LE MATRIARCAT DANS L’ADMINISTRATION FRANÇAISE
LE MATRIARCAT
DANS L’ADMINISTRATION FRANÇAISE
Chers Lecteurs,
Les misérables féministes n’ont de cesse de se plaindre et de condamner le patriarcat, quand il n’existe point !
L’administration française est remplie des femmes, où qu’on y aille on les trouvé » dominatrices, moqueuses, et débordantes d’attitudes vicieuses « à l’encontre d’autres femmes, je les connais depuis que j’ai dû vivre par le passé, en contact avec cette caste, uniquement durant la période entre l’année 2000 et la date de son crime commis par LE SICAIRE en octobre 2013.
Quand Maman est tombée malade fin 1999 et que j’ai dû quitter l’enseignement pour m’occuper d’elle, seule, jour et nuit chez nous et pour survivre, j’ai été obligée à signer tous les six mois, l’horrible contrat RMI, après le RSA, sous les contrôles d’une « assistante sociale », là, j’ai pris connaissance de leur caractère et de leur despotisme. Ce contrat signé entre les deux parties était composé d’un contrôle pénitentiaire, elles faisaient « l’inspection » chez nous pour vérifier que je prenais soin de Maman; j’étais la fille suspecte, quand c’était le « Médecin TRAÎTRE-TANT » le véritable assassin, lui, il n’a subi aucun contrôle, il a pu se glisser entre les filets de ma plainte pénale, en ayant sa confrérie du Conseil du Désordre « solidarité collégiale « qui a pris soin de cacher son assassinat en compagnie de ses trois complices, ils se portent bien, l’un chef de service et bien installé sur Doctolib, les autres encore en exercice dans le pire des hôpitaux du 20ᵉ, non ce n’est pas Tenon, c’est l’autre. RÉPUGNANT.
Si vous saviez l’ampleur et l’intensité de mon dégoût de cette administration, non, vous ne pouvez pas l’imaginer, parce qu’il faut savoir ce que l’assassinat de votre mère veut dire, aucune supposition ne peut rendre l’intensité d’un tel acte qui est la définition même du désastre le plus tragique qu’une personne ne peut subir. Laissons.
C’est l’idiosyncrasie de l’administration française.
J’ai été obligée d’accepter cette minime subvention qui a débuté avec le RMI, la somme de 380€ ! Pour finir en 2013 avec 550€, minime somme de survie qui m’a permis de soutenir maman sans aucune aide extérieure et la sauver de la prison-mouroir d’un EHPAD; où elle aurait succombé après une heure de séjour. Et moi pareillement… J’ai pu la sauver treize années, jusqu’à ce qu’un jour, la décision fatale du SICAIRE se déclenche et décide de tuer Maman par le moyen de son refus de soins, on ne tue pas seulement avec un pistolet à bout portant, ou avec un scalpel, le pire des crimes sournois d’un médecin est le refus de soins, il restera toujours impuni, si la victime est âgée et pauvre, sans témoins puissants, il lui sera encore plus facile de s’échapper, cet assassin a tué Maman avec des circonstances aggravantes.
Celle-ci a été, la pire des expériences qui m’a offert la France, le crescendo de son mépris, n’a pas eu de limite.
Bien, revenons à la description du MATRIARCAT dans l’administration, j’ai pu connaître les infirmières et leurs méthodes sadiques, las assistantes sociales, et une fois Maman morte, je me sis jurée ne plus jamais m’approcher d’une administration, en France la seule manière de vivre en paix est de vivre indépendante et le plus éloigné possible de toute administration. Par chance dès nos jours, toutes les déclarations administratives obligatoires se font par Internet, sans s’approcher en « présentiel » des fonctionnaires.
J’ai une chance unique d’être en parfaite santé, je ne visite plus jamais les hôpitaux et quand je me fais les radios et les scanners de contrôle je ne reste qu’un quart d’heure sur place et basta.
Le matriarcat est dominant au sein des « commissions ».
Avec un médecin, nous parlions à ce sujet.
Qu’est-ce qui peut provoquer ces femmes dominatrices qu’elles ont comme jeu et coutume d’attaquer d’autres femmes qu’elles croient « inférieures » et les prendre comme CIBLES?
Je suis arrivée à la conclusion la plus simple : elles doivent avoir des vies personnelles et intimes des plus aigres et misérables, elles doivent vivre frustrées et en complément à leurs frustrations intimes, elles sont toutes remplies de complexes graves d’infériorité qu’elles essaient de gommer avec une autorité débordante et agressive.
