REQUIEM BALLET BORIS EIFMAN
La plus parfaite expression plastique de l’horreur de l’arrivée de la Mort.
SITE LITTERAIRE ET DE CRITIQUE SOCIETALE-ARTISTE PEINTRE ET POETE-ECRIVAIN
La plus parfaite expression plastique de l’horreur de l’arrivée de la Mort.
Le sacré s’arrête aux portes du cimetière pour toutes les autorités « religieuses »
L’Etat et son culte de la laïcité sort profit du religieux ; nos morts sont une « marchandise », la religiosité est « payante » au cimetière.
Nadezhda Carmen Gazmuri-Cherniak
Chers Lecteurs,
Si j’ai dû retarder la publication de mon essai La Mort en France : Politique Funéraire de la Terreur, est uniquement parce que je devais donner la priorité à mes deux livres dont le sujet traité finit des années plus tard en dégâts judiciaires supplémentaires qui dérivent de ces deux crimes, l’un pour l’assassinat de Maman, CLARA Livre-Script, et l’autre pour escroquerie financière de Madame Y, l’Hyène- Crapule de Colmar contre la soussignée.
Ces deux éléments forment le sujet principal de chacun de mes deux livres tout récemment publiés en SAMIZDAT, dont depuis ma qualité d’auteur indépendant et dans la misère c’est avec un sacrifice surhumain je n’ai été en mesure d’éditer que trois uniques exemplaires, l’un pour le dépôt légal, un deuxième pour offrir et le dernier pour mon usage personnel, mes deux derniers livres sont à présent avec les autres déjà publiés et qui dorment dans une étagère de ma bibliothèque et qui font preuve de mon travail littéraire depuis des nombreuses années.
À présent je prépare la publication de mon essai qui traite ce sujet gravissime, la destinée de nos morts, pour qu’enfin ce sujet soit mis à la connaissance de tous, car aucune institution ne s’occupe du sujet, mis à part la Cour des Comptes qui dans son dernier rapport en date de 2019, en parle abondamment mais du point de vue de leur analyse financière, les prix exorbitants des obsèques, et les prix inabordables des concessions funéraires. Ce sujet est aussi le sujet principal de mon essai : les prix des concessions funéraires, mais j’ajoute la question qui est me semble-t-il la plus profonde dont dérive l’abus financier de l’Etat et je propose l’unique solution pour en finir avec cette escroquerie dont seuls les pauvres nous en sommes les victimes.
Évacué de force le sens du sacré qui implique nécessairement le respect de nos morts, l’Etat a rajouté la mise en place d’une idéologie laïque faite loi, qui consiste en l’éradication de tout lien avec le religieux, où l’Etat profite de manière toute particulière de cette clause aux dépends des citoyens croyants et désargentés où je m’inclus.
Tragique situation qui est la mienne et de ceux qui comme moi, nous n’avons pas d’argent pour payer une concession perpétuelle.
Devant une société qui se cache dans un silence lâche, elle reste une aveugle et sourde volontaire, inconsciente et incroyablement impudique et sournoise dans sa volonté de cacher l’escroquerie de l’Etat, qui sait très bien abuser des clauses de sa loi inviolable de LA LAÏCITÉ.
La séparation de l’Église de l’Etat, et la liberté de culte se limite uniquement à la petite liberté qui nous est octroyée pour les célébrations et les prières privées ; mais voyons qu’elle liberté nous est octroyée !!!
Priez chers citoyens si cela vous fait plaisir !
L’Etat est généreux, il vous donne entière liberté ! C’est cela la LAÏCITÉ !
Voyez-vous combien nous en sommes généreux !
Vous en avez entière liberté, l’Etat vous donne toute la liberté de prier, aller au temple de votre choix, mais votre liberté s’arrête aux portes du cimetière, votre culte ne doit pas dépasser la liberté de prier et de respecter vos commandements religieux qui n’impliquent pas le FACTUEL, la mort et les enterrements impliquent un respect en l’espèce : l’utilisation de la TERRE !
Le droit de cadastre est pour nos morts… Payant !
