberté assurée, mais… Ailleurs !

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

LA FRANCE VENDUE AUX ENCHERES

26 février, 2025 (20:20) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

 

LA FRANCE VENDUE AUX ENCHÈRES

AU NOM DE « LA SOLIDARITÉ »

 

 

« 1 idiot est un idiot. 2 idiots sont 2 idiots. Mais 10.000 idiots sont un parti politique »

                                         Franz KAFKA

 

 

Chers Lecteurs,

 

Ça va de pire en pire.

Deux imbéciles dans ce cirque mondial.

Et des milliers d’idiots qui les voient et qui les écoutent inactifs.

L’un, le clown YouTube voit que « son indépendance » lui coute très cher.

De-ci sort une fable : au moins, taisez-vous, ne criez pas votre indépendance si vous êtes SDF, à nu au milieu de la rue en mendiant au monde entier de vous aider, l’autre vend la France aux enchères, maintenant au nom de la sacrosainte « solidarité », il la vend aux enchères comme un vulgaire tapis.

Nous sommes aux abysses.

Le seul qui sorte vainqueur, car il a la force et l’intelligence est mon Président PUTIN.

Rien d’autre à dire.

C’est tellement tragique que je vais me donner un bon repos, ce soir, je vais voir un film au lieu de regarder ces émissions de géopolitique sur des chaines vendues.

Un sentiment de détresse et de honte m’envahit.

Et ce sont les mots d’une femme adoptée par la France.

J’attends qui se lèvent les Français de souche et qui élèvent leurs voix pour défendre leur pays.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

PÉDANTERIE ET CRÉTINISME : LES ÉPREUVES OBLIGATOIRES POUR DEVENIR FRANCAIS

24 février, 2025 (21:08) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

PÉDANTERIE ET CRÉTINISME

AU PLUS HAUT DEGRÉ

LES EXIGENCES ACTUELLES POUR DEVENIR FRANÇAIS

 

 

 

Chers Lecteurs,

Une fois de plus les fonctionnaires de l’administration se couvrent de ridicule, pareillement que pour les concours, ils ne cessent de pratiquer les mêmes erreurs de pédantisme qui leur octroie le droit injustifié et absurde de « s’autovaloriser comme étant supérieurs » devant des personnes en situation d’inégalité ce sont ces fonctionnaires qui sont chargés de donner les autorisations aux candidats qui veulent « devenir français », ils seront testés par le moyen d’un examen des plus ridicules que je n’avais jamais vus, c’est cet examen qui est crucial pour devenir français, et ces examinateurs seront là, pour juger ; ou bien, ils leur donnent la naturalisation ou bien, ils les passeront à la trappe s’ils échouent pour être catalogués d’incapables et persona non grata pour d’acquérir ce titre honorifique qui veut dire devenir français et d’intégrer ce grandiose et merveilleux pays qui est la France.

Nous allons diviser cet article en deux brèves parties, la première, sera destinée à formuler une formation idéale pour intégrer les personnes qui arrivent dans des conditions légales en France et qui sans bagage intellectuel désirent s’intégrer et travailler, et la seconde partie, sera réservée aux exigences qui devraient être fondamentales dans la formation pour les tester ensuite, elles se centreront dans deux principes, d’une part  remarquer les qualités et aptitudes acquises lors de la formation et d’autre part, les épreuves pratiques qui doivent être centrées uniquement en connaissances de base nécessaires pour obtenir une heureuse intégration et acquérir la naturalisation française.

J’écris ces réflexions sachant d’avance qu’elles ne serviront de rien pour changer ce crétinisme de l’officialité, mais je suis sûre que mon article aura un bon accueil au sein des personnes qui subissent les affres d’une administration brutale et insensible, et pire encore, qui se sont vues rejetées.

Je jette la faute exclusive de cette absurde situation aux administrateurs que par une obsession stupide de complexe d’infériorité se métamorphose en complexe d’infériorité ; c’est une maladie psychiatrique celle qui subit la plupart « les fonctionnaires de l’Interdit » et qui s’efforcent pour agir à l’encontre d’immigrés qui veulent s’intégrer ; l’officialité en mettant en place des examens pédants qi ne servent à rien, agissent avec un sadisme étrange, celui de mettre d’obstacles prémédités aux candidats.

