CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

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PASSONS À LA COMPTABILITÉ

26 mai, 2025 (22:46) | Non classé

 

 

PASSONS À LA COMPTABILITÉ

 

 

ET CESSEZ DE CULPABILISER LES USAGERS

 

ET LES MÉDECINS.

 

 

Chers Lecteurs,

Les journalistes de LCU sont d’une indignité sans limite, j’ai été ahurie à les entendre, j’ai dû changer de chaîne.

Cessez de culpabiliser les malades,  les usagers de la Sécurité sociale, ou bien vous jetez la faute aux médecins qui prescrivent trop de  médicaments, ou bien vous culpabiliser les malades de faire trop de dépenses. Les deux accusations sont hors sujet et des mensonges.

Les médicaments ne sont pas de l’alimentation ni des friandises, si les médecins jugent nécessaire de les leur prescrire, c’est parce que leur cursus de 12 ou plus années de formation et bon nombre d’années d’exercice, le leur autorise et  c’est parce que c’est justifié, arrêtez vos C————!

Si l’on fait l’historique des dépenses de la Sécu des années auparavant, il n’y avait pas cette dette abyssale, pourquoi?

Les uns disent que c’est dû au « vieillissement de la population »,  les autres jettent la déficit sur les hordes d’immigrés qui arrivent malades et qu’il faut prendre en charge avec la AME, obligés qu’ils sont par le Label de la « solidarité »

Il faudrait faire parler les sociologues et leurs statistiques , mais ceux qui ne sont pas politisés! Pour qu’ils nous disent les véritables causes des déficit de la Sécu.

Je suis universitaire, je ne suis pas une scientifique en mesure de vous faire l’analyse définitive pour assurer que c’est dû à une immigration inexistante il y  a presque un demi-siècle auparavant et l’augmentation des personnes très âgées avec des maladies exonérantes de longue durée, nonobstant, celui ou celle qui a une formation des hautes études quel qu’il soit sa nature, est habilité pour faire des analyses qui entrent dans le domaine strictement scientifique comme l’est la statistique appliquée à la sociologie.

Mon domaine de compétences est exclusivement littéraire et picturale, les analyses littéraires depuis des décennies sont dépouillées de tous les éléments d’exégèses de jadis assez souples et parfois superficiels, la recherche littéraire universitaire a adopté un socle d’exégèse d’un sérieux scientifique dans le domaine de recherches de « sciences humaines. » La littérature, la pédagogie le sont sans conteste, du contraire, je ne me permettrais pas la liberté de prendre la parole. J’ai un passé de prise de parole qui a débuté au lycée,  ensuite à l’université pour se développer sans cesse  par le moyen de mes analyses devant mes élèves dans les lycées.

Ceci dit, je vais vous donner quelques informations capitales pour détromper les lecteurs qui suivent les « commentaires » de ces imposteurs « éditorialistes » de chaînes de télévision, ils arrivent à convaincre, ils ne sont plus les transmetteurs de nouvelles, mais ils sont des « influenceurs » qui propagent leurs idées personnelles, ce n’est pas le rôle du  journalisme.

Je veux vous inviter à vous rendre à ma comptabilité, je vous demande de m’accompagner pour faire une visite à la comptabilité d’une française, certes adoptée, mais au lieu de me défavoriser, cette composante me fortifie dans la véracité mon  discours, c’est cet élément qui est encore plus utile, parce que chez moi, il s’agit d’une vie atypique et je réunis chez moi, tous les facteurs qui sont à présent détournés, ceux qui étaient en vigueur  auparavant dans les années 80, quand j’ai  atterri à Paris.

Ce qui est le plus révoltant est que presque un demi-siècle après, les tergiversations deviennent un tsunami d’accusations.

Je suis en France depuis 43 ans, cela mérite du respect.

Je vais vous faire un peu d’histoire, elle est pédagogique, pardonnez moi, c’est une faute de profession, je vous prie de ne pas m’apporter, rigueur.

JE ne ferai pas de la « littérature » je vais vous donner des renseignements de loi de l’époque et je vais vous donner des chiffres accablantes.;

Dans les années 80, je suis arrivée avec un  visa de touriste. Ma mère est arrivée une année après, je devais avant trouver Diu travail et un logement our mouvoir l’accueillir et la déclarer devant la préfecture, ni Moi ni Maman n’avoiknbs jamais eu le statut de « refugiées », nous nous sommes financées entièrement notre voyage, notre arrivée et je n’ai jamais demandé un seul franc de l’époque à la France.

