CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

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LE BAILLEUR SOCIAL VILOGIA SERA CONNU DE PAR LE MONDE ! EN ABSENCE DE COMPTEUR INDIVIDUEL IL NE FAUT RIEN PAYER !

1 février, 2025 (15:25) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

ESCROQUERIE NATIONALE DES BAILLEURS SOCIAUX

VILOGIA EST DÉJÀ CONNU ! 

 

https://www.leparisien.fr/nord-59/leur-bailleur-social-lillois-leur-reclame-des-regularisations-de-charges-astronomiques-deux-ans-apres-31-01-2025-HCRA25WHGVGGDCXCWPUSN7I32Y.php

 

 

 

Chers Lecteurs, 

Lisez ceci :

Le siège du bailleur VILOGIA qui m’exploite pratique la facturation fictionnelle abusive et grossière de « dépassement des charges ».

Cela est interdit dans les HLM, parce qu’il n’existe pas de dépassement des charges dans un appartement HLM, car nous sommes prélevés tout au long de l’année et le chauffage collectif est pareil pour tous ; nous ne pouvons pas l’éteindre si je veux couper le chauffage ceci m’est impossible.

L’eau froide est gratuite. Nous payons « des provisions d’eau froide  » qui sont prélevées en hiver comme en été, pour le chauffage collectif pareillement.

Les dépassements des charges sont possibles et visibles dans nos consommations d’électricité et de gaz, et nous sommes en mesure de les vérifier dans nos compteurs.

La faute est des locataires ou bien ignorants, ça se pardonne, ou bien stupides, ce qui est IMPARDONNABLE, parce qu’avec leur comportement irresponsable de se laisser escroquer, ils  entraînent les autres locataires dans une fausse faute.

PERSONNE ne doit céder à cette imputation de facturations grossièrement inventées.

Ils se laissent convaincre des dépenses qui ne sont pas commises et qui ne sont pas réelles et qu’eux ne peuvent pas vérifier donc ils ne doivent RIEN PAYER !

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

MES ÉCHANGES TUMULTUEUX ET AMUSANTS AVEC LE SERVICE PUBLIC »: LES DÉLITS DES BAILLEURS SOCIAUX EN FRANCE

1 février, 2025 (14:43) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

LIMINAIRE

 

Chers Lecteurs,

La semaine dernière, j’ai trouvé un article fort intéressant d’une jeune locataire qui s’exprimait sur LE JOURNAL,  lle donne son vrai nom,  elle s’appelle Natacha Terrier, elle se bat contre son bailleur social depuis  2023 et a décidé de l’assigner en justice.

Je la cite, car ce qu’elle dit est d’une vérité absolue, ce que j’ai toujours donné comme argument pour ne plus me battre contre un mur et me ridiculiser face à ses monstres :

« face à un bailleur social, vous n’avez aucun pouvoir »

 

Le voici l’article qui lui est dédié.

https://www.lejsl.com/faits-divers-justice/2025/01/28/son-logement-subit-des-infiltrations-d-eau-depuis-plus-d-un-an-elle-assigne-cdc-habitat-social-devant-la-justice

 

Je subis pire qu’elle, car mis à part les dégâts d’un lieu vétuste que ce bailleur social se refuse à réparer et met en péril ma santé, mon intégrité physique et financière, je subis la discrimination abusive contre la vieille femme handicapée et misérable en argent que je suis, délit qui est fortement puni par la loi du Code pénal.

et qui est perpétré par le bailleur social VILOGIA

Et encore plus fermement puni quand il s’agit des fonctionnaires d’État qu’exécutent leurs délits depuis leur poste de privilège, ce qui s’appelle ABUS DE POUVOIR.

Elles s’en fichent, parce qu’elles sont défendues par L’ÉTAT !

Mais je n’assignerai pas en justice le bailleur VILOGIA, car à différence de cette jeune locataire, je suis vieille, je n’ai pas d’argent pour bénéficier d’un bon avocat et je n’ai pas d’années à dépenser en attentes inutiles et fatigantes pour mon âge et mes activités.

Quand elle réussira, et je lui souhaite du succès, elle l’aura sans le moindre doute parce que représentée par un bon avocat et parce qu’elle n’habite pas dans la commune des Yvelines, la pire de toutes en matière de justice, et quand elle aura gain de cause face à son bailleur, je serai déjà dans mon caveau au cimetière, le temps d’attente dans les tribunaux des Yvelines fluctue entre 10 et 14 ans ! Et ailleurs, je crains qu’il le sera pareillement, parce que la lenteur de « l’injustice française » fonctionne au ralenti dans toute la France.

MERCI!!!

Alors, j’ai vu qu’elle a publié son cas sur un site du gouvernement qui s’appelle HISTOLOGE.

J’ai fait de même, ils disent que ma plainte a été reçue et validée par les autorités et qu’elles vont me contacter.

Si elles veulent venir pour une visite guidée de ce château, elles ont la porte ouverte, je me ferai un plaisir d’accueillir tout le monde, la presse comprise si elle veut venir faire un reportage des lieux délabrés, vétustes de 60 ans et bons à être démolis !

Ce serait une bonne occasion pour prendre quelques photos de mes toiles ? UN TITRE POSSIBLE SERAIT/

« Une artiste-peintre confinée dans une HLM de Poissy quand elle devra par logique et justice être mutée vers une HLM à PARIS !

À bientôt !

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

Et voici un cadeau d’information sur mes échanges avec le « Service Public » qui offre une rubrique pour « partager notre expérience » comme toujours, je ne respecte pas « leurs critères », dons mon écrit a été refuse.

Voici nos échanges.

Je vous souhaite une belle lecture, amusez-vous bien!

ÉCHANGES PAR MAIL avec le SERVICE PUBLIC

Ne pas répondre

Bonjour

Vous avez souhaité publier une expérience sur la plateforme Services Publics +.
Nous regrettons de vous informer que votre expérience avec le pseudo NADEZHDA n’a pas été publiée.

En effet, elle n’est pas conforme à notre politique de modération.
Votre point de vue est parfaitement légitime, mais ne fait pas état d’une expérience avec une administration. C’est pourquoi nous regrettons de ne pas pouvoir publier votre témoignage sur notre plateforme, même si elle peut avoir sa place sur un forum d’expression citoyenne.
Bien cordialement,
Pour l’équipe Services Publics +
Camille

 

CARMEN GAZMURI

CARMEN GAZMURI <carmengazmuri@gmail.com>
12:42 (il y a 4 minutes)

Bonjour,

Je vous remercie bien vivement pour votre réponse, je le savais d’avance et j’ai fait » l’expérience « assez amusante » dans le contexte tragique que nous offre précisément un de vos « services d’État »! Que vous devriez contrôler !
Mais vous en êtes complices, c’est pourquoi ils abusent. Je parle de :

Vos bailleurs sociaux.

Je suppose que vous êtes bien informées des manifestations face au Ministère du logement !

Et des portes fermées que vous donnez comme seule réponse aux gens en colère.

Un jour, vous aurez non un réduit écrit que vous refusez de publier à juste titre, mais j’espère une Manif nationale !

Pour ma part, j’ai déjà publié 5 exemplaires d’un long témoignage :

LOCATION ET CRIME

Je n’ai pas d’argent pour publier plus, car je vis dans la misère avec 1000 € de retraite.

Un jour.. Vous aurez non une expérience personnelle, mais une expérience nationale qui sera publiée dans la presse et connue de par le monde.

Aucune vérité ne peut entrer dans les critères d’un État dictatorial qui protège des malfaiteurs et pénalisé des citoyens honnêtes.

Vos bailleurs sociaux reçoivent votre argent, l’argent des contribuables et vos bailleurs font mauvais usage ou pire, ils le dépensent d’une frauduleuse manière pour après compenser avec des factures frauduleuses aux locataires.

Une résistance est en train de se former.

Respectueusement.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

 

 

 

 

 

 

 

 

DECRÉPITUDE

29 janvier, 2025 (07:50) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

DECRÉPITUDE

 

LA MORT EN FRANCE: POLITIQUE FUNÉRAIRE DE LA TERREUR

VOLUME III ET DERNIER

Chapitre II

Le mercredi 29 février 2025

 

 

Je me suis réveillée vers 4h du matin, j’avais éteint la lumière à minuit. C’est la faim qui me réveilla et il m’est fut impossible de me forcer à dormir plus. Si l’on n’a pas de sommeil on ne peut pas se forcer, c’est une évidence.
Après ma douche, je me suis dirigée vers une cuisine vide.