Voici le socle de mon essai, ma critique se résume au commandement de l’Etat, l’Etat nous dit ceci : « si votre culte dépasse le cercle restreint du temple et si vous le faites accroitre nécessairement vers le CIMETIÈRE alors là vous devez nous payer !!!! »
La séparation entre l’Église et l’Etat s’arrête aux portes du cimetière.
La séparation de l’Eglise et de l’Etat prend fin aux portes du cimetière, le tribut qui nous exige l’Etat résulte dans une mise à mort, c’est contre cette perfidie que je me révolte et que je développe dans mon essai non sans proposer une solution que j’espère sera entendue par les membres de la UE., car je n’épargnerai aucun effort jusqu’à obtenir gain de cause ; le respect de nos morts est inviolable et non assujetti à aucune loi artificielle d’ici-bas
Le sens du SACRÉ éradiqué de la mémoire collective, l’Etat jouit d’une liberté sans limites pour faire de nos morts une « marchandise » utile à augmenter le budget de l’État, et les citoyens s’en moquent éperdument, laïques ou religieux, la suppression du sacré et le respect des morts abattu, les citoyens français qui doivent enterrer leurs morts, n’ont que deux options, ou bien ouvrir le chéquier et payer ou bien accepter la crémation.
Ouvrir le chéquier ne pose jamais aucun problème pour les riches et, la crémation est saluée, choisie et ne pose aucun souci ni pour les riches ni pour les pauvres athées, mais que se passe-t-il avec les pauvres -croyants, croyant-pauvres ? qui, sans argent avec un profond respect pour leurs morts et pour qui la reprise de notre concession et la crémation du cercueil qui s’ensuit est un sacrilège insoutenable ?
C’est celui-ci le sujet principal qui traite mon essai et je propose l’unique solution pour en finir avec cette perfidie laïque et religieuse, car j’accuse les autorités religieuses qui restent cachées dans un silence insupportable, desquelles les croyants pauvres n’obtiennent aucun respect, aucune aide, la religion reste lettre morte et l’essence même de la VIE et de la MORT est outragée par une lâcheté indigne, j’ai été bannie pour ma fidélité inviolable à la tombe de ma mère ; aucune importance, ceci n’est pas pour moi l’essentiel ! L’essence du religieux pour moi est la préservation de la tombe de nos parents, de celle de mon père je suis en paix, nous avons une concession perpétuelle depuis plus d’un siècle.
La tombe de mon père se trouve au cimetière catholique de Santiago, là-bas une tombe est INVIOLABLE.
Je crie comme Antigone, jetant le faute aux autorités religieuses qui dans leur silence complice, osent abandonner leurs fidèles parce que pauvres, et leurs morts jetés entre les griffes d’une escroquerie d’Etat qui exploite la laïcité aux limites de l’indignité la plus inhumaine.
Il est plus religieux celui qui défend le cercueil de ses parents, de sa mère que celui ou celle qui fait de la figuration à l’Eglise.
La relation avec Dieu doit se démontrer par les actes en gardant les mots sacrés pour les faire vivre précisément au sein du cimetière !
Message aux autorités de la mairie de Paris :
Écoutez-moi bien : je vous ai trop supporté…le mépris de quarante années durant que vous l’avez régalé à mon art m’indiffère ! Mais…
La concession de ma mère, vous ne la toucherez JAMAIS !
Nadezhda Carmen Gazmuri-Cherniak
Chers Lecteurs,
Avez-vous remarqué que les femmes qui me dépassent d’une année d’âge, c’est-à-dire celles qui ont 68 ans et demi, commencent à se cacher le cou par tous les moyens ?
Hier, j’ai vu une starlette qui doit se vêtir avec un chemisier à col haut, mesure absurde qui ne trompe personne, on a vu parfaitement son cou ridé, c’est où débute la vieillesse physique d’une femme, nous ne sommes pas dupes madame, c’est pire, cela attire l’attention, on sait qu’à 68 ans c’est votre naufrage physique, habituez-vous.
