CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

SITE LITTERAIRE ET DE CRITIQUE SOCIETALE-ARTISTE PEINTRE ET POETE-ECRIVAIN

Skip to: Content | Sidebar | Footer


Prendre contact avec Carmen Gazmuri-Cherniak au travers
du formulaire de contact du site.

« LA LUTTE POUR LA RECONNAISSANCE »

13 janvier, 2024 (09:52) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

Chers Lecteurs,

Je n’ai pas choisi cet extrait du film ni pour le titre ni le contenu mais uniquement pour les applausissements politiques de la galerie qui dans le film occupent des vues prépendérantes, cette séance est arrivée à mon esprit au regard de la grotesque nomination d’une incompétente au sein de l’inculture française.

 

 

« LA LUTTE

POUR LA RECONNAISSANCE »

« Une partie de conflits sociaux se comprend mieux en faisant intervenir des attentes morales, c’est-à-dire en les expliquant par des sentiments d’honneur bafoué, de mépris ou de déni de reconnaissance »

Axel HONNETH

Chers Lecteurs,

Je commencerai mon bref article matinal par un dicton de mon pays d’origine, les dictons qui naissent spontanément au sein de la cité ont une grande valeur, c’est le produit et consensus sorti d’une expérience humaine qui se fait nationale et internationale :

« En todas partes se cuecen habas »

On pourrait le traduire : «Les haricots sont cuits partout »

Il fait référence à la déliquescence politique qui est le résultat voulu et programmé conformément et délibérément créée par celui qui dirige ce gouvernement.

Mon maître à penser qui m’a aidé à faire l’exérèse des maladies sociétales est Axel Honneth, c’est pourquoi, j’emprunte le titre de son essai  La lutte pour la reconnaissance, véritable guide exégétique pour analyser et saisir le noyau décomposé de cette société soumise dans un degré de dévastation morale presque irréversible, en étant la France la plus atteinte de tous les pays européens. Nous croyons que la composante latine prononcée est un des facteurs déterminants, mais ceci est un autre sujet.

Il me paraît utile et nécessaire de faire une rapide analyse de la mauvaise presse qui guide à présent la société, j’ignore en détail quels sont les programmes d’étude de l’École de journalisme, mais à juger le résultat qui est montré dans les médias, où les PDG imposent la ligne politique et appliquent sa censure, on peut facilement imaginer la basse qualité qui y est concentrée.

Les journalistes qui donnent le la et qui occupent et volent notre temps sont d’une médiocrité criante, et en imposant une palette sémantique uniforme et répétitive à la fin le discours ne dit rien en faisant comme choix figé les infinitifs et les adjectifs, les mots ne désignent même pas les choses, ils le cachent !

« Éclairer », « propulser », « fulgurant », « méritocratie », « fonceuse », « dynamique », travailleuse », etc.,

Si nous attachons importance à la signification végétale ou si nous restons dans un sens figuré, le résultat sera revêtu d’une pareille signification sémantique et du vide cognitif, parce que le but des journalistes, non par une volonté individuelle, non, ils sont débiteurs du patron qui a les commandes pour agir dans son journal ou dans sa chaîne n les ordres du gouvernement en place, le réseau est bien configuré ; l’intention est de mettre une frontière à la pensée sociétale, un langage anesthésiant, ils administrent au jour le jour des gouttes de Rivotril langagier.

LE SUCCES.

Tout ceci est le produit d’un programme et d’un montage soignés pour hypocritement cacher la véritable force qui fait de nos jours ce que l’on appelle succès, ce qui donne chez les individus le classement en deux catégories sociales : un triomphant, un gagneur ou un échoué, un frustré.

Revenons à cette analyse politico-sociétale de la dernière nomination à « la culture » oùde tout vient se centrer sur les « origines sociales » de la personne en question et son succès « fulgurant ! »

Levons le mensonge, la méritocratie, invention remplie de tares et vices, n’en est que du vide.

Ces gens « triomphent » non par leurs efforts ni par des qualités uniques, oh ! Combien s’efforcent jusqu’à l’épuisement, honnêtement, individuellement, et que finissent leurs vies méconnus de tous, et ils ont travaillé dur au jour, des héros anonymes qui luttent pour obtenir une reconnaissance sociétale et que les gens l’ignorent tout au long de leur vie si injustement et meurent invisibles.

Cette société française et c’est une devise uniforme par le monde, octroie le fameux « succès » par quatre voies très connues, mais au moment d’analyser le succès d’aucuns, elles restent secrètes, il suffit d’ouvrir la boite de Pandore :

1. L’appartenance à un parti politique.

2. L’appartenance à une Loge.

3. L’appartenance à une congrégation religieuse. (Leurs contacts politiques sont connus et ils aident à propulser)

4. L’affiliation civile : le mariage ; une composante que, jusqu’avant le mariage pour tous, était réservée aux femmes.

Chers lecteurs, je me permettrai de donner à mon analyse une touche personnelle, elle ne sera qu’une légère touche de pinceau pour accentuer avec mon expérience personnelle au sein de lma société française, ma théorie, personne ne triomphe seul, dépassée reste hélas, la merveilleuse époque où notre Daniel-Henry Khanweiler découvrit Picasso et les autres peintres qu’il protégea et qui leur donna le voie de la reconnaissance.