Par réflexe j’ai ouvert le frigo. Il y restait un œuf. Il faut le garder et bien le surveiller, il sera ma seule nourriture avec un bol de riz à 19h.
C’est un trésor à bien garder, pour rien au monde je ne cèderai à la tentation de le manger à midi !

Rien d’autre ne m’est permis dans mon programme funéraire.

Il y a aussi ma carafe d’eau où je mets de l’eau préalablement bouillie car l’eau dans cette commune est loin d’être « potable », les études scientifiques ont dit que l’eau des Yvelines est pleine de produits cancérigènes, de métaux et je sais que le fait de la bouillir ne va rien effacer, les particules de métaux sont indestructibles, mais au moins ce qui donne des infections est bien mort. Après je lui verse un peu de sirop de grenadine à zéro sucres et l’eau devient buvable du contraire je ne bois jamais de l’eau si je ne la reconditionne de cette manière.
Bon, je me suis résignée à prendre mes deux petites tasses de café et deux minuscules gaufrettes que je fais avec 50 gr. de quaker. C’est déjà ça pour tout ma journée.

J’ai allumé la télé, la chaîne Arte finissait un reportage sur une famille pauvre de Roumanie qui recevait la visite d’une « assistante sociale » qui leur prévenait qu’ils devaient partir, elle critiqua la saleté de la maison, d’être sales et de ne jamais prendre soin de leurs enfants qui étaient tous sales sans aller à l’école et qu’ils seraient délogés vers un logement social, et quand j’ai vu le « logement social transitoire »que l’Etat leur avait donné, je l’ai aussitôt comparé à celui où je vis, il est exactement comme ceux qui loue VILOGIA, exactement pareil, totalement délabré, sale et ces voleurs se permettent de facturer ces factures immondes !

J’ai commis la stupidité grandiose de venir m’installer en France, motivée uniquement pour la peinture, j’avais comme seul bagage intellectuel une fausse idée livresque de la France, j’étais nourrie d’idées malruciennes,mon effroi ne pouvait que s’agrandir au fur et à mesure que j’avançais en essayant de m’insérer. Où j’allais, je rencontrais du refus et du mépris. Cela ne serait pas grave si dans ce parcours je n’avais pas été obligée à m’appauvrir et à me voir interdite de revendiquer mes valeurs et ma profession. Le plus grave était que ce choc avec la société française laissait par terre toute l’éducation et les efforts de mon père, pour me laisser avec une profession qu’il considérait parfaite pour une femme, la pédagogie. Et, mon père avait raison, être professeur est une profession faite pour moi, gagner ma vie en enseignant je le voyais comme une réussite de vie et comme le meilleur résultat de tous mes efforts pour avoir réussi à mener seule un excellent parcours universitaire et, j’aimais enseigner.

Je n’ai jamais imaginé qu’ici en France j’allais rencontrer les mêmes jalousies intellectuelles que mon père avait subi de l’officialité chilienne. Non, je ne pouvais pas imaginer qu’en France avait les même type de mafieux dans les institutions et dans les administrations, les mêmes sadiques et le pire était ce marécage de jalousie intellectuelle, car quand elle s’installe, une fois qu’ils vous connaissent et que ce sont les mafieux de l’Education Nationale ceux qui sont nommés à vous juger, si vous n’êtes pas fait à leur « image » ils vous détectent comme des radars, et vous êtes perdu.

Les capacités intellectuelles leur fait grave défaut. Avant de quitter l’Education nationale j’eus la chance d’être inspectée par une inspectrice espagnole, par malheur elle était partie quand j’ai essayé de la retrouver.
À différence de celui qui m’avait nui, elle m’a félicité et m’a obligé à m’inscrire pour « passer le Capes », elle m’a dit :

 

« Qu’est-ce que vous nous faites ! Sans le Capes et seule avec votre mère ?! c’est une folie ! vous lirez vous inscrire tout de suite, les inscriptions sont encore ouvertes, vous l’aurez tout de suite ! »

Sauf qu’elle ne savait pas comment étaient faits les inspecteurs « français » et les « correcteurs » ; à ce sujet un Professeur m’a dit : « en espagnol la médiocrité est accrue, ici nous sommes corrigés par « nos pairs», alors vous pouvez imaginer ce que ça donne si vous avez des qualités hors du commun, ils vont vous nuire, ils aiment la médiocrité ». Il s’est passé exactement comme il me l’avait prévenu, ils m’ont planté Quan je suis sortie dans les listes des résultats du Capes , je n’avais pas les moyens de le voir, mes collègues si et elles étaient anxieuses de savoir, elles se précipitèrent à leurs écrans, j‘avais eu un Zéro ! Cela a provoqué un tôlé au lycée et dans la salle de profs une petite révolution. Les commentaires pleuvaient, mes collègues étaient ahuries, mes élèves rigolaient à en mourir de rire et de retour chez moi, Maman pleurait et moi je riais et réprimandé Maman en lui disant Maman tu ne vas pas pleurer pour la note de ces mafieux ! Laisse-les, je m’en fiche ! si tu pleures cela veut dire que tu les trouves raison, c’est cela qu’ils veulent me nuire nous nuire, ils ne l’obtiendront point. Est-ce que je perds mes connaissances ma maîtrise pédagogique parce que ces incapables me plantent un zéro ?
Non, bien sûr que non alors il ne faut pas pleurer, il faut rigoler !

Ils doivent être malades avec ma copie. L’affaire s’est estompée ensuite. Aucun avocat n’a voulu, me défendre avec l’aide juridictionnelle et j’avais trop de quoi m’en occuper pour rester sur un échec programmé dont j’étais impuissante pour abattre, tel qui me l’avait dit mon amie Marie-Claire : « ici en France l’Education nationale aura toujours raison même si elle a tort ».
Avec raison mon Directeur de recherches m’avait prévenu : « Florence partez d’ici, vos malheurs sortent de votre entrée dans le pire des milieux que nous avons en France, l’Education Nationale, il est le plus bas et le plus médiocre, vous ne ferez jamais carrière ici »

 

Alors je lui ai répondu : « et où vous voulez que j’aille avec l’espagnol ?
J’ai une Maman à nourrir, je ne peux pas m’exiler avec elle une seconde fois, j’ai 36 ans, il est trop tard… »

Il insista et a rédigé une belle lettre pour une collègue de l’Université de Madrid, où il me recommandait et lui parlait de mes deux travaux universitaires sur l’œuvre d’Ernesto Sabato qu’il avait lu et qu’il avait élogié lui-même. Le Professeur Couffon insistait que la rédaction de thèse de doctorat de troisième cycle construite dans une perspective pluridisciplinaire propre de la Littérature Générale et Comparée serait indubitablement la porte d’entrée pour m’insérer dans l’université espagnole. Le Professeur Couffon avait grand espoir dans mon départ définitif de la France, mais les frais de voyage et partir vers l’incertain avec maman âgée, c’était une entreprise périlleuse dépourvue de la défense qu’octroie l’argent.

 

L’idée que j’avais de la France était une fausse idée livresque.

Quand on discoure sur la meilleure manière de s’insérer dans un pays et que le consensus dit que c’est par la culture, je peux confirmer par expérience que cette idée est une aberration. Le fait d’avoir une profession intellectuelle ne sert de rien si nous n’avons pas une connaissance approfondie des vices et défaillances de l’administration ; or si je devais donner un conseil à quelqu’un qui veut émigrer ou si j’étais jeune et si je devais me protéger pour ne pas refaire l’erreur commise, il y a des questions préalables qui doivent être résolues, elles correspondant aux lois du pays, il faut les connaitre en profondeur et en détail, il s’agit de l’idiosyncrasie du pays d’accueil.

Ce panorama des lois et de façon de vivre au quotidien qui est le véritable portrait d’un pays n’a rien à voir avec « la culture », tout ceci la France le cache minutieusement, elle ne dira jamais que ses HLM n’ont rien à voir avec la qualité des logements sociaux qui offrent les pays du Nord !

Elle ne dira jamais que le niveau de l’enseignement secondaire et universitaire est en ruines et en échec scolaire absolu. La France n’avouera jamais leur décomposition, elle va donner comme catalogue de voyage touristique sa culture livresque du passé, ce rayonnement qui n’existe plus et qui ne reviendra jamais.