J’ai reçu une excellent leçon de vie de Maman qui était un véritable beauté, elle ne s’est jamais maquillée que du rouge à lèvres rouge quand elle était très jeune, elle se parfumait avec les deux parfums qui lui offrait mon père en cadeau Arpège de Lanvin, et Femme de Rochas. Maman avait une sagesse à toute épreuve, elle m’a enseigné ceci :
Maman : « ma petite, n’oublie pas, quand une femme vieillit, elle doit se faire DISCRÈTE. »
Moi : Et, Maman, c’est quand cela ?
Maman : ne t’inquiète pas, cela toute femme le sait ».
On me dit que je ne fais pas mon âge; cette phrase enferme en elle-même une contradition existentielle, car elle dit que l’on est très âgée! et ce n’est pas du tout une galanterie, car ce sont des femmes âgées qui me le disent. Probablement, c’est question génétique, un héritage de mes deux parents, on leur disait de même. Peut-être aussi parce que je n’ai jamais fumé, ni bu, jamais je n’ai pris des hormones ni traité mon corps comme un Caddy de courses. Voilà, cela paie !
Nonobstant, quand je me regarde dans la glace je vois très visibles les marques évidentes de l’âge, mais je suis comme Rembrandt, sauf que je me décris et fais mon autoportrait par la parole; j’observe chaque dégradation physique et me prépare, ma lucidité envers moi-même est impitoyable et ne me pardonne rien, mon autocritique est sans concessions.
Mon unique souci obsédant est celui de maintenir intactes mes neurones, le reste je m’en moque éperdument.
Un éminent docteur, m’a dit :
« Vous craignez que vos soucis portent attente à votre cerveau ? »
« Rassurez-vous, le cerveau supporte tout et bien plus que le reste, il ne subira aucun dégât »
Chiche !
Au Chili, quand les gens se sauvent d’un malheur disent ;
«¡No estamos aún en el horno! ¡Aún tenemos patria ciudadanos! »
Nadezhda Carmen Gazmuri-Cherniak
EL QUISCO
CAPÍTULO I
Un sacrilegio al pan sagrado
Mi infancia fue un paraíso que me crearon mamá y papá; papá y mamá.
No puedo nombrar uno primero y dejar en segundo término el otro, son los dos padres queridos con el mismo amor, veneración e intensidad, solo que el amor es diferente.
Era esa época en que Mamá me preparaba con esmero dos panes y con mucho cuidado me los ponía en el bolsón repleto de cuadernos y el estuche de lápices. Mamá me preparaba una marraqueta y una hallulla, antes de rellenarlas, las embadurnaba de mantequilla, una casi siempre ácon palta molida y la otra con huevos revueltos, ningún peligro de subida del colesterol; lo que ocurrió un día en el colegio, fue digno de contarlo, era un colegio particular, inglés, donde iban niñas muy distinguida, sin embargo…Me tenían de objeto de risa, yo siempre estaba sola en el patio, y miraba jugar a la ronda a las niñitas distinguidas, entretanto me dedicaba parsimoniosamente à comer mis pancitos preparados por Mamá á aplausos de todas, la niña sonreía con sorna, victoriosa de su proeza.
En esa época, las marraquetas remplazaban los smartphones de hoy y el famoso “hostigamiento moral y físico” en los colegios; yo lo viví con las marraquetas y la hallullas. Para la niña que era yo educada con une siete en conducta e hija de mi madre y de mi padre, ese acto de vandalismo que esas “compañeritas de clase” cometían contra mi pan, era un sacrilegio, una ofensa que me llegaba al alma, porque era el pan sagrado que me preparaba todos los días Mamá, para ella, prepararme todos los días la marraqueta y la hallulla, era continuar amamantándome como cuando minúscula en su regazo recibía el mejor alimento de mi vida, su propia leche materna, luego crecida, ya niñita grande, mamá se preocupaba con un esmero acendrado de madre absoluta de que yo no pasara hambre, era una de sus preocupaciones obsesivas, debe haber sido porque cuando nací, nadie creyó que viviría, nací sietemesina, y pesaba solo 500 gramos, en ese entonces ningún recién nacido sobrevivía con el peso mínimo con el que yo nací, el médico dijo en el hospital : “déjenla, no se ocupen de ella, no vale la pena es muy chica no vivirá más de tres días.”