Avec quel objectif ?

La connaissance est sacrée.

Ce domaine n’admet pas que quiconque est détenteur d’un pouvoir, il fasse un marchandage ignoble, aux objectifs de la pire des politiques, un autre champ qui exige une éthique sans concessions.

Ces fonctionnaires s’ils veulent installer une barrière à l’intégration des immigrés, il serait plus judicieux de stopper franchement les candidatures au lieu d’installer des examens qui ne réussissent même pas les journalistes français qui à titre d’épreuve pour tester la fonctionnalité positive desdits tests de « français », ces journalistes se portèrent volontaires à ladite épreuve, et bon nombre d’entre eux échouèrent en ayant une ample culture française !

Quand j’étais jeune et déjà étudiante de faculté en dernière année, j’ai formé dans mon pays d’origine et bénévolement des personnes analphabètes.

Il n’y a rien de plus émouvant que de voir le progrès d’une personne qui se présente devant moi, en état de vide absolu et qu’après quelques leçons de base, commence à s’illuminer face à son propre progrès, qu’il acquiert peu à peu à force de pratique et d’effort, la personne illettrée ou totalement analphabète sort de son état d’ignorance complète vers une strate valorisante de la connaissance. Quand une personne réussit, elle porte en elle-même la grandeur de son apprentissage et lui octroie une liberté totale.

LA BONNE FORMATION

 

Arrêtez votre pédantisme !

La formation de base de la langue française doit être divisée en deux parties simples, la première consacrée à la pratique orale, et la seconde sera destinée au socle grammatical de base.

Tout comme l’enseignement des langues étrangères, la France est d’une stupidité complète, c’est l’échec absolu en connaissance de pédagogie.

Et, s’il vous plait ! si vous allez leur sortir Racine, Corneille et Flaubert comme textes de base pour apprendre le français, ce sera l’échec à nouveau, quand ce dont a besoin tout immigré qui doit s’insérer vite au pays et être actif au sein de sa communauté française et de savoir lire et écrire!!!!

Est-ce nécessaire de leur dire que ce qui est capital dans la langue est son pouvoir de COMMUNICATION ?

La littérature viendra « après ». Il est absurde et pédant d’utiliser des textes littéraires de haut niveau quand la personne ne connaît absolument rien de la langue étrangère. C’est bien pour cela que le retard et l’échec de nos propres étudiants, de nos écoliers est flagrant.
Voulez-vous répéter le même échec avec les étrangers ?

Combien d’années passent les élèves « assis » aux collèges et aux lycées pour finir en Terminale et ne pas être capables de parler fluidement la langue étrangère ?

Ils sont des écoliers »sourds-muets » et passifs !

N’essayez pas de me raconter des bobards, j’ai suffisamment travaillé et connu à fond votre  éducation Nationale de l’Ignorance !

Sachez que ce n’est pas la faute aux élèves. « Ils passent leur BAC ! » et sont incapables de s’exprimer en langue étrangère pour communiquer aisément dans un langage courant les choses les plus basiques et essentielles pour communiquer ! Et, elles sont oh combien essentielles quand on arrive dans un pays étranger.

Cette catastrophe d’échec scolaire oblige après aux parents qui ont les moyens bien entendu, de payer des Instituts privés ou des cours particuliers si leurs enfants ont besoin pour ses études supérieures de faire preuve d’une maîtrise parfaite des langues étrangères, or une formation sérieuse au sein de nos collèges et lycées gratuits devrait octroyer cette formation, pour l’heure, elle est nulle, à l’exception des établissements de premier ordre, bien entendu. Les 12 années de scolarisation « gratuite » ne leur a servi de rien qu’à constater que leur apprentissage de langues étrangères  n’a été qu’une perte de temps criminel.

Je le redis, un immigré a besoin de comprendre ce qu’on lui dit, il a besoin de parler, de communiquer, il doit être capable écrire sans fautes, et qu’est-ce que ce dont nous avons besoin avec une urgence absolue  quand nous venons d’arriver dans un pays étranger ?

Savoir écrire des lettres !

Connaître les coutumes du pays qui les accueille pour ne pas faire d’impair humiliant.

Ces usages et coutumes qui ne sont jamais les mêmes du pays natal des étrangers.