Voici les questions que le pays d’accueil doit répondre :

1. Quelle est la qualité des fonctionnaires qui commandent le pays ?
2. Quelles sont les lois en vigueur concernant les études, les modalités d’embauche, la nature des examens de sélection ?
3. Quelles modalités d’offre et de prix de location des logements privés qui sont en vigueur dans le pays qui va nous accueillir ?
4. Quels sont les lois funéraires en vigueur pour les résidents natifs ou les nouveaux arrivés ?
5. Quels sont les lois de santé publique et privées et quels sont les offres des assurances ?

Si ces informations ne sont pas à notre avoir avant de penser à programmer une fuite, rien de bon ne peut vous arriver dans votre parcours.
Si j’avais su quelle était la qualité de vie minable qui donne la France aussi bien aux Français de souche et ensuite aux immigrés, je serais restée bien tranquille et confortablement protégée dans le cocon qui m’avait donné mon père. C’est bien fait pour eux qui se revendiquent d’une république laïque, c’est leur république, ils l’ont construite à leur image, alors qu’ils l’assument !

Le nœud de l’échec est d’être en possession d’une profession intellectuelle qui dépend de l’Etat, le professorat n’est pas une profession libérale et en dépit qu’elle exige une dépense intellectuelle des années de formation sérieuse, la pédagogie est la pire des professions ; elle est celle qui n’aura jamais ni le statut ni le respect d’une profession libérale, tout ceci fut analysé parfaitement par l’Ecole de Francfort. Nous n’avons plus rien à ajouter.

Le cycle est fini, il ne reste qu’à le boucler par nos propres moyens en solitaire, poursuivre jusqu’à la fin dans notre tanière tout en menant le mieux que possible notre vie d’ermite et le plus important est de laisser le témoignage écrit et finir honorablement avant de mourir en ayant payé notre concession perpétuelle.

Que les charognards se taisent pour toujours, ils ne sont pas éternels. C’est ma seule pansée compensatrice
La seule perpétuité payante à prix d’or que nous pouvons récolter et nous offrir à force de sacrifices innommables sera notre concession funéraire perpétuelle.

Je suis arrivé dans un pays en décomposition où tout est en ruines et où nous survivons dépendants de leurs institutions en décrépitude, partageant un vécu avec des personnes dépourvues d’éthique et de morale.

Rien ne peut marcher dans un pays qui ne possède aucune idéologie et qui manque d’une pensée structurée dans le vrai, le bon et le juste.

La France a créé une société déstructurée, c’est la raison de son naufrage.

 

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

LA PAUVRETÉ EN FRANCE : COMPARABLE A UNE VIE EN OTAGE

28 janvier, 2025 (19:27) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

Christian Arnaud, ancien jardinier à la retraite depuis 16 ans, vit sous le seuil de pauvreté avec moins 1 200 euros par mois. Il témoigne dans « Le Courrier de l’Ouest » des sacrifices alimentaires et culturels qu’il est obligé de faire pour ne pas être dans le rouge.

« Je suis souvent dans le rouge… S’il me reste 50 euros pour finir le mois, c’est déjà presque miraculeux. » Comme des milliers d’autres Français, Christian Arnaud, ancien jardinier installé à Niort (Deux-Sèvres), vit avec une retraite le plaçant sous le seuil de pauvreté.

Le Deux-Sévrien de 76 ans touche moins de 1 200 euros par mois, ce qui l’oblige à faire attention à chaque dépense. Il relate dans les colonnes du Courrier de l’Ouest son quotidien, dénué des plaisirs qu’il pouvait s’offrir lorsqu’il travaillait en tant que jardinier. « Je dois sans arrêt calculer, sans arrêt jongler entre les dépenses. Donc je vais moins souvent au restaurant, je ne vais plus au cinéma, et j’évite les sorties trop chères », regrette-t-il.

 

Ce retraité, il est plus riche que moi, il perçoit 1200 €, moi ex-professeur d’espagnol Bac+8 je perçois 1010 € mensuels.

Vive la République et vive la France !

 

 

LA PAUVRETÉ EN FRANCE

 

 

 

COMPARABLE À DES PRISONNIERS EN OTAGE !

 

Chers Lecteurs,

 

Je prends un article de Libération qui nous fait le récit de l’état des otages libérées.

Les médecins font état de leur dénutrition par manque de vitamines, et leur nourriture déséquilibrée pendant les mois de captivité.

Si ce récit n’était pas inscrit dans un contexte tragique, il serait risible par la forme et le contenu.

Absolument grotesque.

Ce sujet ne mérite pas de commentaire, que voulaient-ils trouver ?
Un résultat de prise de sang comme celui des personnes bien portantes et manant une vie parfaite ?

J’aimerais bien que des chercheurs sérieux, apolitiques se penchent sur l’état de santé de pauvres, des millions des pauvres en France qui subissent les restrictions de nourriture imposées par leurs salaires de Smicards ou nos pensions misérables de retraites indécentes.

Je m’insurge contre ce type d’articles inutiles qui ne vont pas à l’essentiel et ne nous servent d’aucune information sérieuse que pour poursuivre leur propagande victimaire.

Préoccupez-vous de faire des reportages sérieux par des journalistes apolitiques pour qu’ils fassent un reportage sur la santé dégradée des millions de Français qui privés de revenus décents, et par les effets malsains d’une inflation sur les produits d’alimentation n’arrivent pas à se nourrir correctement pour allonger leur temps de vie dans des bonnes conditions de santé.

Croyez-vous que les familles pauvres, que les enfants qui vivent à la rue ou qui dorment dans leurs voitures sont bien portants et qui mangent à leur faim ?

Allez faire des prises de sang.

Ils ne seront pas surveillés au sein des meilleurs hôpitaux parisiens.

Les politicards qui nous gouvernent s’en fichent éperdument de la qualité de vie qu’ils nous donnent, commandés que nous sommes tous par des administrations immondes pleines de mafieux qui ne soucient en rien du bien commun, et qui ne voient que leurs intérêts, tandis qu’une immense population des français luttent pour mener une vie normale et ne récoltent que des privations et des souffrances au jour le jour.

Allez faire des prises de sang aux Français !

Une fois les résultats notoires sur le manque de vitamines, qu’allez-vous faire ?

Mettrez-vous en place un plan gouvernemental pour baisser les prix de fruits et légumes ?
La source de vitamines mesdames, messieurs ne se trouve nullement dans les paquets de pâtes vendues par kilo à 1.60 € dans les grandes surfaces !

Les PDG arrivent sur les plateaux des médias se faire une propagande ignominieuse sur la baisse des prix des produits alimentaires !
Et des lessives !

Que mettent-ils en exergue ?

Les féculents !

Insurgeons-nous contre le mensonge d’État.

La publicité de la Sécurité sociale qui déborde des bons conseils de santé alimentaire pour maintenir la société en bonne santé est inutile et leurs conseils deviennent vains, parce que la santé commence par une régulation des prix qui permette à tous les français de se nourrir de manière équilibrée et moderne et non avec des restrictions en vitamines et protéines, parfaitement comparables à vos récentes propagandes des prises en otage.

Ici en France, nous, tous les pauvres naturels ou obligés à être pauvres, nous menons une vie d’otages des gouvernements, d’incapables et mafieux qui nous obligent à poursuivre notre vie d’otages à ciel ouvert.

Nouvelle forme invisible de terrorisme politique.  Nous donner une pauvreté artificielle

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

LE GÉNOCIDE A GAZA : UNE VÉRITÉ INDISCUTABLE PREND DROIT DE CITÉ

28 janvier, 2025 (18:21) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

LE GÉNOCIDE A GAZA :  UNE VÉRITÉ INDISCUTABLE PREND DROIT DE CITÉ

 

 

« Gaza va supplanter Auschwitz en termes de cruauté absolue » :

quand des chercheurs et des assos juives réécrivent Pour les 80 ans de la libération d’Auschwitz, deux organisations juives dites décoloniales organisaient un colloque singulier : une série d’interventions sur le lien entre l’extermination des juifs et Gaza « en contexte génocidaire ». Ou comment instrumentaliser sans vergogne la mémoire de la Shoah. Reportage.
Penser le fait génocidaire : histoire, mémoire, actualité » organisé par Tsedek avec l’UJFP (Union juive française pour la paix), à Paris. Tsedek, qui se présente comme une association « juive décoloniale » et antisioniste avait invité, pour ces deux jours de conférence, l’historien Enzo Traverso, l’ancien président de Médecins sans frontière Rony Brauman, le producteur israélien Eyal Sivan, le chercheur et ancien militant trotskiste Gilbert Achcar.
Source : Marianne.