Mamá lo escuchó en el corredor dirigiéndose a une enfermera.
Parece que se equivocó ese monstruo porque todavía estoy aquí a mis 67 años y en perfecta salud. Fue después de escucharlo por casualidad, que mama le contó a mi padre y que él contrato una enfermera particular para que estuviese a mi lado en la sala de incubadoras, dándome la leche con un gotario día y noche sin cesar durante los tres días críticos. contrato a Esta enfermera se llamaba AMANDA, su nombre me lo repitieron durante toda mi vida …” La Amanda te salvó la vida, ¿sabes? Estuvo día y noche durante tres días sin dormir dándote mi leche con un gotario y tu llorabas porque no tenías aun formado el paladar y te dolía al recibir las gotas de leche, más ella seguía insistiendo, sin importarle que lloraras, hasta que pasaron los tres días críticos.”
Las incubadoras de ese entonces, no tenían todos esos tubos y aparatos sofisticados de hoy; la mía fue de las primeras, totalmente rustica y desprovista de todo, una simple caja de vidrio, pero sobreviví a pesar de que todo estaba contra mí. Eso a Mamá la dejó marcada para siempre, para ella la comida era algo esencial que salva la vida. Tenía razón…
Botarme mis marraquetas era el tipo de persecución que yo siempre recibí de esas “compañeritas de curso tan distinguidas”, más yo no era de las que iba a dejarme aplastar, a pesar de ser tímida al exterior, en casa yo tenía el terreno libre y contaba altiro todo a mis padres, yo nada me callaba, y pedía socorro de inmediato; Mamá que fue de inmediato a pedirle explicaciones a la Directora, no logró nada a pesar de que era una gran dama comprensiva y maternal y que creyó a mi mamá de inmediato, ya que había visto la escena desde la ventana de su oficina.
A pesar de haber visto y comprobado cómo me hostilizaban gratuitamente, no pudo impedir que esas niñitas continuasen molestándome, y la decisión inmediata de mis padres fue la de sacarme de allí de inmediato; fue en esa mitad del año escolar, cuando me inscribieron en otro colegio particular, esto coincidió con una mudanza, y allí empecé otro período de vida infantil, más ya con un conocimiento bien preciso del mal que puede existir en la sociedad; que idiotas son aquellos que piensan que los niños son ángeles ”adorables” incapaces de hacer daño, es precisamente la infancia la que desde sus comienzos nos muestra lo que será ese individuo una vez adulto, o bien una persona de buena índole o bien un salvaje mal nacido.
Cuando mi padre, llegó a casa y supo el incidente se puso furioso y comenzó a gritar, “Pero ¡¿qué significa esto?! ¡¿Pero, qué se creen esas salvajes?!”
Debe ser allí que comenzó mi distancia, y mi aversión profunda hacia ñ
Me decía papá…Y mamá me decía …” Mi chiquitita, va a venir siempre a contarle a mamá cada vez que le hagan daño o la molesten, prométamelo.”
Ahora ya vieja, sigo contándoles en la mente cada vez que me persiguen y sigo contándoles cada vez que monstruos me molestan, parece que desde el Cielo siguen cuidándome, porque cada vez que me desprecian sé que rumbo tomar, a la primera ofensa, a la primera palabra ofensiva e hiriente, al primer desprecio doy el portazo y se acabó. Si, el espíritu de mis padres sigue alumbrándome el camino…
“Venga mi niña, venga a contarle a mamá cada vez que le hagan daño…” Ven aquí que voy a enseñarte a defenderte; porque eres sola” …” un día yo seré viejo y no estaré aquí para defenderte…”
Si Mamá, si papá, ¿ven que cumplo lo prometido?