La France à un passé ou le mode de communication est épistolaire. Un étranger doit savoir écrire des lettres bien rédigées aux personnes qui occupent de charges au sein de l’État, aux administrations,  tous ces modèles des lettres ne sont jamais enseignés, les étrangers doivent s’adresser comme des mendiants « aux assistantes sociales » faire la queue devant les bureaux dans lesquels, un jour par semaine siège un écrivain public qui doit les aider à écrire ! Combien des fois, j’ai dû observer ces scènes humiliantes !

Je me disais, si l’État leur donnait six mois de véritable formation, ces gens seraient totalement autonomes !

Mais, il paraît que c’est précisément cela que  » Les Fonctionnaires de l’Interdit » ne veulent point.

Pourquoi ai-je voulu vous avertir sur ce qui se passe avec ces examens ?

Parce que je suis professionnelle, pédagogue et universitaire, que vous en déplaise.

Ces « Fonctionnaires de l’Interdit » ne me voleront jamais mes compétences.

Je suis Professeur, j’ai acquis ma formation avec beaucoup de sacrifices et je serais professeur toute ma vie.

J’en ai fait preuve tout au long de ces 43 années de vie en France. Je peux conseiller sur ce qui est bon, bien, beau et juste parce que ma formation m’autorise à donner des leçons à la société et je rejette qui se produise l’inverse !

Je n’ai pas eu la difficulté qui traversent la plupart d’étrangers, car je suis arrivée en parlant le français et avec un solide bagage de culture française et dès mon arrivée, j’eus la chance de me voir entourée de « la vieille France », je me suis liée d’amité avec des personnes exquises qui m’apprirent à connaître Paris et ses merveilles, ça me manquait énormément, et grâce à eux, je suis devenue une véritable parisienne, et peu à peu, j’ai cessé de vivre à Paris par « procuration » en souvenir des années 28, l’époque où mon père arriva à Paris, mais en m’insérant moi-même avec mes propres expériences parisiennes.

Ça non plus, aucun des administrateurs de l’interdit ne me le volera jamais.

C’est tout ce que je tenais à vous dire.

Partager, donner son expérience est une obligation de tout bon professeur.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

UN RÊVE…

23 février, 2025 (11:46) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

UN RÊVE…

 

MON ATELIER-HUILE SUR TOILE 1999

 

Cette toile a une histoire, je l’ai offerte à une avocate, il lui semblait insignifiant être payée avec l’aide juridictionnelle,

je la lui ai donnée en « donation » pour lui remercier et surtout pour la motiver.

Bon nombre d’avocats bénéficièrent de mes dons et ils n’ont RIEN fait pour la souffrance de Maman maltraitée à mort.

Les photos de mes toiles données sont répertoriées et jointes à mon TESTAMENT, si après ma mort, j’obtiens une cote, ces avocats ne pourront pas les vendre. C’est mon ordre ultime. Mes dernières volontés.

En échange de ma donation, ils devaient s’occuper sérieusement des procès confiés, ils se sont moqués de moi éperdument, ils me voyaient comme une misérable dépourvue de tout et notamment de témoins ; ils pouvaient abuser professionnellement à leur guise.

Les autorités ont leurs noms et les photos de mes toiles, elles n’entreront jamais dans le circuit des ventes aux enchères, que justice soit faite d’une fois pour toutes, et post-mortem.

 

UN RÊVE AVEC LA TOUR EIFFEL

JOURNAL

DIMANCHE 23 FÉVRIER

 

 

Hier soir, je suis arrivée à m’endormir vers 2 h du matin.

Je ne rêve jamais, ni éveillée ni pendant mon sommeil, il est rarissime chez moi d’avoir des rêves ou des cauchemars, je suis un béton quand je dors.

Curieusement, hier soir j’eus un rêve en couleurs, j’étais jeune avec Maman à Paris, le sujet principal, n’était pas nous deux, toujours ensemble, mais LA TOUR EIFFEL !

En fait, mon rêve avait un argument précis, il s’agissait de trouver un nouvel appartement, nous devions déménager, pour un motif précis, de nos fenêtres, on ne voyait pas la tour Eiffel !

Et, soudainement, je lui dis à Maman :

« Tu sais, je viens de regarder par la fenêtre, la tour Eiffel est là ! Comment est-il possible que depuis les nombreuses années que nous vivons ici, je ne m’étais pas rendu compte qu’elle soit là ?!