 

 

Chers Lecteurs,

Je ne suis pas affiliée à ce journal, mais je l’ai trouvé sur le web à la recherche des nouvelles sans filtre et sans la censure de l’État.

L’un des participants à ce colloque m’intéresse outre Mesure, il s’agit de Rony Brauman, ancien Président de Médecins du monde qui n’a jamais cessé de nous donner des informations de la plus haute importance sur Gaza et l’occupation de la Cisjordanie suivi de ses commentaires pertinents et si bien documentés.

L’occupation des terres qui ne leur appartiennent pas, la colonisation en totale contradiction avec la loi internationale, le bannissement des palestiniens et maintenant ce génocide à Gaza sont les source du terrorisme. Personne ne nie le terrorisme, ce qui provoque conflit est la négation de sa source.

Tant qu’il y aura l’occupation, les assassinats journaliers par des colons appuyés et défendus par l’armée, le pillage, la tuerie des palestiniens qui sont légalement en train de vivre paisiblement dans leurs terres et exposées à ces meurtres et vandalisme quotidien, le terrorisme ne cessera point.

Je suis avec ces groupes avec toute ma sympathie, avec toute mon adhésion et totalement inconditionnelle, ils sont des personnes de grande valeur et honnêtes qui ne cherchent que la vérité et la paix pour les deux peuples.

Je forme des vœux pour qu’ils soient écoutés et que leurs rangs se consolident et se fortifient avec de plus en plus de participants actifs.

RÉPERTORIER SUR UNE STRUCTURE SOLIDE A VOCATION INTERNATIONALE

J’ai dit par le passé que les composantes de ce génocide exigent qu’il soit misé en œuvre ma création par des chercheurs et penseurs de tous bords, pour qu’ils créent une nouvelle et solide structure de répertoriage, pour que ce génocide soit inscrit comme une sauvagerie nouvelle de notre époque, elle n’a pas fini ses actes de barbarie.

 

Un MÉMORIAL est une exigence absolue.

J’observe qu’un mouvement commence à se structurer, il faut que ce mouvement soit officiellement inscrit dans la durée pour qu’il prenne une consistance et une voix qui compte dans la durée dans le champ politique international.

Il faut un travail de fond pour que ces conférences, ces colloques ne s’éparpillent dans la masse d’informations équivoques, et que ces résultats de tant de recherches de valeur soient sauvegardés et à l’abri du danger de l’oubli.

 

 

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

 

LA FRANCE FACE A UN PROBLEME POLITIQUE NATIONAL : LES ABUS DES BAILLEURS SOCIAUX

28 janvier, 2025 (12:06) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

 

LA FRANCE FACE À UN PROBLÈME POLITIQUE NATIONAL : LES ABUS DES  

 

BAILLEURS SOCIAUX.

 

 

L’IGNORANCE, POUR PLAIDER ADROITEMENT, IL FAUT DES

CONNAISSANCES EN MATIÈRE DE DROIT

 

POUR L’HEURE LES ASSOCIATIONS EN MANQUENT

 

Chers Lecteurs,

Pour ceux qui s’intéressent à se défendre des abus avec de textes de loi à l’appui et qui s’informent dans la presse sérieuse sur les divers problèmes de cette société française si mal gouvernée, sauront qu’il n’y a qu’une seule façon d’agir : appliquer la raison, c’est-à-dire faire appel à l’intelligence.

Pour savoir plaider son cas avec intelligence, rarissime vertu à cette époque, où tout est confondu, la plupart des gens confient leurs dossiers à des associations qui n’ont qu’un nom reconnu pour s’installer comme « défenseurs des droits » des victimes et que dans la réalité, ils ne font qu’écho au gouvernement en place, sans rien changer ni proposer pour défendre les victimes, c’est ainsi que les dossiers dorment pendant des années, parce qu’ils ne savent pas plaider, et le plus grave est qu’ils ne veulent pas plaider comme l’exige un faux problème qui est devenu NATIONAL.

Presque tous les bailleurs de la France sont en train d’abuser et de mettre en place le même abus : appliquer une surfacturation de dépassement des charges sans aucun fondement réel. Et, je vais vous expliquer pourquoi celui-ci est un faux problème.
Commençons par le début.

Pour bien plaider une cause, il faut d’abord savoir comment trouver le nœud du conflit ; une fois trouvé, il faut faire appel aux textes de loi et là, nous devenons imbattables face à l’escroc.

Deux problèmes majeurs présentent en ce moment critique chez quasiment tous les bailleurs sociaux, sans entrer dans des cas spécifiques, et dits « personnels », excuse de la masse d’imbéciles qui croient qu’ils sont un bloc différent et que les autres locataires sont spéciaux, ne forment pas partie de la race humaine, donc ils nous appellent de « cas spéciaux », sauf que nous subissons des discriminations qui sont répertoriées dans le Code pénal.

Un autre sujet de cette incapacité à savoir plaider, qui revient à manquer d’intelligence et à être incapables de construire une bonne plaidoirie.

LE DÉPASSEMENT DES CHARGES.

Tout ce liminaire pour critiquer ce matin le sujet qui est devenu national, las abus de BAILLEURS SOCIAUX en ce qui concerne les factures de dépassement des charges.

1. Les charges sont greffées dans la mensualité du loyer aussi bien en été comme en hiver à savoir : eau froide, parties communes, nettoyage, ascenseur quand il y en a.

2. Quand le chauffage est collectif, nous savons qu’il y a une date fixe pour le déclenchement et pour la coupure, donc aucun locataire d’une HLM ne peut s’en servir à sa guise ni avant la date d’ouverture ni après.

3. Le supposé « dépassement des charges de chauffage » est par conséquence

fictionnelle et il est à retirer de la polémique.

 

Je suis locataire du champ social depuis 1989 quand je suis devenue française.

Je connais parfaitement le fonctionnement des HLM et je maîtrise parfaitement mes propres dépenses, et elles ont considérablement changé depuis 2013, date où l’on m’a assassiné Maman, j’ai réduit absolument, toutes mes dépenses et je vis diamétralement à l’opposé, sans aucun électroménager.

4. Pour savoir plaider, il faut aller à l’essentiel, je n’ai JAMAIS eu de dépassement des charges dans les HLM que j’ai loués, dans mon ancien immeuble parisien 2014 -2021, il n’y avait pas de chauffage collectif. Donc, les dépenses d’eau froide étaient intégrées comme une dépense fixe mensuelle greffée au loyer, JAMAIS, je n’ai eu le moindre problème avec mon ancien bailleur et personne n’est se plaint, il n’y a jamais eu de réclamations des locataires !

5. Pour arriver à imputer à un locataire un improbable dépassement des charges » il faut UN COMPTEUR et qu’il soit accessible au locataire, puisque selon les bailleurs sociaux, les différences dudit « dépassement » ne sont pas les mêmes chez tous les locataires.

Et il ne peut y avoir aucun dépassement chez les bailleurs HLM!

6. En absence de COMPTEUR INDIVIDUEL et dans l’incapacité mutuelle de présenter la « preuve en l’espèce » qui est essentiel dans une plaidoirie, donc nous nous situons dans la dangereuse situation qu’en termes juridiques revient à une faute de procédure, nous sommes face à un cas NUL qualifié de « parole contre parole » puisque ni le bailleur ni le locataire ne sont en mesure de présenter au juge « la preuve en l’espèce », élément juridique indispensable pour démontrer ou bien que les sommes qualifiées de « dépassement des charges » sont dans ledit « compteur » ou bien dans son absence, d’obtenir l’abattement définitif.

7. Ni le « bailleur social » qui accuse et réclame à un locataire une somme de « dépassement des charges », ni le locataire qui récuse la facture en argumentant qu’elle est fausse, quand bien même il a des preuves en l’espèce factuelles pour démontrer qu’il est impossible qu’il puisse dépasser la consommation d’eau froide et de chauffage ne sont en mesure d’argumenter devant le Juge.
8. Mon « affaire personnelle » est différente des autres locataires, car je suis une exception dans la Cité, parce que je n’ai aucun électro-ménager et que ma consommation minime d’eau froide se démontre par les deux factures minimes de gaz et d’électricité.