Il faut insister sur le fait qu’il n’y auirait pas eu de Picasso sans Khanweiller, ils seraient morts dans l’anonymat le plus cruel si cet unique personnage remplit de culture véritable unie à son sens aigu des affaires, n’avait pas trouvé chez eux des véritables valeurs picturales, il a bien dit « mes galeries et mes peintres » donnant l’accent aussi unique dans ce possessif « MES » qui dit long sur cette liaison affective qui fut née et fondée seulement d’une reconnaissance des VALEURS. Donc j’appuie ma réflexion sur le fondement qui nourrit ce type de succès, il exclut les quatre composantes citées, composantes négatives, celle dont je fais l’éloge est basée uniquement sur LES VALEURS, quelqu’elles soient, ces valeurs personnelles sont les seules à justifier un succès, politique, intellectuel ou culturel.

L’artiste doit être reconnu par un mécène, aucune autre propulsion n’est morale, un politique, doit être reconnu uniquement par son intention de donner à la société un bien absolu qu’il doit octroyer avec justice au sein de la cité à tous les citoyens , ce avantage légal et égalitaire doit être dépourvu de favoritisme et octroyé à toute sa nation, dans le domaine culturel, le succès doit être réservé à celui ou celle que par ses résultats en université a fait preuve devant ses maîtres de capacités singulières.

Moi, je n’ai jamais cherché ni ne appartenu à ces quatre composantes qui propulsent vers le succès, voila la raison de ce que vous croyez « mon échec », mais n’ayez pas crainte, « la marchandise » est là, dans mon mini atelier, enveloppée en papier bulle.

Je ferme la parenthèse et je poursuis.

Le scandaleux spectacle que cette personne a donné hier devant les caméras a été et a répondu publiquement par le moyen de ses phrases d’un ego monumental et à un degré de bêtise qui dépasse l’entendement et qui exclut le pardon, précisément dû à son parcours désespéré pour effacer ses origines et appuyée sur des tiers, afin obtenir ses buts.

Moi, au contraire de la masse, j’ai fait confiance à celui ou à celle qui sortant d’un milieu confortable, il ou elle n’a pas cherché à obtenir un poste politique pour faire le bien et le juste pour son pays, donc la « propulsion » est inexistante et le bien, le beau, et le juste, il le fera pour amour de son pays et non motivé par des fins personnels ; il va de même pour tout autre exercice professionnel.

L’exercice d’une profession doit rester une valeur unique et indépendante pour que le succès sorte exclusivement de cette spécificité d’excellence.

Les journalistes doivent cesser de gonfler le mensonge ; cet individu a obtenu tel qu’une plante rampante son ascension uniquement par copinage politique e, depuis des décennies que droite et gauche agissent aussi prostituées que déqualifiées l’une que l’autre, mélangées dans la même MAZAMORRA, elles cachent et poursuivront le système du mensonge en luttes internes pour continuer ad vitam aeternam le système de déconstruction des plus sublimes valeurs de la France.

La disgrâce la plus terrible est que si critique il y a, elle est encore sortie de clans, le gouvernement n’a pas choisi un de leurs ! Hier, avec leur exclusion du parti ils ont réaffirmé une petitesse d’ordre politico-morale grandiose, l’exclusion s’est faite par revanche et non pour une raison éthique.

Alors la critique sur sa nomination ne s’adresse point à l’incompétence absolue en matière de culture en matière d’Art de cet individu femme, mais le fait est centré sur un fait politique d’une bassesse complète.

J’eus la plus profonde de déceptions hier soir en écoutant les déclarations de Monsieur Luc Ferry, il greffe la nomination de son « amie politique » à la possibilité que celle ci détrône la maire qui nous a détruit Paris, donc pour le philosophe cette nomination propulse la personne à une facilité future pour qu’au moment des élections municipales, la maire du 6ème soit en mesure d’extirper de son poste à cette destructrice de Paris. Moi, qui ai toujours admiré la capacité créatrice de Luc Ferry, j’eus hier une déception de taille et ineffaçable à l’écoute de son monumental impair ; donc avec cette déclaration, il fait preuve d’absence d’indépendance intellectuelle, parce qu’il aurait bien pu nous dire que la maire du 6ème doit occuper la place de l’actuelle maire de Paris, c’est un fait clair partagé par nous tous, mais la gravité de son impair réside sur le fait de justifier sa nomination (totalement erronée) pour que sa nomination ministérielle serve à des fins pragmatiques.

Il abâtardit et renie la place de privilège qui réside dans un ministère crucial pour la France et déshonore la mémoire de notre André Malraux.