[…]
Préface P. 7-23
Chapitre 1 Pp. 24- 34
Un peu d’histoire
Avant l’arrivée à Colmar
Chapitre 2 Pp. 35 – 44
Chapitre
Le début d’une amitié Pp. 45- 52
Et l’escroquerie du XXI siècle
Chapitre 4
Caramel attaché Pp. 53 – 57
Aux barrières du lit de REA
Chapitre 5 Pp. 58 – 73
Une Hyène avide
De notre chéquier
Chapitre 6 Pp. 74 – 87
Dialogue avec le Directeur
De la banque Crédit Agricole
Chapitre 7 Pp. 88 – 110
Le Conseil de Prud’hommes
Déboute l’Hyène
Trajectoire littéraire Pp. 111 – 113
Et picturale de l’auteur
Curriculum-Vitae P. 114
Table des matières Pp. 115
« L’homme est un misérable ! …Rien n’est plus facile que de dénoncer un être abject, rien n’est plus difficile que de le comprendre »
Fiodor DOSTOÏEVSKI
Crime et châtiment
Chapitre IV
« […] Comme la pensée en face de la mort, l’amour est en quelque sorte, l’esprit de vie en face du mal, L’esprit de vie est invincible dans un tout autre sens que la mort, car la mort est plutôt inexorable qu’invincible […] C’est pourquoi l’on dit justement
Qu’elle ne « pardonne » pas »
Vladimir JANKÉLÉVITCH
Le Pardon
P. 212
Chers Lecteurs,
Le 18 octobre prochain, s’accompliront 8 années de l’assassinat de Maman par le « docteur Traître-Tant ».
Pour moi, ce temps n’existe pas, c’est toujours maintenant, ou hier, ce jour fatidique est l’espace de temps qui reste suspendu…une blessure brûlante dans l’âme qui exige ma résilience pour honorer le jour où Maman m’a mise au monde et qu’elle pleine d’espoir dans ma survie, m’a donné la Vie, et parce que la moitié de moi-même a sa génétique que, penser à ne plus exister m’a paru impossible ; je pense être plus religieuse que ceux qui critiquent ma religiosité exmpte de « pardon », car je suis fidèle à la vie non par commande, mais par un élan physique qui ne sort pas d’une doctrine ni d’une idéologie, mais d’une nécessité absolue de vivre, et en dépit de difficultés, et de la souffrance, et honorer nos morts.
Nos morts nous l’exigent, ils n’accordent pas le PARDON.
Ce pardon n’existe pas.
« Tu ne tueras point. »
« Pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés »
Mathieux 6-12
Qui d’entre nous, n’a pas pardonné les offenses vénielles que dans la vie d’ici-bas nous rencontrons en permanence ? On les reçoit et ensuite on les oublie facilement.
Nulle part dans les Écritures ne dit, par exemple : « tu pardonneras l’assassin de ta mère. »
Nulle part n’est dit un sacrilège monstrueux qui nos commande un telle absurdité.
Il est dit de pardonner les « offenses », alors, l’assassin de MA MÈRE a -t-il commis la banalité d’une offense en tuant ma mère ?
L’imbécilité prémédité est abominable ; car elle fait acte d’une acceptation du crime ultime par la parole, une parole mensongère et hypocrite.
Celui qui « religieux » m’exige le PARDON de l’assassin de ma mère est hypocrite, il ne le ferait pas s’il vivait ma tragédie et en me condamnant il fait preuve lui-même paradoxalement, de ne pas « me pardonner » de mon refus de pardon ! Alors, il tombe dans son propre piège.
Celui qui me condamne pour n’accorder JAMAIS le pardon à l’assassin de Maman, le « Docteur Traître-Tant » et ses 3 collaborateurs, se couvre d’ignominie pour agir en hypocrite.
La véritable religiosité doit se pratiquer par des actes et non pas des paroles apprises, qi se lancent dans la futilité des commandes religieuses perverties, car la religiosité se pratique dans l’ici et maintenant en honorant nos morts et en condamnant les assassins !
Le souvenir reste vif, brûlant et la douleur éternelle, mais la résilience est nécessaire, un paradoxe qui vient de l’au-delà, c’est cela plus religieux que commandes artificielles et improbables.
Ce médecin Traître-Tant et ses 3 collaborateurs, pourront prier et jeuner, tout leur sera refusé, car ni Maman ni moi nous ne pouvons jamais oublier la souffrance indicible de la douleur infligée.