9. ABSENCE DE COMPTEUR INDIVIDUEL.

Il est un élément absolument nécessaire faire valoir comme absence de preuve en l’espèce des bailleurs sociaux, afin arrêter de manière définitive ces abus de bailleurs sociaux. Ils se sont vus face à une crise économique du pays et ils ne trouvent pas meilleur moyen de financer leurs turpitudes qu’en faisant de la FICTION COMMERCIALE comme je nomme, cette manière d’inventer des facturations totalement irréelles pour escroquer des locataires extrêmement pauvres qui arrivent avec difficultés à payer leurs loyers sans aucun retard et sans jamais avoir d’impayés, en dépit de bénéficier des APL qui sont versées directement aux comptes bancaires des bailleurs sociaux. L’État ne donne pas au pif les APL, les fonctionnaires d’État font tout à partir des barèmes fixes, ils savent combien donner à chaque locataire pour que de leurs minuscules pensions de retraite ou de leurs salaires de « Smicards » leur reste pour payer les autres factures inéluctables et qu’il leur reste un reliquat minime pour faire leurs courses d’alimentation et ne pas former un grand champ de concentration de famine national, quoique « les restos du cœur » » et d’autres associations de soins palliatifs se chargent d’éviter qui ne se forme un immense camp de personnes en dé nutrition aggravée.
C’est cela la France en 2025 gouvernée par des incapables.

 

CONCLUSION.

Nous avons à notre avoir 2 compteurs Linky, celui pour l’électricité et l’autre pour le gaz quand dans les immeubles HLM il y a encore le gaz.
Les escroqueries des fournisseurs d’énergie sont faciles de démasquer, il suffit de demander un rapport à l’ENEDIS, il suffit de faire la photo de nos compteurs, et le problème est résolu. En dépit d’avoir eu un dossier juridique en béton entre 2021 et 2023, l’EDF m’adressait des factures de 500 €, quand ma consommation mensuelle est de 15 € !
J’ai dû attendre 3 années pour me libérer de ses griffes, mais le compteur est notre seule arme de défense.

Que se passe-t-il dans les immeubles HLM ?

ABSENCE DE COMPTEUR INDIVIDUEL.

COMPORTEMENT COMMERCIAL DÉLICTUEL DES BAILLEURS SOCIAUX !

Que font les bailleurs sociaux ?

Calcul au pif !

 

Si nous sommes seuls dans un étage dans lequel par exemple il y a trois locataires, le bailleur social croit que nous allons lui laisser passer la FACTURE FICTIONNELLE qui montre la même somme de dépassement de charges que celle du voisin qui est chef de foyer d’une famille nombreuse où ses les consommations fonctionnent à plein régime.

 

Ce comportement commercial délictueux qui agit sans preuves sera condamné par nos trois Codes juridiques, celui du Code Pénal, Civil et du Commerce !

 

L’État qui gère les activités des bailleurs sociaux est LE SEUL RESPONSABLE DE cette escroquerie parce qu’il laisse faire.

La mauvaise gérance des immeubles HLM et les pratiques délictuelles sont essentiellement UN PROBLÈME POLITIQUE MAJEUR ET IL DOIT SE RÉSOUDRE AVEC LES MOYENS D’ORDRE POLITIQUE.

Toute autre tentative d’arrangement est à la marge du cadre juridique. On ne demande pas UN TRAITEMENT DE FAVEUR INDIVIDUEL.
Ce que je demande, ce que nous demandons, c’est que l’État prenne ses responsabilités et qui ordonne aux bailleurs sociaux de prendre fin avec cette pratique délictuelle parce que dans ce problème qui est devenu national les bailleurs sociaux sortent du cadre juridique pour en absence de compteurs, créer un champ de facturation subjectif, toute appréciation subjective et arbitraire n’entre jamais dans le cadre juridique !!!

Ces pratiques de bailleurs sociaux sont à bannir et nous sommes en droit d’exiger un autre traitement de nos dossiers.

Tous les bailleurs sociaux doivent annuler ces factures fictionnelles.

Et, nous sommes tous en droit de laisser ces fausses factures mal nommées de « dépassement des charges » impayées, car d’une part, elles ne correspondent pas à nos véritables consommations, improbables toutes en absence des compteurs

Et, d’autre part, ne pas les payer est une mesure de défense juste et impérativement nécessaire pour stopper leur escroquerie.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

ALERTE SUICIDES : ONZE DANS L’ÉDUCATION NATIONALE – UN LOCATAIRE D’UN BAILLEUR SOCIAL A PARIS

27 janvier, 2025 (18:18) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

ALERTE SUICIDES

ÉDUCATION NATIONALE

ET LOCATAIRE D’UN BAILLEUR SOCIAL

 

 

 

Chers Lecteurs,

Ces deux nouvelles, mal nommées « fait divers » donnent le portrait de cette France.

Horrible portrait d’un pays en décomposition.

Le journal Le Monde vient de publier qu’au sein de l’Éducation Nationale en 2024, dans le rectorat de Normandie, il y a eu onze suicides.
Cette horreur ne m’étonne point. J’ai écrit il y a des années sur les suicides récurrents qui sont méticuleusement cachés

et s’il y a une fuite et une publication s’ensuit, le personnel mafieux de l’Éducation National se défend et déclare que

c’est un cas « exceptionnel » et que le professeur suicidaire « ÉTAIT FRAGILE ! »

Il y a quelques années, dans le rectorat de Nice, une jeune professeur d’espagnol, mariée et mère, s’est suicidée, victime du harcèlement d’un inspecteur.

Maintenant commencent à parler et à ouvrir la boite de Pandore. Pauvres collègues, il faut savoir que pour supporter sans préjudices l’univers dictatorial et mafieux de cette administration française il faut avoir un caractère de fer.
Je ne peux pas critiquer les gens faibles.

Ils font légion ; je suis née très chanceuse, j’eus la chance d’avoir hérité le caractère de mon père, qui fut persécuté par les mafieux de

l’officialité chilienne, sadiques et jaloux de son génie, sans jamais céder à leur ignominie.

Si j’avais hérité le caractère de Maman, douce et sublime créature, vulnérable et sans défense, j’aurais succombé il y a déjà une quarante années. Personne ici n’a le caractère des « Gazmuri ».

Le deuxième suicide vient de se produire à Paris, un homme de soixante ans s’est immolé à l’aide d’une bouteille de White-Spirit au siège de DOMNIS son bailleur social du 10ème arrondissement de Paris, son bailleur social qui lui refusa la mutation qu’il avait demandée depuis des années.

 

Un énième refus a déclenché son acte de désespoir.

Personne ne se souciera de ces deux sortes de suicides. Personne.

Ils seront oubliés le lendemain.

C’est toujours la victime, les victimes, qui seront cataloguées comme les seules coupables et ridiculisées post mortem

comme des personnes FRAGILES !

La société haussera les épaules et les oubliera, ce n’est pas leur problème.

Dans notre force de caractère, il faut noter qu’elle est à double tranchant, d’une part notre caractère de fer nous sauve, nous ne sommes ni de personnes fragiles ni d’imbéciles, notre capacité de raisonnement nous dit que nous ne sommes coupables de rien et que nos demandes sont légitimes parce qu’inscrites dans la loi et que ce sont ces mafieux les seuls coupables, et d’autre part cette force de caractère et cette capacité de jugement nous apporte tort aussi parce que ceux qui devraient faire accomplir la loi, ne sont pas inquiétés de notre sort, ils se disent « elle supporte bien tranquille la Gazmuri » on peut la laisser, elle est vielle, c’est une question d’attendre ».
Puisque jamais, nous ne porterons atteinte à notre vie.

Il y a une seule exception : VILOGIA

Elles ne veulent qu’une seule chose : Me liquider.

C’est pour cela qu’elles me refusent la mutation vers Paris.

C’est pour cela qu’elles ne veulent pas changer le tuyau de gaz qui est en train de rependre des

particules fines de gaz et qui a été sanctionné par le GRDF dans son rapport écrit.

VILOGIA n’aura jamais le plaisir de me voir m’immoler à l’aide de White-Spirit, je ne l’utilise que pour nettoyer mes pinceaux !

Ah tiens ! je cherche les bouteilles de White-Spirit de partout dans les rayons des supermarchés et je ne les trouve nulle part!

Ruminez votre haine et détestation mesdames, je ne serai jamais une de vos

immolées.

J’ai laissé inutiles toutes les injustices des mafieux de l’Éducation Nationale. À présent, c’est votre tour.

Dans ce pays, il faut vivre le plus éloigné possible de toute affaire avec l’administration, jamais signer un contrat de travail au sein de l’État,

jamais signer un contrat de location avec un bailleur social et vous vivre en paix.