Cette maire du 6me poursuivra le projet de vide et d’immondice de ce faux art qui fut l’œuvre de l’ancienne ministre, celle qui a sali les Collections du Musée d’Art moderne de la ville de Paris, Musée qui jadis était pour moi le temple moderne ou nous avions confié la DONATION GAZMURI, dans ce temple de l’Art moderne français, à présent prostitué. Sans le moindre doute d’après ses déclarations qui ont provoqué les applaudissements de la France elle passera à l’histoire certes, mais pour avoir sali la France du faux, en octroyant des droits supplémentaires à LA POPULACE. Le triomphe, le succès de la POPULACE dans son plus macabre splendeur noircie de succès !

« Le Musée est le seul lieu du monde qui échappe à la mort» André Malraux.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

PASAJE DE MI LIBRO EN ESCRITURA: MEMORIAS, MI VIDA LITERATURIZADA DE CHILE A FRANCIA

25 novembre, 2023 (12:10) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

PASAJE DE

MEMORIAS

MI VIDA LITERATURIZADA DE CHILE A FRANCIA

De mi aterrizaje y primera residencia lo relato en los primeros capítulos, llegué y residí durante quince días en el hotel Lutetia.

Había ganado una beca y una estada gratuita pour una semana en el Lutetia, por haber sido junto con otros alumnos, la primera alumna con regias notas en el Instituto chileno-francés, asi es que escogieron a los primeros alumnos de cada clase para premiarlos con una beca y una estada gratuita en este lujoso hotel yo me pagué otros ocho dias, como n o iba a hacerlo, me dejó fascinada el lujo y el aire retró que por desgracia la renovación lo hizo desaparecer, ahora el Lutetia tomó el carácter de cualquier gran hotel de lujo de cualquier parte del mundo, un desastre. En esa época el Lutetia era un verdadero hotel de lujo específicamente francés con todo ese ambiente de los años treinta.

Mi primer encuentro con París lo hice un frío y nevado día de invierno, en enero del 1980. París estaba pasadas las doce de la noche, silencioso y misterioso, con sus nevadas calles luego de las fiestas aún bien iluminado de los colores de las fiestas recién pasadas. El bus que llegaba del aeropuerto se estacionó frente al hotel Lutecia y comenzó mi conocimiento de ese Paris que lme seria nagado por los funcionarios criminales de la administracion.

Mi visión primera de París fue Sevrès-Babylone, es por eso que es el barrio de París, junto con Montparnasse, el que afecciono con mas amor, porque para mi París es Sèvres-Babylone.

Es preciso ahora, para aclarar a los cretinos e ignorantes, lo que sus cerebros jibarizados desconocen; no hay nada mas terrible, en esta “época del desprecio” que escuchar con firme convicción, criticar lo que digo y hago, la semana pesada tuve que escuchar un necio que me dijo que él estaba asombrado de que, sabiendo que yo soy independiente, busque un mecenas para volver a vivir en París y continuar mi pintura, para este cretino que no tiene idea de la historia de la pintura italiana ni francesa, confunde MECENAS con un proxeneta que paga a una prostituta. Creo que es la creencia general de la sociedad francesa,

Entonces me acordé de los consejos y severas reprimendas de Mamá que al escucharme protestar con rabia de las idioteces que me decían los ignorantes, me reprimendaba:

Pero, ¿ porqué te enojas y tratas de educar a la gente? Déjate de enseñarles lo que no aprenderán nunca, deja de ejercer tu pedagogía en la sociedad, déjala en casa y en tu liceo”

Mamá tenia siempre razón, estaba dotada de una sabiduría innata. Lástima que yo no heredé esta cualidad de ella, a Mamá le importaba un bledo la sociedad, nada más lejos de ella que las luchas sociales, el feminismo y la política; ella era esencialmente madre y pianista, su unico interés en la vida fue como ella me lo dijo un día: “mi vida fue primero el piano, luego tu padre y , enseguida llegaste tú”.

Cerrado el circulo de la VIDA.

Música. Compañero y maternidad.

Es lo único que debe importar en la vida de una mujer.

Sólo que cuando se tiene que luchar en “la sociedad del desprecio”, una está obligada a sacar las garras, a desarrollar una fuerza competitiva fuera de serie para defenderse, poder existir y poner a salvo nuestra vida y nuestro honor.

Para mí, el honor es ser independiente, no tener jamás deudas ni deberle un céntimo a nadie.

Y eso no me lo tomarán jamás en Francia, hasta el último de mis días, seré yo la que decide mi existencia, aunque sea en la pobreza, pero independiente.

Esta miserable gente no es sólo ignorante sino que además convencidos de que su ignorancia es ley, la aplican con orgullo y convencimiento; esto no sería nada si estos escabrosos imbéciles no ocupasen los puestos de gobernancia nacional, tal como lo dice Max Horkeimer, no hay nada mas vil que por falta de dinero, aquel que tiene valores sea arrastrado hacia los negros espacios de esperas y desgracias múltiples, donde el cretinismo reina y que se deba ser objeto de risa de seres despreciables. El lo dice de otra manera magníficamente en su ensayo Crepúsculo.

Mi exilio fue voluntario.

