ALERTE SUICIDES : ONZE DANS L’ÉDUCATION NATIONALE – UN LOCATAIRE D’UN BAILLEUR SOCIAL A PARIS
ALERTE SUICIDES
ÉDUCATION NATIONALE
ET LOCATAIRE D’UN BAILLEUR SOCIAL
Chers Lecteurs,
Ces deux nouvelles, mal nommées « fait divers » donnent le portrait de cette France.
Horrible portrait d’un pays en décomposition.
Le journal Le Monde vient de publier qu’au sein de l’Éducation Nationale en 2024, dans le rectorat de Normandie, il y a eu onze suicides.
Cette horreur ne m’étonne point. J’ai écrit il y a des années sur les suicides récurrents qui sont méticuleusement cachés
et s’il y a une fuite et une publication s’ensuit, le personnel mafieux de l’Éducation National se défend et déclare que
c’est un cas « exceptionnel » et que le professeur suicidaire « ÉTAIT FRAGILE ! »
Il y a quelques années, dans le rectorat de Nice, une jeune professeur d’espagnol, mariée et mère, s’est suicidée, victime du harcèlement d’un inspecteur.
Maintenant commencent à parler et à ouvrir la boite de Pandore. Pauvres collègues, il faut savoir que pour supporter sans préjudices l’univers dictatorial et mafieux de cette administration française il faut avoir un caractère de fer.
Je ne peux pas critiquer les gens faibles.
Ils font légion ; je suis née très chanceuse, j’eus la chance d’avoir hérité le caractère de mon père, qui fut persécuté par les mafieux de
l’officialité chilienne, sadiques et jaloux de son génie, sans jamais céder à leur ignominie.
Si j’avais hérité le caractère de Maman, douce et sublime créature, vulnérable et sans défense, j’aurais succombé il y a déjà une quarante années. Personne ici n’a le caractère des « Gazmuri ».
Le deuxième suicide vient de se produire à Paris, un homme de soixante ans s’est immolé à l’aide d’une bouteille de White-Spirit au siège de DOMNIS son bailleur social du 10ème arrondissement de Paris, son bailleur social qui lui refusa la mutation qu’il avait demandée depuis des années.
Un énième refus a déclenché son acte de désespoir.
Personne ne se souciera de ces deux sortes de suicides. Personne.
Ils seront oubliés le lendemain.
C’est toujours la victime, les victimes, qui seront cataloguées comme les seules coupables et ridiculisées post mortem
comme des personnes FRAGILES !
La société haussera les épaules et les oubliera, ce n’est pas leur problème.
Dans notre force de caractère, il faut noter qu’elle est à double tranchant, d’une part notre caractère de fer nous sauve, nous ne sommes ni de personnes fragiles ni d’imbéciles, notre capacité de raisonnement nous dit que nous ne sommes coupables de rien et que nos demandes sont légitimes parce qu’inscrites dans la loi et que ce sont ces mafieux les seuls coupables, et d’autre part cette force de caractère et cette capacité de jugement nous apporte tort aussi parce que ceux qui devraient faire accomplir la loi, ne sont pas inquiétés de notre sort, ils se disent « elle supporte bien tranquille la Gazmuri » on peut la laisser, elle est vielle, c’est une question d’attendre ».
Puisque jamais, nous ne porterons atteinte à notre vie.
Il y a une seule exception : VILOGIA
Elles ne veulent qu’une seule chose : Me liquider.
C’est pour cela qu’elles me refusent la mutation vers Paris.
C’est pour cela qu’elles ne veulent pas changer le tuyau de gaz qui est en train de rependre des
particules fines de gaz et qui a été sanctionné par le GRDF dans son rapport écrit.
VILOGIA n’aura jamais le plaisir de me voir m’immoler à l’aide de White-Spirit, je ne l’utilise que pour nettoyer mes pinceaux !
Ah tiens ! je cherche les bouteilles de White-Spirit de partout dans les rayons des supermarchés et je ne les trouve nulle part!
Ruminez votre haine et détestation mesdames, je ne serai jamais une de vos
immolées.
J’ai laissé inutiles toutes les injustices des mafieux de l’Éducation Nationale. À présent, c’est votre tour.
Dans ce pays, il faut vivre le plus éloigné possible de toute affaire avec l’administration, jamais signer un contrat de travail au sein de l’État,
jamais signer un contrat de location avec un bailleur social et vous vivre en paix.
Quand je venais d’arriver en France avec Maman, je n’avais pas le droit de louer chez les bailleurs sociaux, ma vie était paisible, je n’eus jamais à subir des injustices ni d’abus, pareillement quand je travaillais dans l’enseignement privé hors contrat avec l’État,.
Il a suffi que je devienne Française et qu’ignorante que j’étais pour que je signe des contrats de travail et de location avec l’État, sans savoir que je signais mon appauvrissement et ma ruine.
Quand bien même vieille, je garde l’espoir de me libérer des griffes de cette maudite administration.
En tout cas, je le redis, je cherche une bouteille de White-Spirit pour nettoyer mes pinceaux, c’est urgent !!!!
Carmen Florence Gazmuri Cherniak
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