Ce n’est pas la peine de déménager ! Restons ici Maman. »

L’absurde de l’argument de ce rêve est saisissant.

Je me suis réveillé et ce qui était le plus terrible de mon rêve est que je voyais la tour Eiffel devant moi, immense, imposante en couleurs,

j’ouvrais ma fenêtre et la tour Eiffel était à quelques mètres, je pouvais la toucher !

Elle était pour moi comme un être humain, bon, je l’ai toujours vue vivante et non comme le monument historique que tous les touristes viennent voir…C’était non un « rêve » mais un véritable cauchemar !

Je me souviens que quand j’étais très jeune adolescente, je demandais à papa, « je veux aller voir la tour Eiffel ! » Alors papa souriait, et me disait : « un jour, tu iras, ne t’inquiètes pas, elle est là ».

Je me demande pourquoi ce rêve ?

Probablement parce que je hâte de retourner à Paris… Et quitter cette banlieue maudite…

Peut-être puisque j’ai une série de croquis que je ne peux pas réaliser et les transformer en toiles, par manque d’argent. Peut-être parce que l’autre jour, j’ai lu que Jean Gabin, avant de mourir,

il n’a demandé qu’une seule chose, qu’on l’emmène en voiture faire un dernier tour pour voir la tour Eiffel.

Je pense que je me demanderai à moi-même la même chose.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

2013

Avec Maman avant l’assassinat

par le « docteur Traître-Tant »

 

 

 

 

 

 

 

 

 

INTRODUCTION LA MORT EN FRANCE : POLITIQUE FUNÉRAIRE DE LA TERREUR – ESSAI – VOLUME II PARLONS CHIFFRES

23 février, 2025 (10:55) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

4ème DE COUV. LA MORT EN FANCE POLITIQUE FUNERAIRE DE LA TERREUR VOLUME II

 

COUVERTURE ESSAI VOLUME II LA MORT EN FRANCE

 

 

LA MORT EN FRANCE : POLITIQUE FUNÉRAIRE DE LA TERREUR

 

                                       ESSAI  – VOLUME II

 

                                       INTRODUCTION

 

Témoignage sans concessions d’un périple en solitaire pour donner une tombe digne à sa mère, ne possédant qu’une retraite dite « au seuil de pauvreté » de 830€ mensuels, Carmen Florence Gazmuri-Cherniak fait la description d’un périple tortueux et indigne, une véritable torture qui s’avère humaine, mais à laquelle elle s’est soumise pour une durée de trois années en obéissant aux demandes officielles des décrets funéraires français qui établit par « décret sacré » les prix exorbitants des pompes funèbres et des concessions funéraires.

Nous assistons à ce que veut dire pour une personne que de se voir obligée à assister à trois inhumations, trois exhumations avec les correspondants changements qu’impose l’achat de cercueils de sa mère ; débutant par un enterrement précipité dans le dernier emplacement du cimetière que l’État réserve aux pauvres, aux indigents pour qu’ils enterrent « provisoirement » ses morts. Ce terrain se trouve à la fin du cimetière, c’est là qui sont enterrés les pauvres, ces terrains destinés aux pauvres où l’État français loue des tombes provisoires pour cinq années et une journée ; délai artificiel pour déloger ensuite la dépouille du mort en toute légalité, pour jeter ensuite le cercueil aux flammes ou à l’acide si la famille ne dispose pas d’argent pour lui donner une tombe digne, c’est celui-ci qui aurait été le sort de la dépouille de sa mère, si Nadezhda n’avait pas décidé de se sacrifier pour accéder aux exigences funéraires mercantiles de l’État français. C’est le même sort que l’État français octroie des « morts de la rue » et à tous les indigents français.