Huérfana de mi padre, el pintor Hernán Gazmuri, asumí sola la responsabilidad de ocuparme enteramente de mi madre, sin mi amparo habría perecido desvalida y sumida en la tragedia de su pena, de su duelo, y de sentir que sin mi padre, ya no valida la pena de ser pianista. Vendió el piano de concierto y en un ataque de locura destruyó todas su partituras.

Decidí entonces vender todo y exiliarme en Francia.

¿Porqué en Francia?

Únicamente por la pintura.

Por la herencia pictórica que recibí de mi padre: ¡Las Invariantes Plásticas!

Es este lazo indestructible entre París y mi padre, fue lo que me obligó a emprender esta aventura imposible, a contra corriente, desesperada, sabiendo que me jugaba el todo por el todo, porque sola, completamente sola, sin ayuda de nadie, con mi madre a cargo, dejaba mi confortable vida material en Santiago, el fruto del trabajo de toda una vida de mi padre, por emprender una odisea incierta, en la que no sabía si iba a triunfar, pero mi fuerza vital, mi juventud y la convicción absoluta de mi talento, hizo desaparecer toda duda e incertidumbre y no dudé ni por un instante que llegando a París, y trabajando duro, con mi cúmulo de conocimientos en materia pictórica, y con mi profesión para ganarme la vida, de nada menos que de profesora de Castellano, dominio donde ninguna profesorcilla francesa que las autorizan a trabajar con solo una licencia de tres años, sin ningún estudio de pedagogía de cinco años universitarios, como los míos, podría competir conmigo, y yo no conocía la mafia de la Educación Nacional, asi es que con mis inocentes conjeturas, creyendo que la universidad francesa era como mi universidad Técnica del Estado, creí estúpidamente que mis valores literarios y pedagógicos ampliamente reconocidos en Chile lo serían igualmente aquí en Francia y que llegaría a concretizar mis proyecto. Mi primera inocencia juvenil se transformó en estupidez.

Mi padre me formó y me aseguró de mi talento pictórico y antes de morir, me hizo jurarle que haría exposiciones, me dijo: estoy seguro de que te abrirán las puertas, antes lo dudé y no quise que fueras pintora, porque iba a ocurrirte lo mismo que a mí, pero no, tienes razón, tienes un gran talento, pintas mejor que yo, ahora tomas la misión, a ti te toca continuar”

Le juré dos cosas, que me ocuparía de Mamá y que continuaría la via de la pintura que él me legó.

Papá me dijo: “debes tomar conciencia que conmigo desde tus dieciséis años, has tenido en casa, sin peligro ni los sufrimientos que yo padecí en Paris, la enseñanza completa que me dio André Lhote”. “No lo olvides nunca”.

En otros capítulos cuento mis comienzos, el encuentro con el Académico René Huygue, quién recomendó al Museo de arte Moderno, la DONACIÓN GAZMURI y que me presentó a su colaboradora, Michèlle Cuby, la que fue una amiga durante años y que varias veces, cuando recibía su pago, trabajaba en el Collège de France, me llevaba a comprar material, telas, colores y que contenta, oficiaba su misión de MECENAS y se reía, me decía siempre:¡yo quiero participar!”, luego de llevarme a comprar el material de pintura, me invitaba a un restaurante y a pasear, fue gracias a ella que conocí París, y que la vida parisina de los años ochenta me enriqueció y comencé a profundizar mis raíces volviéndome enteramente parisina, eso que pone fuera de si a las serpientes de la administración que no tienen otro objetivo que negarme una habitación social en París, para que, desvalida, en la miseria, sin nadie que me apoye, pierda mis fuerzas, deje de pintar y caiga en una depresión como todas las pobre mujeres sin dinero.

Lo repito, esas pobres cretinas miserables desconocen toto lo que significa la verdadera pintura, porque desde hace 70 anos que no hay maestros, ni verdaderos guías; desaparecido D.H. Kahnweiler, André Lhote, no hay absolutamente nadie. Los pocos sabios están escondidos, ya ancianos, se quedan en la retaguardia y viven concentrados en sus recuerdos, observando como yo, la triste visión de una Francia desteñida, ocupada por una marea de idiotas ignorantes, groseros y ramplones que han subido por política y que sabiéndose inferiores, desde que se encuentran conmigo, miserable, pero fuerte y firme en mi terreno, no saben qué hacer para demolerme y acabar con los pocos años que me quedan para pintar y escribir.

De la escritura no me inquieto.

Yo soy poeta y escritora, pero maestra en mi lengua materna y de profesión, profesora de castellano, otra cuerda que siempre he practicado con excelencia, y mantengo “orgullo intelectual” que me enseñaron mis profesores de la Universidad Técnica del Estado, del Instituto de Pedagogía donde estudié y que fundó mi padre en 1942, asi es que que quede bien claro, yo no vine a Francia para ser escritora, para ganarme la vida, por supuesto que debía trabajar y mantener a mi madre, perfeccioné mis estudio obligadamente para poder trabajar y debí hacer las equivalencias en la Sorbona donde obtuve con éxito un excelente resultado en mis estudios superiores, obtuve dos diplomas franceses y mi doctorado, saliendo experta en la obra de Ernesto Sábato.

Este es otro asunto y otro largo capítulo.