Nous ne l’oublierons jamais.
Les religieux exigent LE PARDON sur commande, et ceux qui se croient « croyants » pardonnent de façade ; je voudrais bien voir s’ils pratiquaient pour eux-mêmes ces commandes religieuses, si chez eux le malheur suprême frappait leur porte, si un assassin leur tue sa mère ou leurs enfants.
Il pourra jeuner, prier et se frapper la poitrine sa vie durant, tout sera vain.
La douleur et l’agonie de Maman le persécutera dans sa conscience par-delà la vie et la mort.
La douleur qu’il a provoquée avec préméditation contre le corps souffrant de Maman sera son tourment permanent à tout jamais qu’il devra subir comme le pire des fardeaux de sa vie.
Le Conseil du Désordre ne l’a pas laissé indemne de cela…
Ce « médecin Traître-Tant » a commis un crime contre l’humanité.
Les portes du Ciel lui ont été hermétiquement fermées à tout jamais depuis ce 18 octobre 2013.
Les portes de l’Enfer lui ont été réservées pour bientôt, pour toujours à lui et à toute sa descendance, pour les siècles des siècles…
Amín
Nadezhda Carmen F. Gazmuri-Cherniak
UN ATTENTAT INSOUTENABLE
ET CAUCHEMARDESQUE
EXIGEONS LA LEVÉE IMMÉDIATE
DE CET HABILLAGE MONSTRUEUX !
Chers Lecteurs,
Ce matin les parisiens tout comme nous autres éloignées de force de Paris, nous nous sommes réveillés en recevant une gifle en plein visage et une poudre sulfureuse aux yeux qui se remplissent d’épouvante et d’horreur face à notre Arc de Triomphe profané par un habillage grotesque qui souille entièrement notre Arc de Triomphe.
Cette vision cauchemardesque de profanation est la souillure réelle et autorisée par les autorités de la mairie de Paris qui ont donné le laisser passer à un crétin de premier ordre qui vient de terroriser l’art plastique en profanant sans vergogne un des symboles les plus beaux et sacrés de Paris.
Ce crétin qui lutte pour se faire passer pour un « artiste » et qui convainc la galerie d’arrivistes incompétents qui remplissent la Mairie de Paris nous dégradent une fois de plus Paris.
Cet attentat déshonorant pour Paris, vient couronner la candidature de celle qui commença la destruction totale de Paris, nous démontre encore une fois son incompétence et bassesse d’esprit, car elle et ses laquais sont ceux qui ont autorisé ce scandale ; ce scandaleux affront parisien devrait révolter tous les parisiens, tous les français, ils devraient se lever et crier en une seule voix pour EXIGER la levée immédiate de ce monstrueux habillage déshonorant de l’ARC DE TRIOMPHE.
Je ne peux qu’écrire ce petit article et vous montrer une toile peinte il y a quarante années, c’était l’ode que j’ai voulu offrir à Paris, quand j’étais amoureuse de Paris, et avec ma peinture je lançais une ode plastique, un poème fait peinture qui florissait entre la Tour Eiffel et l’Arc de Triomphe.
La mairie de Paris précisément, détruisit mes rêves de jeunesse.
Ce matin crions ensemble à Paris pour qu’à notre Arc de Triomphe lui soit restitué toute sa beauté.
Il faut travailler pour que celle qui nous a détruit Paris, ne sorte qu’avec un O% de voix dans les urnes !!!!!!!!
Nadezhda Gazmuri-Cherniak
Artiste-peintre. Dernière héritière encore vivante de l’Ecole de Paris
Fille et disciple du peintre Hernán Gazmuri (1900-1979) disciple d’André LHOTE, Hernán GAZMURI, peintre qui appartient depuis 1983 au PATRIMOINE DE LA France.
La DONATION GAZMURI se trouve au Musée d’Art Moderne de la ville de Paris : www.hernan-gazmuri.com
À présent, question du destin, je suis en train de reprendre ce motif, je travaille une autre grand toile qui sortira de la vision déjà bien mure une vision de Paris où je n’ai vécu que des expériences de vie tragique.