L’autrice a dû  déplacer le cercueil de sa mère de la tombe « provisoire » après les cinq années et une journée soumise à des privations chaque fois plus strictes qui ne prenaient pas fin, une fois expiré le délai de la location de la « tombe provisoire » que l’État exécute comme si la concession funéraire était soumise aux mêmes lois mercantiles d’une vulgaire HLM ; l’autrice a trouvé un autre cimetière où encore sont vendues des « concessions perpétuelles », où elle décide, sans d’autre revenu que sa retraite de 830€, d’acheter une concession perpétuelle, mais dont elle n’a pu, dans un premier temps, que payer pour dix années. Elle se voit contrainte à payer un deuxième cercueil et à payer l’exhumation, et une nouvelle inhumation encore « en pleine terre », en attendant de pouvoir payer la construction du caveau et la pierre tombale. Après six mois de recherche, elle trouve enfin une société de pompes funèbres qui accepte de lui octroyer plus de 3 mois de délais pour payer la construction du caveau ; ce nouveau contrat, le troisième et le dernier, lui exige de payer encore 400€ mensuels pendant dix-neuf mois ; pour enfin construire la tombe digne pour sa mère ; ce paiement mensuel qui lui prend la moitié de sa retraite, tout comme les années précédentes, lui demande de poursuivre encore des privations surhumaines, car il ne lui reste que 150€ mensuels pour son usage personnel ; elle ne peut que manger dix jours par mois, le reste du mois, elle survit à l’aide du Clinutren. 

Nous assistons au quotidien de vie de Carmen et à la description en détail de la nouvelle exhumation, à l’achat d’un troisième cercueil, cette fois-ci dit « sarcophage », obligatoire si un transport en avion s’avérait possible et à l’attente de 48h, le temps exigé pour la construction du caveau pour deux personnes et, enfin une fois le caveau construit, se déroule la troisième et dernière inhumation et la pose de la pierre tombale.

La description en détail de trois années de famine donnent la prise de conscience de ce que l’État français oblige aux familles des morts sans revenus ; nous prenons connaissance de la liste des prix exorbitants des concessions funéraires perpétuelles et des prix imposés par les pompes funèbres françaises ; en dépit d’avoir enfin construit une tombe digne pour sa mère, après la traversée de trois années de misère, privations et angoisses de tous les instants, une nouvelle exigence mercantile lui exige la Mairie de Paris, elle doit payer la somme de 8279.53€ au Trésor Public, pour s’acquitter du solde exigé pour que la tombe de sa mère ne soit pas « reprise » en toute légalité par la Mairie de Paris, et pour interdire que le cercueil de sa mère, ne soit délogé et jeté à l’incinération.

Carmen Florence Gazmuri-Cherniak doit obligatoirement répondre « comme tout le monde » qui  veut une concession perpétuelle et, s’acquitter du paiement exigé par la Marie de Paris de la somme qui doit être soldée de son premier versement de 600€ pour seuls 10 ans de la concession funéraire perpétuelle.

L’autrice de cet essai enjoint un changement de la loi des Décrets funéraires, sa thèse est la suivante : si cet argent doit obligatoirement être payé au Trésor Public, en une seule fois, et par chèque banque, sans aucune possibilité d’un paiement mensuel, car l’État ne permet aucun échelonnement et, si la loi fiscale permet le paiement des impôts sur le revenu par échelonnement aux citoyens qui ne peuvent payer leurs impôts en une seule fois ; cette même loi doit s’appliquer aux personnes à faibles revenus, or les indigents, c’est un cas à part, et quand ils doivent payer des concessions funéraires pour leurs morts, suivant cette logique juridique et mercantile, les citoyens exonérés de l’impôt sur le revenu, ne doivent pas payer la concession perpétuelle.

Ce changement de loi des décrets funéraires doit aller de pair avec les exigences du Trésor Public qui n’est pas un organisme décideur.

L’autrice propose qu’une fois la loi modifiée, l’État exige l’application stricte aux participants de ce réseau qui accomplit les travaux funéraires. Les familles qui le demandent, motivées par leurs convictions personnelles doivent bénéficier de cette loi d’achat desdites concessions funéraires qui doivent être vendues suivant le même barème ordonné par la loi d’impôt sur le revenu.

L’État doit exiger la totalité du paiement des concessions funéraires uniquement aux familles solvables et exonérer les familles qui éventuellement exigent une tombe perpétuelle pour leurs morts ; prenant en considération que cette nécessité est de moins en moins demandée ; d’une part, au regard du mépris généralisé vis-à-vis des morts, et d’autre part, de l’absence d’une configuration mentale attachée au religieux, ce changement de la loi concernant la vente des concessions funéraires ne provoquera jamais un déséquilibre budgétaire à l’État Français.