Yo no tengo ningún lazo con la literatura francesa, mi raíz es española, sin embargo algunos profesores de francés, al leerme me dijeron que en los relatos observan curiosamente una influencia de Dostoïevski y en mis poemas influencias de Khalil Gibran. Puede ser, tal vez.. Yo soy una gran admiradora de estos dos escritores.

En todo conflicto, lejos de dejarme aplastar, trato de superarlo dejando aparte los abusadores que no pretenden otra cosa que abatirme. Ahora que debo salir de este suburbio y de este edificio que me produce perjuicios, las administradoras me niegan toda posibilidad de cambio. Una posibilidad es hacerles un juicio. Pero los juicios imponen esperas, ¡ah! Las esperas, no lo soporto, pronto tendré 70 años, se sabe que es la edad límite de los elefantes, ustedes dirán, ¿ Pero señora, por favor, usted no es una elefanta, no? La raza humana hoy en día vive más, si, pero una mujer que llega a los setenta años, con una jubilación miserable, sin familia, debe ocuparse seriamente de dejar este mundo, ocuparse de su tumba y de su ataúd, dejar sus papeleos y documentos en orden, escribir su testamento y una vez que estas obligaciones de toda persona de honor han sido concluidas,una podrá trabajar y dedicarse a sus quehaceres artísticos en paz, este es mi caso. En el 2024 terminaré de pagar la concesión funeraria de mi madre, la carroñera que me persigue me dejará en paz y nuestra tumba quedará perpetuamente al resguardo de las garras politiqueras de esa bestia.

Luego podré libremente, dejar mi mente en paz, pintando y escribiendo con la misma dificultad de siempre, porque el materia de pintura se sabe que el material es carisimo no estamos en la época de Picasso en que hacía el troque de dibujos o telas por una comida o, ¡la obtención “gratuita”, en troque, de telas y colores!

Actualmente, las telas los pinceles y los tubos de pintura al óleo son para mi inabordables, y ahora debo privarme de casi todo, para proveerme de material con el fin de no dejar de pintar y, deben saber que por nada del mundo dejaré de ser pintora.

Es por eso que siempre he buscado un mecenato. Lo más grave es que me he encontrado con gente que cree que cuando una mujer pintora o escritora, busca un mecenas, es sin la menor duda, una prostituta.

Las grandes asociaciones como la Fondation de France no ayudan a artistas de más de treinta años, esta es la prueba de que soy vieja, inservible y que una mujer de 70 años está condenada a muerte, este consejo va para las locas del gobierno y del estrellato que se creen inmortales, eternamente jóvenes, lo que importa son las arterias, la tasa de colesterol, de glucemia y de tensión sanguínea, y aunque estas estén como en mi caso perfectas, no es por eso que los setenta años que me caerán el 25 de enero del 2024, no me harán estar con un pie en la tumba, el otro lo retengo firmemente para no caer aún en mi fosa funeraria, porque antes tengo aun tres misiones que cumplir con perfecto orden y honor: terminar el pago de la tumba de mi madre para que sea perpetua, pagar mi ataúd, terminar la escritura de mis libros, y terminar mis cuadros dedicados a una próxima exposicion que haré “virtual” , en mi sitio literario, porque siguen negándome una sala gratuita para exponer. Mi exposición se llamará: “A Gaza”.

¡No faltaba más que me pasen la factura de 3000€ para exponer! Están locos completamente locos. Estos usurpadores y usureros.

El resto, mudarme y volver a instalarme en París, no depende de mi, sino de encontrar un mecenas y esto es algo casi imposible. Alguien me dijo, “su sitio literario no es la televisión, como quiere encontrar un mecenas si nadie la conoce?”

Le dije: sí, usted tiene razón, pero si no lo publico es peor, es cuestión de azar y de suerte. Una verdadera lotería, ¿encontrar en esta época un D.H. Kahnweiler? Imposible, ahora los mecenas son industriales y grandes comerciantes que ayudan a los pintores de grafitis y creadores de artefactos, porque dibujar nadie sabe, y los mecenatos de bancos y organizaciones se dedican a promover a los futbolistas, que reciben la Legion de honor, conclusión, pastelero a tus pasteles, me voy a mi mini taller para seguir pintando, aunque les duela hasta la médula a todos.

[…]

 

 

 

 

IN MEMORIAM

20 novembre, 2023 (04:14) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

Bourse Tortueuse   Publication du peintre 1973

     H . GAZMURI   ATELIER DE LHOTE PARIS 1928

AUTOPORTRAIT (toile spoliée à sa veuve CLARA, ma mère, comme le fut tout son héritage pictural, dans un achat vente frauduleux dont bénéficièrent les musées chiliens, violant ignominieusement le testament du peintre Hernán Gazmuri).