Mon « INTÉGRATION »  fut rude et difficile.

Que croyez-vous, que nous sommes arrivées pour m’endier et voler les caisses de l’État?

Nous sommes arrivées en « mission artistique »,  pour faire don à la France de l’oeuvre capitale du peintre Hernán Gazmuri et moi, pour fair de paris ma vie d’attache et d’adoption.

Bien, avant de passer à la comptabilité.

LA LOI

Selon mon statut, la Préfecture m’exigeait:

Le travail qui justifierai ma Carte de résident « privilégié »

Je devais louer un appartement, à l’époque bénie, j’étais interdite de louer dans le champ locatif SOCIAL, interdiction de bénéficier « les Alloc » et l’interdiction  aux secours, le RMI, il n’existait point. Les réfugiés bénéficiaient de la Convention de Genève, pas moi.

J’étais « touriste ».

Maman arriva, et j’ai l’ai prise entièrement à ma charge, je travaillais et je louais un studio de 35m2. Un bailleur français sérieux, jamais je n’ai eu de problèmes avec aucun bailleur français particulier, la catastrophe débuta quand je suis entrée dans le champ de location « SOCIAL! » , mais jamais comme les actuelles gérantes criminelles de Vilogia.

C’est moi qui donné  à Maman, sa première CARTE de sécurité sociale, la Carte vitale n’existait point, je lui payais ses droits à la Sécu, en payant à l’URSSAF son Assurance Personnelle.

Maman était pianiste et n’avait pas de retraite.

Alors stoppez vos accusations mensongères.

J’ai obtenu sa Carte de séjour et pour ce fait, j’ai dû faire preuve devant  la Préfecture de Paris que j’avais un travail, un logement qu’elle vivait sous mon toit et j’ai signé des documents où je m’engageais à rien demander à l’État, et que je l‘assurerais son toit, son alimentation, son habillement est ses frais de santé.

Donc,  rien ne nous a été donné en « cadeau » comme l’exigent les réfugiés à présent.

Ensuite, je saute 20 années de catastrophes multiples. Maman avait vieilli.

Maman tomba victime d’une maladie neurologique dégénérative et pour lui éviter

« le  placement » j’ai quitté l’E.N. et me suis consacrée jour et nuit à la soutenir, elle avait besoin d’une surveillance de tous les instants aussi bien de jour comme de nuit.

Nous avons refusé l’APA, à l’époque était de 1700€ pour son invalidité maximale évaluée en GR1.

Nous avons refusé l’APA, par éthique, parce que nos convictions n’acceptent pas que la fille soit payée pour soutenir sa Maman, et qui  SOIT L’ÉTAT QUI ME PAIE POUR GARDER MAMAN ET QUE JE SOIS CLASSÉE COMME « SA FEMME DE MÉNAGE » , CETTE IMMONDICE EST UNE INVENTION DE LA MINISTRE GUIGOU, UNE ABERRATION.

Donc, on m’a dit « c’est votre choix » et on m’a donné le RMI, j’ai commencé en l’année 2000 avec 380€ pour finir avec 500€ en 2013, date de sa mort,  produite par crime du « médecin Traître-Tant » Le Sicaire, jamais puni.

LA COPMPTABILITÉ

J’AI ÉPARGNÉ À L’ÉTAT LES SOMMES SUIVANTES QUE JE N’AI PAS DEMANDÉ POUR MOI COMME RÉMUNÉRATION POUR GARDER MAMAN:

L’APA PAYAIT 1750€ MENSUELS POUR LA GARDE DE QUELQUES HEURES D’UNE PERSONNE EN GR1

À L’ANNÉE, L’AIDANTE GAGNAIT  21.000€

POUR 13 ANNÉS SANS DEMANDER POUR MOI L’APA, J’AI ÉPARGNÉ À L’ÉTAT  LA MODESTE SOMME DE

273.000€

ALORS, JE VOUS PRIE DE VOUS TAIRE MESDAMES, MESSIEURS LES JOURNALISTES DE LA CHÂINE LCU

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

NADEZHDA

 

 

 

 

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