Quand je venais d’arriver en France avec Maman, je n’avais pas le droit de louer chez les bailleurs sociaux, ma vie était paisible, je n’eus  jamais à subir des injustices ni d’abus, pareillement quand je travaillais dans l’enseignement privé hors contrat avec l’État,.

Il a suffi que je devienne Française et qu’ignorante que j’étais pour que je signe des contrats de travail et de location avec l’État, sans savoir que je signais mon appauvrissement et ma ruine.

Quand bien même vieille, je garde l’espoir de me libérer des griffes de cette maudite administration.

En tout cas, je le redis, je cherche une bouteille de White-Spirit pour nettoyer mes pinceaux, c’est urgent !!!!

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

 

ANNIVERSAIRES DE LA MORT

27 janvier, 2025 (10:03) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

 

 

ANNIVERSAIRES DE LA MORT

 

 

Chers Lecteurs,

 

Tout anniversaire est incontestablement la célébration de la Mort.

Ne vous en déplaise.

Pour les enfants, il est imperceptible l’avancée inexorable vers le cimetière, déjà adultes, les célébrations doivent cesser.
En ce moment, l’histoire oblige à « l’humanité » à se rappeler Auswitch. Des films et des entretiens inondent les médias.
C’est très bien, c’est parfait qu’ils s’en occupent.

Il est une mesure éthique qu’ils fassent de leurs films un souvenir des morts de manière virtuelle et historique.
J’ai aussi ma tragédie personnelle, Maman tombe soudainement souffrante de retour de notre promenade, c’était en 2013, elle s’est vue refuser les soins de manière criminelle précisément par une médecin « Traître-Tant » un représentant du « Peuple élu » franchement pour la torturer et la tuer. Un véritable terroriste.

Moi aussi j’ai fait tout pour que ce crime reste écrit avec mon témoignage de vérité, et il le restera ad vitam aeternam. Je ne cesserai jamais de le rappeler.
Une fois moi morte, bientôt, mon livre restera.

La parole écrite et imprimée ne s’efface jamais.

Surtout maintenant qu’un manuscrit peut se garder et confier par le moyen des techniques avancées, j’ai pris déjà toutes mes précautions.

Un jour, un médecin m’a dit ceci :

« Et, on ne vous a pas demandé PARDON ? »

Je lui ai répondu, et avec la demande de « pardon’ Maman va ressusciter ?

Avec Pardon » va-t-on effacer ses souffrances indicibles dont j’ai été le seul témoin oculaire ?

Je ne cesserai jamais d’en parler. Ne vous en déplaise.

Ils nous passent des films de leurs « victimes ».
Je passe mon film sur la torture et assassinat de Maman par cet assassin « médecin Traître-Tant ».

Pour ma part, j’ai déjà analysé sans concession tout ce qui s’est passé.

J’ai enregistré dans une clé USB les photos de ce nouveau cataclysme à Gaza provoqué précisément pur ce peuple qui a souffert Auschwitz,

et les pogroms de Russie.

Grave mascarade de l’histoire. C’est pourquoi j’ai écrit aux Gazaouis de garder leurs photos ? pour qu’un jour, quand ils auront leur État, ils devront pareillement construire un Mémorial montrant les massacres abominables commis par ceux qui ont tant souffert !

 

Le Rabbin GILAD KARIV les a déjà lancés un sermon historique, je n’ai plus rien à dire.

Toute réflexion, tout écrit devient faible et inutile face à son cri cosmique, personne d’autre que lui ne les a nommés et criés racistes et, personne que lui ne leur a critiqué mieux que quiconque leur comportement sanguinaire.

Depuis, j’ai fermé tout commentaire et je ne m’en occupe plus, c’est lui qui a donné la note finale, et il faut se retirer, et ne plus rien dire face à une éminence de sa stature.

Quand il faut parler du respect de morts ici-bas, ici et maintenant, les gens fuient et ils évitent de parler et d’approfondir le sujet.
J’ai compris, dès que les morts exigent le versement d’argent pour leur protection, là s’arrête le respect, s’arrêtent les discours compassionnels et les larmes, la plupart du temps de crocodile, se congèlent, comprimées par la peur insurmontable d’ouvrir le chéquier.
Je parle comme vous le savez de ce que les politicards évitent de parler des lois cadastrales qui, depuis qu’ils ont été approuvés, ordonnent le paiement d’une concession : En une seule fois.

 

Jusqu’à présent, je ne lis que des articles récents qui protestent contre le commerce des entreprises funéraires qui, de leur pouvoir uniquement mercantile, imposent des sommes exorbitantes pour le paiement des pompes funèbres, mais les politicards évitent de parler de la seconde partie du rituel funéraire.

L’enterrement d’un mort ne finit pas avec le paiement du cercueil et du corbillard.

Les pompes funèbres, quand elles sont honnêtes et sérieuses, finissent par accorder un échelonnement et accordent des facilités assez amples pour s’acquitter des paiements. De leurs services funéraires, sans leur compréhension face à mon insolvabilité, je n’aurais jamais pu construire cette tombe pour Maman et moi-même. Elle m’a couté une fortune, au bout de 10 ans, je me suis totalement acquitté. Je l’affirme par expérience, parce que j’ai dû payer trois inhumations, trois exhumations suivies de trois autres inhumations, le paiement de trois cercueils obligatoires pour le changement de cimetière.

Ce que les politicards n’ont jamais évoqué ni développé, c’est la nécessité d’examiner le prix des concessions funéraires, comme si le mort

devait rester sous terre le temps des funérailles !

Pourquoi ce silence troublant ?

Parce qu’en parler en toute franchise du grave problème funéraire, le problème essentiel, les nuirait dans leurs relations avec l’État.
Il faut savoir qu’avec le paiement des services funéraires de pompes funèbres, l’enterrement d’un mort ne fait que commencer.

Où va-t-on enterrer le mort ?

Dans un espace de terre.

Et c’est uniquement là que commence le problème grandiose dont personne n’en parle.

Moi, oui, et c’est bien pour cela que j’ai écrit un essai

LA MORT EN FRANCE : POLITIQUE FUNÉRAIRE DE LA TERREUR

Il est suivi de deux autres, le volume II et le dernier Volume III.

Ils seront prêts en avril 2026.

La loi cadastrale est bien plus importante que les prix exorbitants des pompes funèbres, je le redis, on peut trouver des arrangements avec ces entreprises de la mort.

Au sein de l’État, on ne trouve qu’une dictature cruelle et sanguinaire.

La loi pénale qui considère un délit toute violation et irrespect des morts, ne dit rien quand une maire, affirme que toute concession impayée, termine inexorablement avec son ouverture, l’exhumation du cercueil pour le jeter à l’incinération et parfois le maire est libre de choisir le jet d’acide, car moins couteux et plus rapide.

Ensuite, après leur rituel commercial, qui comprend la violation d’une tombe, la violation d’un mort parfaitement légal, violant transfert de la concession impayée vers un « citoyen solvable » la concession funéraire déjà libre, par ordre du maire, elle passe immédiatement à une famille solvable. La loi du cadastre est la plus inflexible de toutes, elle ne nous accorde aucun échelonnement.

La concession doit être payée en une seule fois, et par « chèque banque » à l’ordre du Trésor Public.
Évidemment que cet argent va enrichir le budget de l’État.

Alors, ma thèse proposée dans mon essai est une mesure juste, et applicable pour rendre bienveillante la vie de survivants endeuillés qui ne paient pas d’impôts dur le revenu et qui veulent donner une sépulture digne et perpétuelle à leurs morts.
Cela ne plait pas à cette République laïque.
Je réponds que de toute façon, l’État ne trouvera pas beaucoup de personnes pauvres, exonérées à l’impôt sur le revenu et qui désirent avoir une concession perpétuelle. Ce sont précisément « les pauvres » « Ils se revendiquent LAÏQUES. Sauf des rares exceptions,

En général, tout le monde accepte sans pipe mot et s’agenouillent, soumis aux ordres sauvages de l’État.

Rares sont « les pauvres » comme moi-même qui s’oppose formellement à la crémation et à la répartition des cendres dans la nature.

Probablement parce que je ne suis pas née « pauvre », ils ont raison, ils m’ont appauvrie, et c’est vrai que je suis « potentiellement riche».

Pour employer un mot à connotation philosophique.

Il sera trop leur exiger à ces maires de comprendre ce que veut dire une personne « potentiellement riche » !