 

LA DONATION GAZMURI   1982  MUSÉE D’ART MODERNE DE LA VILLE DE PARIS

LE NU JAUNE                                  L’HOMMAGE A ANDRÉ LHOTE

 

IN MEMORIAM

 

HERNÁN GAZMURI

 

 

L’HÉROÏSME DU PEINTRE VICTIME D’UNE INFAMIE

Le 20 novembre 1979 décéda mon père, le peintre Hernán GAZMURI DIAZ, les infâmes de l’officialité chilienne publièrent dans la presse, dès le lendemain, qu’il était mort « d’une longue maladie »,. La persécution continua post mortem, c’est faux, mon père décéda subitement d’une crise de la vésicule biliaire, la veille, nous étions en train de jardiner ensemble. Une crise de la vésicule c’est un infarctus imprévisible. j’ai dû écrire dans la presse pour démentir ces mensonges des journalistes sauvages. Je venais d’avoir vingt-cinq ans et je n’ai pas pu montrer à mon père mon succès universitaire auquel il tenait autant, je suis devenue professeur de castellano, la même année.

Ensuite, orpheline, en ayant perdu non seulement mon père, mais aussi mon maître en peinture, maître de vie, et mon meilleur ami, je consacrais ma vie à restituer sa vérité aussi bien de sa vie que de son œuvre. Ma « mission artistique » se composa de deux objectifs, le premier, le placer dans la véritable catégorie esthétique que le Chili lui usurpa et qu’avec sadisme et mauvaise foi, voulait sa vie durant, l’insérer de force dans une génération des peintres chiliens les plus médiocres, incapables et boursiers et, j’ai pu enfin le placer en France comme appartenant à l’École de Paris, parce qu’il se forma et travailla dans sa jeunesse, ici à Paris, sous la direction d’André LHOTE et, l’Académicien René Huyghe confirma cette appartenance, disant que « La Donation Gazmuri arriva en France pour compléter les Collections de l’École de Paris ».

Depuis 1983 le peintre Hernán Gazmuri entra dans le Patrimoine de la France :www.hernan-gazmuri.com.

Je publie son article dans la presse chilienne en 1973, la preuve terrifiante, qu’il a dû passer sa vie durant en train de se défendre des calomnies et mensonges de l’officialité chilienne.

J’ai me suis efforcée le mieux que j’ai pu, pour restituer sa mémoire, j’ai écrit en 2005 un livre dédié au peintre Hernán Gazmuri :

Le peintre Hernán Gazmuri, l’héroïsme du peintre victime d’une infamie.

Je devrais le rééditer bientôt, avant mes 70 ans, avec des modifications et en édition corrigée et augmentée.

La Donation Gazmuri faite par son épouse CLARA, ma mère, : L’Hommage à André Lhote et, Le Nu Jaune, LA DONATION GAZMURI arriva au Musée d’Art Moderne de la ville de Paris. La Donation Gazmuri y est depuis 1983, et complète les Collections de l’École de Paris.

En 1982, le massier du peintre Yves Brayer, Pierre Driay m’a dit ceci : « Tu as une grande irresponsabilité, tu dois continuer à peindre, car tu as hérité de ton père « les invariants plastiques » et tu dois perpétuer la mission d’un véritable peintre, se consacrer à la peinture toute sa vie. »

Je persévère dans cette difficile voie que nous exige la peinture dans un monde administratif, parisien, rustre et grossier.

Je survis parmi les plus ignares, le plus grand châtiment qui doit assumer tout peintre qui vit sans argent et sans mécène, le plus grave des héroïsmes, est de continuer à peindre à contre-courant dans « la société du mépris ».

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

 

 

 

 

 

MONSIEUR LE PREMIER MINISTRE DOMINIQUE DE VILLEPIN REPRÉSENTE LA FRANCE

14 novembre, 2023 (22:32) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

MONSIEUR LE PREMIER MINISTRE

DOMINIQUE DE VILLEPIN

REPRÉSENTE LA FRANCE

Chers Lecteurs,

C’est avec affliction et colère que je viens de voir le programme de CNEWS qui a présenté l’ancien Premier Ministre Dominique de Villepin ; je m’épargnerai le commentaire de ce contraste verbal frappant et désolant entre un virulent participant qui défend ses intérêts et la figure française de plus haut rang qui est l’ancien Premier Ministre.

La critique que Monsieur De Villepin a faite et confirmée contre le gouvernement israélien est la seule vérité qui doit prévaloir. Je la fais mienne de fond en comble. Cette vérité est incontestable par les preuves en l’espèce.

Je ne tomberai point dans le piège qui nous présentent les journalistes et politiques, commencer par ce liminaire obligé qui doit servir d’excuse.

Non, je ne parlerai ni du 7 octobre, ni de la Shoah, ni de multiples pogroms. Non, j’évoquerai seulement l’ici et maintenant, la vérité dite par Dominique de Villepin, cette vérité est à présent incontournable, c’est une voix de la plus haute importance, non seulement par l’expérience qui est la sienne et que nous connaissons, mais tout particulièrement par sa capacité d’analyse visionnaire et équitable.

Vous devez l’entendre.

Le résultat est devant vous. À la question de comment va terminer cette guerre atroce, nous voyons devant nous le pire tant que ce gouvernement israélien dictatorial et sauvage reste en place, car la supposée « démocratie » n’est vraie que sur le texte, dans la réalité, Israël est une dictature, la pire de toutes et qui est la cause de tous les malheurs, le terrorisme n’est que le résultat de l’occupation et de l’humiliation. Quelle serait la première mesure à prendre pour avoir la paix ?