La vulnérabilité, la seule que je présente devant cette caste de femmes nécrosées, est mon manque d’argent.
Mon unique perméabilité est de n’avoir comme moyen de survie que 1030€.
Quand j’y pense, et j’y pense tous les jours, je ressens de l’effroi.
Je me dis, comment ai-je pu venir en France pour m’appauvrir et laisser que la pire des classes sociales de la France m’agresse de la sorte?
Comment-est-il possible que je sois LA CIBLE de ces éléments en décomposition?
La vérité est que je m’en veux, il n’y a rien de pire que de ressentir qu’on s’est trompée en choisissant à tort un pays d’adoption. Mais, après faire mon bilan, je me console, je suis arrivée en France pour sauver la peinture de mon père, je ne suis pas venue pour moi-même, mais ceci est aussi relatif, parce que mon père, c’est moi, ma mère, c’est moi, alors la vérité est que si j’ai quitté mon confort matériel que j’avais dans mon pays d’origine, c’est fut uniquement pour la peinture.
Mon père, le peintre Hernán Gazmuri a été reconnu d’esthétique Française, il appartient à l’École de Paris, il a été bien attesté qu’il fut disciple d’André LHOTE dans les années 28 à Paris et, il est entré dans le Patrimoine de la France après que son oeuvre capitale est entrée au Musée d’Art Moderne de la ville de Paris, « pour compléter les Collections de l’École de Paris. » (René Huygue)
Par conséquent, moi qui suis la seule disciple que le peintre Hernán Gazmuri a laissée, je suis la seule artiste-peintre encore en vie qui reste l’héritière de l’école de peinture qui fut la plus prestigieuse École de peinture moderne Française.
Tout ceci appartient au passé. Quand la France se soutenait sur le socle de Lhote, Malraux, Kahnweiler.
À présent , la prostitution est assisse au ministère et s’est répandue par toute l’administration.
Il faut prendre la fuite, ne plus insister, qu’ils restent dans leur porcherie luxueuse.
Tant mieux s’ils me refusent.
Je ne suis pas salie. Ma peinture est sacrée et je ne peux pas la salir en exposant chez ces prostituées.
La vie est le présent, l’ici et maintenant.
Ces barbouilleurs se croient peintres, leurs parrains politiques prennent soin d’eux, leur accordent des bourses et elles leur font vivre richement leur médiocrité qui s’est uniformisée de par le monde.
Le seul pays où le vice ne peut se répandre est dans ma Russie, aucun vice ne peut y fructifier.
Laissons les parler… Je suis en train de survivre dans l’immersion d’une propagande anti Russe, je ne peux pas y échapper qu’en changeant de chaine.
Tant mieux qu’ELLES me laissent dans l’invisibilité, absolument toutes les galeries m’ont refusé, toutes les mairies, l’encerclement de l’invisibilité picturale est complète. Il paraît que ma peinture les fait peur et ils fuient !
Je comprends.
Et, ELLES pensent qu’une fois moi morte, ELLES vont arriver comme des charognards qu’elles sont, pour attraper ce qu’ils méprisèrent ma vie durant, me privant ainsi de devenir indépendante?
Ah non! Mon testament est fait. Personne n’aura même pas un croquis, j’ai déjà tout donné.
J’eus l’expérience de la spoliation de toute l’œuvre de mon père, son testament fut violé; à présent ses toiles sont vendues aux enchères, tandis que ses toiles qui m’appartiennent, sont vendues et les achats ventes frauduleuses me laissent ici crever la faim à la merci du MATRIARCAT VILOGIA et des autres qui les suivent pareillement, leurs « collègues » de l’administration qu’elles dominent sous-influence contre moi.
Ils laissèrent Maman dépouillée de son héritage pictural, mon père lui avait tout donné, nous avons vécu ensemble la trahison et la spoliation, cela m’a servi de leçon, il m’a fallu mettre l’abri tout mon travail pictural.
C’est le calme plat. Avec mon testament j’ai obtenu la paix.
Avant de fermer cet article, je tiens à dire ceci:
Si les autorités incompétentes, non-pardon, faute de frappe, les autorités COMPÉTENTES restent inactives face à mes déclarations épistolaires, cela voudra dire que je me suis encore trompée, la déliquescence et la médiocrité de la mafia de l’administration est encore plus grave que ce dont je l’accusais.
Carmen Florence Gazmuri Cherniak
NADEZHDA
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