Il est impossible de convaincre que ma thèse de défense des morts n’est pas d’ordre uniquement religieux.

C’et la défense du droit naturel des morts, j’ai essayé d’ôter cette indigne procédure dans la pratique funéraire de mon pays d’adoption, mais j’ai échoué.

J’avoue publiquement que je me suis trompée. Parce que quand j’ai fui mon pays natal pour faire de Paris ma ville d’adoption, amoureuse de Paris et de la peinture, je n’ai jamais pensé vivre appauvrie, cela allait vers une pensée contre-nature, j’avais et j’ai en moi toutes mes ressources pour réussir.

Alors, j’ai avancé dans ma voie, sans jamais imaginer la force brutale et sanguinaire qui restait gardée dans la loi cadastrale française.
J’avoue m’être trompée.

Maintenant, je dois assumer ma grandiose erreur.

C’est « grave et difficile » d’avouer nos erreurs, mais c’est une obligation éthique.

Personne ne m’a invitée, je suis une éternelle étrangère, j’en conviens.

La France n’est pas celle que j’aimais.

Mais toutes ces pensées, je les garde pour moi, car je me suis trompée.

 

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

 

 

 

 

MA FAMINE FUNÉRAIRE

26 janvier, 2025 (14:07) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

ILS LE FONT POUR MAIGRIR ET GUÉRIR

EN REVANCHE MOI, JE LE FAIS POUR POUVOIR PAYER LES CHAROGNARDS !

 

 

« L’amour de la mère est le seul amour invincible, éternel comme la naissance »

                                    André MALRAUX

                           AFFAMÉE

 

 

Chers Lecteurs,

Un excellent reportage sur la chaîne ARTE est passé hier soir, il nous a informés sur les bienfaits du « jeune intermittent. »
Les russes l’avaient découvert il y a bien longtemps, rien de nouveau que la possibilité de le pratiquer ici et maintenant sans frais.
Il me convient parfaitement par ce temps de calvaire funéraire.

Je l’ai commencé il y a dix jours, mais avec une variante, mon repas du soir n’a pas les propriétés de variété de ceux qui peuvent se le permettre en respectant à la lettre les indications médicales.

Ce sera pour l’année prochaine. Quand je finirai ma Croisade.

Je n’ai pas été surprise d’entendre les médecins étrangers se plaindre de la résistance des médecins français à l’appliquer tout particulièrement dans le domaine de l’oncologie. C’est effarant que la médecine française se croit si supérieure à celle de leurs confrères des pays nordiques qui par des preuves scientifiques à l’appui et incontestables de par le monde, leur prouvent que les bienfaits du jeune sont scientifiquement la meilleure manière de combattre des graves maladies telles que le cancer, le diabète et l’obésité.
Les médecins français opposent presque à l’unanimité cette résistance farouche, je dirai totalement crétine. Les preuves sont spectaculaires, le jeune intermittent après une chimiothérapie sont étonnants, l’on a observé une rémission totale pour des cancers gravissimes et mortels comme celui du pancréas, du poumon ou pour le cancer du sein en stade avancés et avec des métastases. Il est de même pour l diabète dans le grade le plus avancé.

Ici en France, ils croient qu’un jeune strict peut devenir dangereux pour la santé, pour une possible dénutrition, et perte musculaire. Les médecins ont démontré par examens d’IRM qu’il n’y a aucune perte musculaire ni des taux des minéraux et après de prises de sang au bout de trois mois, les patients avaient perdu du poids, de la graisse abdominale, les diabétiques étaient en rémission et leur endurance physique supérieure à celle d’avant la pratique du jeune intermittent.

Je suis une convaincue, mais le problème reste au niveau national. La quantité d’obèses qui veulent se débarrasser de leur poids à des caractères morbides s’adonnent à la prise des médicaments chers et aux effets secondaires graves. Tant que le « protocole médical » français persiste à se croire supérieur dans tout ordre des choses médicales, les seuls perdants seront les français atteints de ces maladies.
Je ne peux que conseiller à tout le monde adulte ce jeune intermittent qui est susceptible de s’adapter individuellement selon le cas personnel de la personne.

Il va de soi que pour les enfants qui sont en traine de grandir la question ne se pose pas, mais comme mode de vie des adultes, je ne vois que des bienfaits.

Je me suis sentie réconfortée et en appliquant à la lettre les conseils de ces éminents chercheurs, ils sont admirables !
Je constate combien le premier bienfait perceptible en dépit de me sentir considérablement affamée au degré le plus élevé est la performance cérébrale.

N’ayant pas un centime pour acheter de la nourriture et que cet interdit se prolongera pour 12 mois, je me suis fait un programme diététique et une liste des produits avec les prix à ne pas dépasser pour mon achat mensuel de courses.
Le camp de concentration est plus prodigue !

Hier, je suis allée acheter mes capsules de café.

Sans café, sans caféine, je ne peux pas survivre.

Les doses que je prends depuis mon adolescence sont faramineuses. Il faut savoir que dans mon pays natal, qui avait accueilli une vague d’immigration arabe, elle laissa d’héritage l’enseignement de la véritable création de torréfaction du café et il existe un café centenaire au centre-ville de Santiago, où l’o peut déguster un café que je n’ai jamais rencontré nulle part ailleurs ; il est en claire concurrence avec l’Italie, c’est le « Café Haiti » , il est célèbre pour donner une grande variété des types de café les plus raffinés, moi, j’adorais « El cortado » c’est un café fort mis sur une soucoupe métallique. Il est servi dans un verre de taille moyenne, une fois versé le café expresso, on jette la moussue et après, on verse le lait, c’est là que « se coupe » le café. D’où son nom « cortado ».

Cette pince de lait est l’ingrédient quia garde son secret, la qualité du lait est aussi fondamentale.
Ici en France, le seul moyen de pouvoir se faire un vrai « cortado » c’est par la machine italienne DeLonghi qui fait une vraie mousse de lait, la puissance de la sortie de l’air chaud est le secret. Un jour…

Quand je suis arrivée en France, j’ai pensé pouvoir poursuivre mes habitudes d’addiction à la caféine, j’ai été très vite déçue.
Et j’ai demandé un « cappuccino », mon effroi n’a pas eu de communes mesures, ils m’ont servi un café au lait dégoutant. Je ne l’ai pas bu et j’ai dit au garçon « s’il vous plait, auriez-vous la gentillesse de me le changer pour un espresso, savez-vous ? Maman m’a sevré du biberon il y a fort longtemps ! »

Ce café espresso, avec une pince de lait, n’est pas vraiment « le cappuccino »,il est autre chose, c’est plus fort, il est fabuleux, je vous le recommande » bien vivement si un jour, vous y allez faire du tourisme.
Après la fac, j’y allais tus les jours.

Bon, cette didascalie finie, je reviens à ma file d’attente en grande surface, il est le seul lieu où le paquet de 30 capsules est bien moins cher. Dans la file d’attente, j’ai pu faire une étude sociologique et aussi médicale.

J’étais la seule avec un seul paquet à payer, devant moi, il y avait des couples avec des charriots pleins au rebord.

Je me suis dit, avec raison, en France le nombre des diabétiques et des enfants obèses augmente, les médecins devraient regarder les charriots des courses du samedi matin, c’est ahurissant ce qu’ils peuvent acheter comme produits industriels pleins de gras et de sucre. Les seuls gagnants ce sont les industriels qui regorgent des dividendes bien cotés en bourse sortis de leurs industries de création des maladies et de mort.

Ce que j’ai vu, c’étaient des paquets gigantesques de céréales pour les petits déjeuners, remplis de pépites de chocolat raffiné et gras, quand le quaker, l’avoine est une céréale pure et sans additifs. J’ai vu leurs charriots pleins de yaourts aux fruits sucrés, des pots de dessert à la crème sucrée, des plats préparés et une quantité des produits totalement inutiles telles que des biscuits secs et des tablettes de chocolat ; ils remplissent le ventre de leurs enfants avec de la nourriture chère et qui leur donnera le diabète, ils deviendront obèses et une fois adultes rempliront les hôpitaux pour leurs maladies graves difficiles de guérir, quand c’est dès l’enfance que se crée le réservoir métabolique qu’une fois installé, il leur sera très difficile de corriger, les seuls coupables sont les parents ignorants de culture médicale de base.

Quand enfin, je passais à la caisse, c’était 14 h 20.

Je suis arrivée à l’enfer de mon HLM, à mon « immeuble haussmannien » à 15h30.