Destituer ces corrompus assassins, décoloniser, stopper les massacres en Cisjordanie, rendre la terre aux Palestiniens, leur permettre d’élire une autorité éligible, permettre des élections qui conduisent à la construction de LEUR ÉTAT.

Après avoir lutté pendant toute ma jeunesse pour devenir française, et à la fin de ma vie, me sentir méprisée et déçue de l’administration, de la politique et entourée du mépris sociétal, je remercie ce discours à Monsieur Dominique de Villepin, car je n’ai pas connu le Général de Gaulle, je n’ai pas connu André Lhote, André Malraux, D.H. Kahnweiler, ce sont mes figures de référence française et je les ai connues par procuration et elles appartiennent à ma culture livresque, mais en écoutant Monsieur Dominique de Villepin, dans mon présent français, je ressens de l’orgueil d’être française.

Sa parole est profondément française, il m’a apaisée dans le sentiment que j’éprouve, celui de mon immense déception de la France et il me redonne de l’espoir.

Il représente la France avec tant de grandeur et rayonnement !

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

UN MESSAGE DE SOUTIEN A L’ISLANDE

14 novembre, 2023 (20:09) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

 

 

TOUT MON SOUTIEN A L’ISLANDE

 

 

 

L’Islande est un pays que j’admire énormément.

Sa beauté est percutante, je l’aime par sa beauté naturelle, les qualités de ses habitants, son Art et sa culture.

Je veux leur adresser un message de soutien dans les moments très difficiles qu’ils doivent subir.

Je forme des vœux les plus fervents pour que la colère volcanique s’apaise.

La beauté terrible de votre pays provoque ces tragiques dégâts.

Soyez forts.

Je pense à vous.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

VOICI L’ANALYSE DE VÉRITÉ VOICI L’HOMME POLITIQUE QUI NOUS MANQUE

8 novembre, 2023 (10:51) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

RÉQUIEM A CLARA- PIANISTA -ESPOSA DEL PINTOR HERNÁN GAZMURI -ASESINADA EN PARÍS EL 18 DE OCTUBRE 2013 POR RECHAZO DE CUIDADOS

17 octobre, 2023 (20:43) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

Moi avec Maman, juste avant l’assassinat 2013

 

PORTADA CLARA            CLARA CONTRAPORTADA

 

« La mort révèle l’amour, c’est l’inconsolable qui pleure l’irremplaçable »

                  Vladimir JANKÉLÉVITCH

 

                         CLARA

                                                      PIANISTA

 

       ESPOSA DEL PINTOR HERNÁN GAZMURI

         wwws.hernan-gazmuri.com

 quien prestó servicios Eminentes a Francia en 1981

  al Musée d’Art Moderne de la ville de Paris

          « DONATION GAZMURI

    Mamá fue torturada y asesinada por RECHAZO PREMEDITADO

 de cuidados de su « médico de cabecera », le médecin TRAÎTRE-TANT:   B. K.

                                   

y luego por sus cómplices: J. M.Z

                                                        E.T

                                                          N. G.

 del hospital semi-privado del 20 distrito de París.

   Mamá falleció el 18 de Octubre de 2013 luego de 8 días de agonía sin  cuidados paliativos, bien por el contrario.


Crimen abominable, premeditado con circunstancias agravantes.

 

                                Cuatro terroristas que siguen libres.

 

 

                      Publico este R

 

 

                                                             AMÉN

 

 

 

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

18 de octubre 2023

 

 

 

 

 

 

OCTOBRE 2013- OCTOBRE 2023 ANNIVERSAIRE MORTUAIRE

7 octobre, 2023 (13:27) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

 

OCTOBRE 2013-OCTOBRE 2023

CLARA CHERNIAK, subit un infarctus.

ELLE EST L’ÉPOUSE DU PEINTRE

 

HERNÁN GAZMURI

 

www.hernan-gazmuri.com

 

Le Médecin Traître-Tant lui refuse les soins.

Le 18 octobre CLARA décède, d’une nécrose généralisée, privée de soins de manière préméditée avec des circonstances aggravantes; après 8 jours d’agonie, torturée entre les griffes

du chef de Service J.M.Z au 5ème étage

de l’hôpital semi-privé du 20ème

ASSASSIN N° 2, complice du

CRIME ENCORE IMPUNI

L’assassin N°2 se moqua de Maman qui est en train d’agoniser:

Face à son lit, ce monstre assassin s’adresse à moi en riant :

« Ha, ha, ha, elle n’est pas toute fraîche votre mère, AH? Ha, Ha, Ha. »

ANNIVERSAIRE FATIDIQUE

OCTOBRE ‘ ANNIVERSAIRE MORTUAIRE

CARMEN FLORENCE GAZMURI CHERNIAK

CLARA : UN ADAGIO HECHO PERSONA – EL ADAGIO DE ESTE CONCIERTO ES CLARA

3 septembre, 2023 (19:00) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

CLARA CONTRAPORTADA

 

CLARA

UN ADAGIO

HECHO PERSONA

Se acerca… Octubre 

Mes fatídico.

En octubre del 2023, el médico Traidor, « Médecin Traître-Tant » le negó los cuidados de urgencia a mi madre, CLARA Cherniak Gazmuri, pianista, el ser mas sublime y dulce que jamás la naturaleza ha creado, fue brutalmente privada de cuidados provocando su muerte, programada por el médico asesino, que la traicionó, rechazándole los cuidados el día de su infarto.

Mamá era una criatura dotada de una bondad y dulzura infinitas, reservada y silenciosa, vivió para su música y su familia. Fue brutalmente y torturada por rechazo de cuidados con circunstancias agravadas, el médico de cabecera, pérfido y sanguinario, motivado por intenciones mafiosas, se convirtió en «traidor» y en el momento en que mi madre más necesitó de cuidados de urgencia, este asesino se los negó.

Esta tragedia la resumí en el libro CLARA, que contrariamente a lo que puedan pensar los ignorantes, no tiene motivaciones catárticas, bien por el contrario, es un testimonio de un maltrato criminal, es el testimonio de un crimen impune, es el testigo ocular de primer orden el que habla al mundo entero, es la hija que debió quedar atrapada con su madre agonizante en la pieza del dolor, es la hija que asistió sola, sin nadie a su lado, para denunciar el maltrato, fue el testigo solitario que con Rayos X vio y grabó para siempre la crueldad y las palabras obscenas del médico jefe de servicio del 5 piso del hospital del 20 distrito de París, que se reía de la agonía que sufrió CLARA, agonía que duró ocho días, agonía sin sedantes y que permitía así, la consciencia desgarrante de una necrosis generalizada, convirtiéndose la cama del hospital, dura y fría, en un ataúd abierto…

Este libro es el testimonio que advierte al mundo entero lo que sufrió en París una madre anciana que sucumbía torturada por un grupo de médicos mafiosos y que siguen ejerciendo en paz, con el amparo y beneplácito del Consejo del Desorden.

Este libro es la denuncia de la nefasta gerencia de la medicina francesa en que los textos jurídicos no defienden para nada a las víctimas de maltrato, en que los hospitales, con sus muros impermeables, insonorizados, protegen a monstruos degenerados disfrazados de médicos, los que violando su deontología y los principios humanos mas elementales, desembocan sus vicios contra pacientes sin defensa que, atrapadas entre las garras del famoso  “PROTOCOLO» no pueden desprenderse de estos falsos médicos que se permiten actos terroristas, propios de verdaderos criminales modernos.

En este Libro-Script, está destinado a servir a un cineasta, debería volverse una película; me esforcé por dejar un testimonio vivo, salido del testigo ocular de primer orden que soy, en esta vida malograda en Francia y que el destino funesto me reservó al conocer a ese “médico Traidor”.

Este es el testimonio del tiempo infinito del sufrimiento y donde fui el testigo desesperado e impotente, para salvar a Mamá de la tortura más indecible que puede vivir al final de su vida una Mamá acompañada de su hija que, en binomio, sufrieron una misma agonía.

Mi madre sucumbió entre las garras de los asesinos el 18 de octubre de 2013, y yo quedé como víctima inconsolable para siempre y testigo ocular del crimen, para que jamás se borre del recuerdo, lo que ocurre entre los muros impermeables de la medicina francesa, en que los funcionarios del DESORDEN escondieron el acto criminal de ese médico Traidor y de sus tres cómplices.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

NADEZHDA

 

 

ADVERTENCIA A MIS LECTORES: DIFERENCIA ENTRE ESCRIBIR Y PUBLICAR

26 août, 2023 (15:51) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

DIFERENCIA ENTRE ESCRIBIR Y PUBLICAR

 

 

Estimados Lectores de lengua hispana:

El problema de la estadística se arregló.

Vuelvo a mi residencia secundaria, ésta.

Lo que no quiere decir que mi segunda que acabo de crear quedará deshabitada.

Soy millonaria, tengo dos casas literarias, ésta que construí en 2005 y la otra: www.CARMEN FLORENCE GAZMURI CHERNIAK.com

Les agradezco infinitamente su lectura y fidelidad a mis publicaciones.

La necesidad de escribir de un poeta son innatas, es una necesidad que se hace presente desde temprano, que se cultiva y se trabaja durante toda la vida.

DIFERENCIA ENTRE ESCRITURA Y PUBLICACIÓN

Se escribe por razones miseriosas, es un diálogo con la eternidad. Luego es necesario publicarlo, como forma de agradecimiento a Dios, porque no somos responsables de nuestro talento, somos responsable del cultivo y resguardo, no del don con el que nacimos.

¿Comprenden la diferencia?

Una poetisa – escritora sin sus lectores ¿para qué publica?

Es para su público.

¿No les parece?

Buenas tardes a todos.

Hasta más tarde, porque yo no dejo de escribir y pintar.

 

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

NADEZHDA