J’avais pensé que ma sensation de faim serait plus intense et moi qui suis gourmande, le fait de suivre des longues périodes sans rien manger c’est de l’héroïsme, mais je crois que c’est une question de maîtrise cérébrale.

Je suis tenace et personne ne peut m’induire à changer mon programme, personne.

C’est la volonté cérébrale qui intervient à la maîtrise de la faim.
J’ai accompli encore une semaine de famine, non de vaincre une petite faim, mais c’est la victoire de vaincre une faim grandiose qu’assaille et je me fortifie dans ma période de famine.

Chaque jour qui passe est une victoire funéraire à mon avoir.
J’ai un grand calendrier qu’on m’a offert. Je marque avec joie, chaque jour bien écrasé dans ma victoire d’avancer à petit pas dans une croisade funéraire que l’on m’a imposée et dont je suis bien consciente que personne n’aurait la force et l’endurance de mener à bon terme.
Pour sortir victorieuse, il ne faut que d’une seule chose, bon ce n’est pas « une chose », mais un sentiment, il s’appelle AMOUR FILIAL.

« L’amour de la mère est le seul amour invincible, éternel comme la naissance »

André MALRAUX.

J’avais une faim qui me remuait le ventre, je l’ai maitrisée jusqu’à 19 h.

Là, j’ai rompu mon jeune non intermittent mais « prolongé ».

J’ai cru ne pas pouvoir peindre ni écrire, mais c’est fut le contraire.

Je me sens encore mieux et plus résistante à l’extérieur.

L’extérieur ce sont les imbéciles…

J’ai mis la table vers 19 h 30.

Un bol de riz.
Un œuf dur.
Un bol de haricots verts.
Un café.

Un jour de moins.
La famine fut vaincue.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

 

 

 

 

 

 

 

 

INFANCIA – MIS CUMPLEAÑOS EN EL QUISCO

25 janvier, 2025 (21:26) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

En la cabaña del Quisco dibujando

En los brazos de papá

INFANCIA

 

MIS CUMPLEAÑOS CON PAPÁ Y MAMÁ

 

 

 

El perfume de los eucaliptus y de los altos pinos que bordeaban la cabaña naranja invadían en salón de la cabaña donde yo sentada en mi minúsculo escritorio esperaba a Mamá dibujando en mi cuaderno.

De la cocina salía un olor a horno donde mamá se afanaba porque todo estuviese listo a tiempo. Papá miraba por el amplio ventanal la línea azul del horizonte marino que desde el ventanal se apercibía el océano del Quisco que cada verano nos esperaba; éramos sus fieles residentes enamorados del mar desde siempre.

Papa hizo construir esa cabaña y se la regaló a Mamá, y estuvo lista cuando yo cumplí un año. Todos los veranos cumplíamos el ritual de nuestra llegada para vivir más de dos meses enteros disfrutando del mar.

Lo primero que pedía al llegar, era mis lápices de colores, un bloc y una cajita de acuarelas. Entre mis pedidos urgentes estaban también las famosas zapatillas de lona que mamá desde le mañana siguiente me llevaba a ensayar a la paquetería que estaba a un kilómetro de la cabaña, en la avenida principal.

Una vez asegurada de tener conmigo esos tesoros, la primera compra para pasar contenta el veraneo, yo pedía ir al quiosco de venta de revistas, ese pequeño negocio estaba ubicado en el sentido contrario de la avenida, bajando hacia la rambla, por la avenida que llevaba hacia Algarrobo, otro balneario de veraneo. La señora que vendía periódicos y revistas era rubia, de ojos azules, tenía el cabello bien ondulado, sus mejillas estaban siempre bien rosadas, eso me llamaba mucho la atención, jamás la vi bronceada. Mamá estaba obligada a comprarme la serie completa de « La pequeña Lulú », según mamá era una mona fea, cuando yo, ya grande, me recordaba de mi infancia, ella se reía, me decía, “yo no sé cómo podía gustarte tanto esa mona fea, pero yo te compraba todas las revistas.

, porque te veía tan feliz leyendo esas revistas”, era una pequeña muñeca traviesa, con botines negros, dos rulos de chasquilla en la frente, y un traje rojo. Para mama era feúcha, pero yo la encontraba “divina”, sin leer sus travesuras, no habría podido pasar las tardes de regreso de la playa. En ese tiempo no teníamos los artefactos infernales con los cuales los niños de hoy viven hipnotizados a la locura del Internet.

Papá tenía ideas mucho más avanzadas en esa época, que todos los políticos que se creen modernos y se reivindican ecologistas de primera línea. Papa tuvo la magnífica idea de no instalar la electricidad en la cabaña para que hubiese un corte total con la vida citadina. ¡Que obtuvo el corte total no hubo ninguna duda, porque vivíamos como en la Edad media!

Y ahora, vieja, compruebo la gran lección que me dio y que me sirve hoy, para sobrevivir y soportar todo tipo de penurias y privaciones.

Si cortase la luz, podría vivir perfectamente si televisión, sin Internet y sin computador, el problema es que no me decido, pero lo pienso todos lo días. Me hago la idea que desde julio próximo voy a cortar todos los contratos y voy a cambiar totalmente mi vida de ermitaña, para reforzarla aún más.
Mi paraíso infantil se lo debo a mis padres.
El quisco fue mi paraíso, el único de mi vida, ningún otro más, no habrá nunca más otro paraíso como aquel de mi infancia.
Todo quedo grabado en mi memoria, nada he podido olvidar.

Lo que importa hoy es que llega como una ráfaga de recuerdos, ya son la cinco de la tarde, ese día especial, Mamá no me llevó a la playa por la tarde, se encerró en la cocina, la vi afanada preparando la torta, con una paciencia típica de ella, cortaba con prolijidad la inmensa torta , luego la llenaba de manjar e iba colocando cada una de las capas de la torta, para cuando llegaba al la última comenzaba el otro ritual de embadurnarla con una gruesa capa de merengue. La gran torta era fastuosa, una vez que todo estaba terminado la llevaba a la mesa del comedor y en el medio tomaba su lugar de privilegio la ostentosa maravilla que yo miraba con ojos asombrados ante ese fastuoso manjar.

Mamá decía entonces, “venga Carmencita, venga que vamos a prender las velitas”, papá tomaba su lugar, los veía felices, mamá ponía con cuidado cuatro velitas de colores distintos en el medio, luego venía el ritual de prenderlas, y qué decir cuando los dos me decían: “ya mi niña, ahora sople!”

Yo soplaba feliz esas cuatro velitas de colores que anunciaba con mi soplido que yo cumplía un año más.

Mi soplido las dejaba humeando y desprendiendo el olor a quemado que me aseguraba que yo ya tena un año más.

¡Cuatro años?! ¡Eso se celebra!

Una serie de regalos me esperaban para ser descubiertos, bien encerrados que me esperaban en cajas envueltas en papeles de regalo y cintas brillantes.

El sabor de esa torta que todos los años me preparaba Mamá me persigue. Ese suculento festín era solo para mí. Mis padres hablaban entre ellos y reían. Yo no me acuerdo de qué hablaban, seguramente como me decía Maman, del día más feliz que yo les dí con mi nacimiento.
Mamá siempre me dijo que los cumpleaños no se celebran cuando una persona envejece, porque eso es celebrar la muerte. Los cumpleaños, me decía, es una celebración que debe ser reservada únicamente para los niños.

Cuando papa y mamá envejecieron, se cambiaron los roles, fue entonces cuando yo les celebraba sus cumpleaños, aunque ellos protestaran.

Yo les decía, ¡Cállense! Ahora soy yo la que manda. Hay que celebrar que estén vivos y con buena salud.”

Papa y Mamá se reían, no les quedaba otra que aceptar.

Lo único que puedo decir hoy que cumplo 71 años, es que lo más grandioso de mi vida es una sola cosa de valor, lo único que vale y que agradeceré hasta el momento de mi muerte, es que mis padres me hayan puesto en el mundo para conocerlos, porque nadie puede vanagloriarse de haber nacido de una Mamá como la mía y de un papá angelical, viril, protector de su familia y genial que fue como ningún otro hombre existe sobre esta tierra.

El haber nacido para conocerlos es lo más grandioso que ellos me dieron.

Ese 25 de enero caía siempre cuando estábamos de veraneo en el Quisco.

Ese día fastuoso que se repetía todos los veranos, yo cumplía cuatro años…

Yo cumplía ese día cuatro años en el Quisco.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak