CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

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RÉQUIEM POUR MAMAN

31 août, 2021 (15:27) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

COUVERTURE REQUIEM PARA MAMA         CLARA  TOILE PAR  LE PEINTRE HERNÁN GAZMURI   [TOILE SPOLIEE A  CLARA PAR LE CHILI ]

CLARA

 

                   RÉQUIEM  POUR MAMAN

 

Maman,

Tu étais une créature sublime, la plus belle et émouvante créature qui n’a jamais été créée, tu étais remplie de beauté lumineuse et de silence, tu étais la musique même, créature mélodieuse et douce, c‘est uniquement pour toi que j’écris.

J’ai dû apprendre à survivre sans toi.

C’est depuis que ce perfide assassin le « docteur Traître-Tant » décida de t’assassiner et que ses complices et amis de La Loge, finirent de t’achever le 18 octobre 2013, que je n’écris et ne respire que pour toi.

Ta tombe est prête, tu y es pour l’éternité.

 Ô combien d’exhumations et réinhumations j’ai dû faire, changement de cimetière et de cercueil par trois fois, jusqu’à ce jour, où enfin je peux te donner une sépulture digne pour toi et aussi pour moi, mon caveau est à l’étage supérieur, tu restes là, tu m‘attends, j’ai encore des choses à faire ici-bas … Ma place est réservée. Je veux te rejoindre le plus tard possible, mais sache que je ne laisse rien au hasard. Mon Testament est prêt entre des bonnes mains et mes dernières volontés et mes  toiles et livres mes seuls biens sur terre, gardés en lieu sûr.

Aujourd’hui je vais me recueillir sur ta tombe, aujourd’hui je ne vais rien te dire d’autre que t’assurer que l’assassin principal ne restera pas impuni, que ces trois autres complices seront traînés un jour dans le banissement le plus déshonorant jamais produit par la main humaine, et que j’obtiendrai un jour que ton âme soit en paix, après la torture et agonie indicibles que ce perfide t’infligea, qu’ils t’infligèrent.

Un jour notre calvaire trouvera le repos que nous méritons.

 Je m’y consacre à chaque moment de mon existence, sois-en bien certaine.

Je ne te reparlerai pas de mon Rapport juridique sans Pathos que j’ai dû écrire juste après t’avoir mise en terre, dans ce premier cimetière sombre et boueux, où les collaborateurs des assassins violèrent ta tombe en 2017, juste à la même date de ta mort.

Je ne te parlerai pas de mon Script CLARA, que je t’ai dédié, et que je ferai documentaire très bientôt. Le monde entier saura qu’ici à Paris, le 18 octobre 2013, date de ta mort, des assassins-docteurs assermentés trouvèrent de la jouissance sadique extrême en te  voyant souffrir l’indicible et, emprisonnées entre leurs griffes, nous étions seules dans la douleur insoutenable qui s’éternisa pendant sept jours.

Ce film dira au monde entier combien puissante fut la méchanceté de ce docteur Traître-Tant et de ses complices, pour se concerter et t’anéantir dans la souffrance et la mort.

Tu étais une créature sacrée.

Tu étais une figure de femme, de mère et d’artiste unique, la torture préméditée qu’ils t’ont infligée constitue un crime indicible. Ils jetèrent le sublime à la mort, ce crime devra être connu et puni.

 Ce 18 octobre 2013, je restais avec toi, dans la prison de la douleur, face à ta souffrance, face à la sombre et flagrante matinée de ta mort.

C’est depuis que je reste en souffrance à vie

Ils seront punis par la force silencieuse de l’image et la puissance accablante de la parole, la parole prise de vérité dans un discours qui est accueilli dans le royaume du Pathos…La Poésie.

Nadezhda Gazmuri-Cherniak

 

Parution   octobre 2021

ISBN :  978-2-916501-36-9 978829165001345

10€

 

RÉPONSE A MONSIEUR ONFRAY

30 août, 2021 (22:21) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

LES PSEUDO INTELLECTUELS MÉDIATISÉS

L’ÉRUDITION SERT D’EXCUSE A LA PLUS ABJECTE DES SUPERFICIALITÉS.

 

« […] on ne peut pas continuer à condamner un médecin qui a raté un acte, pour qu’il soit tout de suite mis en prison ! »

                           Michel ONFRAY

( Sur Cnews cet après-midi=

 

Chers Lecteurs,

Le journalisme est antinomique à la littérature, le premier se consacre à écrire sur l’immédiateté, l’écrivain, créateur de fictions, travaille avec l’imaginaire, pour créer un monde nouveau ; tel qu’un démiurge, il créera  en   faisant activement une métamorphose de la réalité.

Le contingent ne l’intéresse point, nonobstant des plus grands romans sont sortis d’un fait réel ou fait  divers,  pour écrire, l’écrivain peut prendre un fait divers et le transformer en littérature, mais il le fera se perpétuer dans le temps et ce fait réel, il entrera métamorphosé dans une éternité par la magie de son acte créateur.

Mais, je ne vais pas m’étendre dans ce liminaire, j’ai évoqué ce phénomène des créations antinomiques  pour deux raisons, la première est inspirée dans la nécessité de critiquer cette bassesse de la création pseudo philosophique qui utilise les medias, pour lancer aux auditeurs une avalanche de niaiseries qu’ils finissent par les accepter, influencés qu’ils sont par la notoriété de l’essayiste ; il s’agit d’une société ignorante qui tombe dans une déplorable attitude béate, contraire à toute gnose bien raisonnée.

La seconde raison qui m’oblige à évoquer ces réalités c’est pour mettre au clair ce qu’est la véritable création intellectuelle d’un vrai philosophe-sociologue qui fait de la critique sociétale. Les plus éminents sont sans aucun doute allemands. Lisez Axel Honneth et vous aurai la réponse.

Les essayiste français qui se disent « philosophes » ils ne le sont point, car un philosophe est le créateur d’un système de pensée, ces « essayistes » français ne sont que de simples essayistes qui écrivent sur le réel sociologique et politique en prenant uniquement l’essence journalistique ; c’est-à-dire des éléments transitoires du réel, sans articuler dans leur analyses les grands axes qui sont les générateurs du bouillonnement au sein de la société.

Ce qu’ls analysent aujourd’hui, ne sera plus demain. Un essayiste de l’éphémère n’existe point.

L’actualité est très riche en ce moment.

Il y a un de ces essayistes qui au cours des années, a pris une place prépondérante dans les médias, il s’agit de Monsieur Michel Onfray.

S’il a créé son université populaire, je suppose que il a donné la parole à « ses élèves », et s’il se montre dans les médias c’est parce qu’il se croit détenteur d’une seule vérité, il doit savoir que ses affirmations  ne sont pas crédibles par tous ceux qui l’écoutent.

Il y a déjà des nombreuses années, il se disait contre la mondanité et le vedettariat, à présent il fait preuve du contraire.

Je ne m’intéresse qu’à une seule chose qu’il a dite ce soir, juste en ce moment sur une chaine. Je m’insurge de manière véhémente contre ses affirmations, il ne restera pas l’écho mensonger de sa phrase, cet article a l’intention de le démentir.

Il a parlé à propos de l’échec du Président de la République dans son programme pour redresser les vices de notre société, il a pris d’un seul trait la liste de ses échecs.

Il fait un rapide historique sur la drogue, l’immigration, les délinquants, les prisons, la police, et à la fin de ce tsunami des vices sociétaux ; il le couronne d’une phrase qui surgit bien soulignée parmi le bombardement de mauvaise critique sociétale ; sa dernière phrase m’a laissée ahurie par la conviction féroce qu’il a employée dans son expression lancée par l’air médiatique.

Il a affirmé qu’il ne peut pas exister une société sans prisons, sans délinquants et […] on ne peut pas continuer à condamner un médecin qui a raté un acte pour qu’il soit tout de suite mis en prison »

Je reproduis presque par cœur sa phrase.

Ce monsieur essayiste, s’octroie un pouvoir de parole sans aucune connaissance sérieuse sur les fautes et les erreurs médicales, volontaires ou pas ; qui lui permette l’insolence de nous affirmer publiquement une telle déclaration.

Un intellectuel sérieux doit parler en public avec des preuves factuelles, ce qui m’ahurit est que la galerie reste bouche bée devant ses affirmations.

Je lui lance cette question publique, car c’est un domaine que je connais très en profondeur et, vous le savez.

Monsieur Michel ONFRAY, quel est votre champ de connaissance sur le problème médical en France pour oser nous dire qu’en France dès qu’un médecin rate un acte il est ipso facto mis en prison ?!!!

Votre narcissisme d’intellectuel m’effraie.

Vous vous êtes permis du fait de votre érudition et abondante écriture de traiter de tout problème sociétal sans retenue, et croyant que d’une phrase le sujet a été abordé et analysé en profondeur.

Cette phrase pourrait bien servir de sujet de cours de philosophie critique.

Écrivons-le sur le tableau et commençons la dialectique.

J’étudie depuis des années la philosophie critique, les philosophes de l’Ecole de Frankfort sont mes maîtres, et  dès que j’étais une toute jeune étudiante  de  seulement dix-sept ans de la faculté de pédagogie de Santiago du Chili,   à cette époque-là dont  je m’en souviens avec mélancolie, j’eus un 100% comme note finale pendant  tout mon cursus de cinq années ; là-bas un professeur  se forme en cinq années durant lesquels il y a des matières complémentaires et, non en trois années de licence pour sortir ignorant et devoir « passer un Capes », qui est aussi  mauvais que le cursus  !

J’ai poursuivi cette voie critique comme une des plus fidèles et ferventes élèves, mais il faut savoir que ces éminents philosophes et sociologues  de la théorie critique, argumentaient toutes ses analyses, oui, certes,  aucun fait qui se produit dans notre société, n’est banal, et  mérite d’être étudié et analysé par la voie critique.

« Les médecins qui ratent un acte l’on veut tout de suite, les mettre en prison »

Qui veut les mettre en prison Monsieur Onfray ? Par logique une victime, où les survivants d’une victime morte entre les griffes des médecins assassins !

Qu’est-ce que c’est pour vous « un acte médical raté » ?

C’est un programme télévisé la maltraitance sur un patient ?

Ce sont des mondanités pseudo critiques celles qui vit une malade aux urgences ?!

Tout ce que vous dites est faux. Votre affirmation l’est tout comme la  défense injustifiée dont vous faites allusion devant la caméra.

Ceux qui tentent un procès pour punir des médecins « qui ratent un acte » comme vous le simplifiez d’une si ignoble manière,   ils ont des raisons justifiées et tragiques pour vouloir  accuser et condamner leurs actes criminels, et la prison est le lieu qu’ils méritent et non après des années d’attente, il devraient être accusés en référé et  incarcérés ipso-facto, tel que des terroristes, car ils le sont quand ils privent de soins à une malade !

Il est dit qu’en France, même l’avocat le plus chevronné dans la spécialité de justice pénale-médicale, n’arrivera jamais à mettre en prison des médecins assassins. Ceci est vrai.

JAMAIS.

Il existe une chambre collégiale qui est active pour les défendre, la confrérie défend ses pairs, et AUCUN d’entre eux n’ira jamais en prison monsieur Onfray, nos  intentions de les punir restent sur l’écrit.

Pour certains dommages corporels avérés, qui ont pu se prouver, les assurances se chargent de payer les victimes et les survivants, nommés victimes par ricochet ; c’est ainsi qu’on peut leur assurer la poursuite de leur exercice en dépit de leurs erreurs ou crimes commis en catimini.

Un dommage corporel ; l’oubli du matériel dans le ventre d’un patient, ou une infection nosocomiale prouvée, sont les seuls « actes ratés » comme vous dites, qui sont parfois une récolte fructueuse pour certains avocats qui ont été bien rémunérés par leurs clients, car ceux qui acceptent un procès pénal-médical sont tous IGNORANTS  en la matière, il s’agit des jeunes prétentieux qui débutent  et avec la pire des intentions : laisser le client désargenté dépourvu de vraie défense, car s’adonner à le défendre EXIGE DU TRAVAIL SÉRIEUX et, comme ils sont mal payés par l’Etat, ils se  désengagent avec un manque de déontologie criminelle. Le Bac pour tous et ensuite l’université pour tous nous ont donné cette avalanche de médiocres et criminels au sein des professions libérales. Les professions intellectuelles sont également remplies de médiocrité, cependant le crime est abstrait. George Steiner parle de véritable crime, quand un mauvais professeur produit de l’ennui chez ses élèves ; je dois ajouter qu’un faux sociologue commet un crime quand il lance des fausses affirmations de ce calibre au public.

L’Aide Juridictionnelle contribue à cette prostitution d’une des plus nobles des professions libérales que j’avais la ferme intention de la faire mon deuxième cursus de retraitée ; il y a deux années, j’ai été acceptée au sein de 5 facultés de droit, par mon mérite, par la qualité de mon dossier de candidature, mais l’éminent Doyen d’une d’entre elles, une des plus prestigieuses de Paris, m’a refusé ma demande de bourse, j’étais « trop vieille » bien entendu !

Je serais déjà en troisième année de droit.  La raison qui me motiva à devenir avocate, vous chers lecteurs, vous pouvez la deviner…M’occuper de mettre en prison ou bannir le docteur Traître-Tant et ces trois complices qui torturèrent et assassinèrent ma mère.

C’est cela le vrai contexte pénal de l’injustice médicale des actes ratés commis pas vos médecins que vous défendez Monsieur Michel ONFRAY ; vous restez sans maîtriser un des sujets des plus graves, les « acte raté »  est une chose et une autre est la liberté dont ces médecins jouissent pour commettre des assassinats volontaires.

Quand on a comme responsabilité professionnelle la vie des patients malades ou des « clients », victimes des injustices, ni le médecin ni l’avocat n’ont pas le droit à l’erreur.

Et, quand des médecins deviennent des terroristes qui commentent des actes abjects de maltraitance et d’assassinat, ils doivent aller en prison.

Votre légèreté dans vos affirmations est un véritable attentat à la vérité de la philosophie critique et une second affront aux victimes, non des « actes ratés » mais de la criminalité organisée d’une certaine mafia introduite dans la profession médicale ; ceux-là Monsieur Michel ONFRAY, nous devrions les mettre en prison et ipso facto.

Mais éradiquer le monde mafieux en France, est illusoire, car il faudrait un vaste programme culturel et politique que cette société post moderne, née de la mondialisation ne produira jamais ; elle est noyée dans l’ignorance produite par son Education Nationale qui a effacé des programmes la pensée critique.

Cet article je vous le dédie, il est né de ma révolte à vous entendre défendre « les médecins qui commettent des actes ratés », il résume presque  tout ce que je devais vous dire Monsieur Onfray ; obligée par un devoir de vérité et d’éthique,  ces deux valeurs  qui vous font grave défaut.

Nadezhda Gazmuri-Cherniak

 

 

CATHARSIS?!

24 août, 2021 (03:27) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

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          CATHARSIS ?!

 

Chers Lecteurs,

Quand un professeur se trouve face à des ignorants ou des idiots volontaires, il doit faire preuve d’un calme strict par des raisons de déontologie, ce qui prime est la transmission du savoir, or si après avoir déployé tous ses efforts pour les  extirper de l’ignorance, quelques-uns persévèrent pour rester dans l’erreur, à ce momnt là, le professeur ne peut plus rien faire pour eux, ces cas sont rarissimes, car les élèves  quand bien même s’entêtent pour rester dans l’ignorance, ils savent qu’ils doivent faire leur cursus, leur avenir est compromis et leurs opinions superficielles seront vite éradiquées.

Dans la vie réelle, en dehors de ce contrat partagé où au sein de l’école où il y a un seul un socle en matière de transmission de la connaissance ; le professeur qui donne son savoir et les élèves en formation qui le reçoivent, les choses se compliquent.

Je cite George Steiner : « je sais presque tout, vous ne savez presque rien, cette année nous allons essayer de niveler tout cela »

Dans notre vie de tous les jours, au sein d’une sociéte de plus en plus ignare et qui se complait de se fondre dans une ignorance absdsolue, notre désarroi est permanent ; il faut savoir que dans cette France ignorante il n’y qu’un seul coupable, le ministère de l’Education Nationale qui a metamorphosé la France en une nation d’ignorants contents de l’être.

Il vaut mieux s’écarter de cette société, et ne pas avoir affaire avec elle ; c’est ce que je fais.

Bon nombre de domaines de la connaissance ne sont pas enseignés et les professeurs de l’enseignement secondaire ne sont jamais à même de les maitriser, à l’université la quantité de sorbonnars est déplorable, ce sont des sujets qui n’entrent pas dans les programmes de l’enseignement public, il faut se rendre aux lycées privés de première catégorie, où vont des professeurs chosis qui sont preparés pour enseigner des question philosophiques voire esthétiques, et qui ont une place de privilège dans leurs programmes, ensuite ces élèves formés dans ce cadre-là savent se protéger, ce n’est pas avec ce type de classe sociale que je rencontre des heurts et dont les incompréhensions se reproduisent à l’infini restant le sujet comme une éternelle aporie ; c’est ce qui se passe à présent avec mon livre CLARA.

Et, ce problème surgit dans deux cas dont je dois vous parler ce soir, je serai brève, le premier incombe les raisons qui forcent un artiste à la création ; la plupart des gens sont convaincus que l’artiste est un rêveur ou quelqu’un qui nécessite faire sortir une sorte d’inspiration instantanée et qu’il lui suffit prendre le stylo pour commencer à écrire ce qui lui plaît, bon à présent personne ne parle de prendre la plume, ce sot les ordinateurs qui commandent notre vie, personne ne sait ce que signifie écrire une lettre,  la déshumanisation est presque totale.

Il est de même sur la création picturale, les gens disent des idioties insupportables en dépit d’être des professionnels à part entière, du moins c’est ce qu’ils prétendent nous faire croire. En les écoutant je constate qu’ils maîtrisent à peine leur domaine et qu’il est bien limité, en dehors de leur specialité, leur ignorance est abyssale.

Ils nous disent que pour leur exercice profesionnel les questions esthétiques sont inutiles ! Deux exemples, la plupart du temps même les plus cultivés sont convaicus que « le peintre peint comme chantent les oiseaux », je prends la phrase d’André Lhote qui le dit magnifiquement bien dans son Traité du paysage.

Avec une citation d’André Malraux, je vais clore la question à titre liminaire de la seconde question que je dois exposer ici à propos de mon livre CLARA.

« L’artiste ne crée pas pour s’exprimer, il s’exprime pour créer. »

 Quand  d’aucuns mes disent ceci : « Cela vous a fait du bien de l’écrire »

Je m’insurge face à une telle déclaration déroutante, équivoque et superficielle.

Ce livre n’est  pas  la recherche de catharsis !

 Il est une construction qui a un but : dire au monde ce que signifie pour un être humain dans cette France de faux droits de l’homme, assister à l’assassinat de sa mère par des médecins français.

L’écrire fut une double souffrance, la première se concentre dans l’effort de surmonter la douleur du souvenir, qui est toujours présent, au même rythme de notre respiration, mais qu’ il faut le construire dans un ordre parfait ; et la seconde fut la souffrance qui se dégage dans l’effort de rester  figée dans un équilibre raisonné, pour faire un récit de témoin en retrait, pour ne donner rien d’autre que les faits et en détail, la vérité doit être dite de la manière la plus claire que possible, mais avec un objectif précis, faire comprendre aux autres qui n’ont jamais eu ce vécu, le crime de leur mère,  l’ampleur d’un tel crime dans cette société française.

Je l’écris parce qu’il était de mon devoir de venger le supplice que ces monstres infligèrent à Maman, une fille qui ne s’efforce pas de venger comme il se doit l’assassinat de sa mère est un monstre, je ne le suis pas ; il était de mon devoir de dire au monde la vérité qui m’a interdit la « justice française. » Venger, ce mot éveille un refus chez les imbéciles ; dans le cas de la torture et assassinat de notre mère, la vengeance est l’exigence première de châtiment immédiat pour les assassins. L’apaisement relatif, que l’on doit à la victime, la vraie victime est la Maman assassinée, l’apaisement comme le deuil pour les survivants sont nuls et la CATHARSIS ici n’a pas lieu.

Assister à ce crime n’est pas du théâtre, mais l’horreur absolu dans la vie réelle.

Vengeance …C’est l’application du châtiment conforme au délit, la seule exigence qui contient le mot vengeance.

L’aporie se poursuit de même à propos du personnage « le psychiatre » ; ilne m’a pas reçue pour me faire ni une psychanalyse ni une psychothérapie, je suis allée à sa recherche pour trouver la réponse à mes convictions sur l’assassinat de Maman de la voix d’un éminent scientifique ; je devais lui étaler les détails de l’infarctus de Maman, et de chaque action infâme du « docteur Traitre-Tant » et de ses complices. Un avocat est un ignorant des questions médicales, aucun avocat ne pouvait m’écouter, et les médecins n’ont pas le temps et ne veulent pas s’impliquer, aucun de ceux que je connaissais n’allait se compromettre ni acquiescer en accusant ses confrères. Je devais confronter ma version du crime avec un scientifique indépendant, sans aucun parti pris, à l’écoute de la vérité et qui serait le seul à analyser chaque faute et les actions des mains assassines qui abatturent Maman inspirés de la barbarie la plus infame. J’ai réussi à corroborer mes analyses grâce à ce spécialiste qui m’a lue, conseillé et donné son savoir de médecin. La confrontation des faits médicaux n’est pas une psychotérapie.

Mes connaissances en matière de médecine étaient limitées uniquement à la vie et dossier médical de ma mère, pour tout le reste je n’ai que la connaissance médicale basique qui possède toute personne cultivée. Le dialogue avec ce Docteur-Psychiatre expert gérontologue était nécessaire pour moi avant de débuter la lutte judiciaire, qui n’a pas eu lieu, cette conversation était pour moi capitale.

 Le Rapport juridique de 300 Pp. que j’ai écrit en 2013, n’a rien à voir avec mon Livre-Script CLARA. Sept années les séparent ; leur but est totalement opposé. Dans le Rapport juridique le nom du « Docteur Traître-Tant » est clair et nettement signalé comme doit l’être une accusation devant la « justice », car je l’accuse avec des preuves; dans ce rapport je donne des informations et des détails sur l’infactus et l’agonie de Maman que je ne pouvais pas dévoiler dans mon Livre CLARA, c’est pourquoi, il a été conçu pour devenir un film, le pouvoir de l’image dira ce que mes mots ont eu l’obligation de taire parce que les mots seraient pires que l’image.

Il est de même le cas de l’assassin Chef de Service du 5ème étage et ces deux autres complices de cet hôpital parisien. Dans mon Livre Script CLARA, par des raisons logiques, aucun nom n’est dévoilé, la loi me l’interdit. Cela n’a aucune importance à ce stade où je suis. Le temps dira son dernier mot.

Etant donné que ceux qui me liront ou qui m’ont lue n’ont pas vecu l’assassinat de leur mère, il serait nécessaire de leur dire de se taire et s’ils ne peuvent pas y parvenir il faudra qu’au moins ils retiennent ceci :

La catharsis n’existe pas dans aucune action qui réalise l’enfant qui a vécu la souffrance de l’assassinat de sa mère.

 Quand bien même certains psychiatres ont emprunté ce terme de purge de l’âme pour parler de catharsis psychologique, cet emprunt n’existe pas en matière d’assassinat d’une Maman, il faut accepter que nous le vivions comme un traumatisme de guerre, c’est une mutilation à vie. La résilience, voilà ce que j’accepte comme une vérité absolue, totalement vraie ; mais pour y parvenir ce n’est pas grâce à « un travail » exogène, c’est uniquement grâce à nos propres ressources et dons génétiques de résistance face aux tragédies irréversibles, et aussi grâce à une bonne dose d’amour à la vie. Je n’ai jamais pris un anxiolitique de ma vie, j’abhorre les béquilles ontologiques et matérielles, et j’ai supporté mes deux deuils les plus atroces à vif sans l’aide de personne.

Et, avant de fermer cet éclaircissement, vous devez savoir que la meilleure preuve de santé mentale est l’écriture d’un livre et la création picturale bien faite,  aucun fou n’est capable de créer, car la création esthetique est rationnelle et necessite una capacité d’intelligence, d’analyse et d’abstraction intellectuelle que celui qui a perdu la raison est incapable d’accomplir, l’Art véritable exige une transfiguration de la réalité, comment voulez-vous que celui qui vit en dehors de la réalité soit-il capable en plus de la « transfigurer » ?

Merci de votre lecture.

Nadezhda Gazmuri-Cherniak

 

 

LE PEINTRE HERNÁN GAZMURI, SEUL PEINTRE DANS LE CATALOGUE D’ANDRÉ LHOTE (WIKIPEDIA)

17 août, 2021 (09:43) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

L’HOMMAGE A ANDRE LHOTE  HERNAN GAZMURI(1900-1979) DONATION GAZMURI 1980

Image sortie de la page Wikipédia d’André LHOTE.

 

REMERCIEMENTS

 

 

A celui ou celle qui a eu l’intelligence et la générosité d’inclure dans le catalogue dédié à André LHOTE la photo de la toile  HOMMAGE A ANDRE LHOTE; acceptée par le musée sous les hauts conseils de l’Académicien Monsieur René HUYGUE, je le cite:   » […] avec cette donation la France complète ses Collections de l’Ecole de Paris » offerte par CLARA, la veuve du peintre, au Musée d’Art Moderne de la ville de Paris en 1980; et arrivée en France en 1983, je lui adresse mes plus vifs remerciements, pour cette reconnaissance tardive.

Il va falloir comprendre d’une fois pour toutes, que le peintre Hernán Gazmuri est entrée depuis dans le patrimoine de la France, et moi en tant que disciple du peintre, ne déplaise aux fonctionnaires de la Mairie de Paris, je ne cesserai jamais de faire valoir ma filiation indélébile à l’Ecole de Paris, comme la seule héritière encore en vie qui a la chance de maintenir vivante les INVARIANTS PLASTIQUES D’ANDRÉ LHOTE, que j’ai reçu en héritage du peintre Hernán Gazmuri, mon père et maître en peinture.

 

Nadezhda C.Florence GAZMURI

La fille et disciple du peintre Hernán GAZMURI

 

REEDICIÓN DEL LIBRO EL PINTOR HERNÁN GAZMURI DISCÍPULO DE ANDRÉ LHOTE, EL HEROÍSMO DEL PINTOR VÍCTIMA DE UNA INFAMIA

15 août, 2021 (10:46) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

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EL PINTOR HERNAN GAZMURI

PORTADA EL PINTOR HERNAN GAZMURI

 

REEDICIÓN DEL LIBRO

   EL PINTOR HERNÁN GAZMURI

 

 

           EL HEROÍSMO DEL PINTOR    

 

 

           VÍCTIMA DE UNA INFAMIA

 

LA TRAYECTORIA DE UNA PERSECUCIÓN ARTÍSTICA.

 

 

“Yo llegué a Paris no a perfeccionarme en pintura, sino a tomar conciencia de la revelación de la pintura moderna en el taller de LHOTE”

                                Hernán Gazmuri

                                  (1900-1979)

 

Estimados Lectores de lengua hispana,

¡Qué tiempo ha pasado entre la fecha en que publiqué este libro, en junio del 2006, dedicado a la memoria del pintor Hernán Gazmuri y esta segunda edición en 2021!

La verdad que “el tiempo” no existe, más él tiene la virtud de ser inmóvil, somos nosotros los que pasamos, ¡pero usamos tranquilamente este lugar común que nos hace exclamarnos: “¡Oh, pero como ha pasado el tiempo!”

Cuando es nuestro único cambio biológico el que nos lleva inexorablemente hacia la tumba, el único cambio perceptible y visible, y al final es lo único que cuenta.  Es por eso mi premura que me obliga a trabajar, desprovista de recursos económicos, sin ayuda de nadie, llevando una vida de ermita, desde al asesinato de Mamá en 2013, para editar esta segunda edición revista y aumentada, ya que un suceso importante se produjo en 2017: LA DONACIÓN GAZMURI al Museo de Arte Moderno de Moscú, al que le cedi todos los dibujos y las pocas obras que pude guardad y rescatar del pintor;

No teniendo más familia en el mundo y sin descendencia, mi obligación es de pensar en qué manos honestas y serias debía dejar la herencia que me fue confiada. No se dejan perlas a los cerdos, y fue así como reparando errores pasados, y siguiendo los antiguos consejos de mi madre, la DONACIÓN GAZMURI fue un hecho, y luego supe que los conservadores tuvieron el profesionalismo y la delicada atención de informarme que una joven señora experta fue encargada de catalogar todos los valiosos documentos que les cedí; donde el Certificado de André LHOTE recomienda al pintor Hernán Gazmuri como un talento que debe ser ayudado. Supe además que las obras que necesitaban ser restauradas pasaron entre manos expertas. Spasiva!!!

Es necesario aclarar definitivamente el porqué de este libro.

El pintor Hernán Gazmuri, huyó Chile asqueado de la miseria e ignorancia pictórica de ese país. Es falso lo que pretenden los historiadores de la pintura chilena que hacen creer que existía a comienzos del siglo XX una “tradición pictórica en Chile”, lo único que pintaban, sin teorías, sin conocimiento de lo que es la pintura moderna, era una pintura de bazar, realista que representaba vacas pastando en el campo. El tema de predilección fue el pasturaje hecho de la pintura más burda, realista y mediocre.

Hernán Gazmuri ahorró dinero, y de sus escasas economías gracias a su trabajo y vino a Paris para trabajar en el Taller Libre de André LHOTE. El propósito de este libro es doble, primero desmitificar y borrar las calumnias que lo persiguieron toda su vida.

 ¿Por qué ese odio y persecución artística?

La razón de ese acendrado odio esta explicado en este libro, que hace el recorrido con apoyo de artículos de prensa, de la trayectoria de la envidia, del sadismo de la oficialidad chilena desde su regreso forzado en plena época de la crisis de los años 30.

El artículo del historiador y crítico Víctor CARVACHO pone de manifiesto en pocas palabras el resumen de esta infamia contra el pintor Hernán GAZMURI, lo cito:

Víctor CARVACHO

Me propuse hacer un rápido recorrido de su biografía, que de simple y humana, raro en esta época, raro en la suya;  no tiene ningún interés espectacular del que se vanaglorian los historiadores, lo que tiene de revelador es, usando sus propias palabras, es que un muchacho de 28 años, solitario,  con el ahorro de sus escasos recursos económicos, loco por la pintura, decida venir de Chile a Paris en busca de una verdadera formación pictórica, que se haya dado cuenta solo, sin ayuda ni consejo de nadie, no solo del vacío, ignorancia y carencia de teorías plásticas de su país de origen, sino de que huir de ese país para venir a Paris, era la única manera de ser pintor.

 “Yo llegué a Paris no a perfeccionarme, como dicen los esnobs, sino a tomar conciencia de la revelación de la pintura moderna en el taller de Lhote”

El arte tiene la misión de dar la eternidad a la obra creada, este libro tiene el único propósito de dejar inscrita la verdad sobre el pintor para la eternidad, nadie podrá nunca más seguir insistiendo en sus calumnias sobre su biografía y su obra.

Decidí no buscar ni leer nada más sobre lo que se escribe, y publica sobre H. Gazmuri; ¡todo lo que encuentren en el Web ES FALSO!

Yo no tengo alma de mártir y ni el más mínimo trazo de masoquismo; bien por el contrario. No tengo ningún interés de envenenarme el alma; que este libro sirva a los investigadores; tendrán todo el material necesario, yo ya he cumplido mi misión de VERDAD y  este libro dedicado al pintor Hernán Gazmuri, mi padre y maestro, destierra para siempre las mentiras y calumnias acerca de su vida y de su obra; lo único que merece ser retenido es que H. Gazmuri fue el “pionero del Arte Moderno” en Chile, como lo calificó el Académico René HUYGUE en 1945, cuando viajó a Latinoamérica y tomó conocimiento del Arte de Gazmuri, esta crítica aparece en la Revista América. Lo primero que hice cuando llegué a Paris, fue tomar contacto con este solemne Señor, un príncipe del análisis pictórico, dotado de una fineza de análisis insuperable.

Este libro esclarece verdades, pone de manifiesto la única verdad que debe ser retenida acerca del pintor Hernán Gazmuri; su total independencia artística, su única filiación estética incontestable que es LA ESCUELA DE PARIS, tomando la frase de René Huygue:

“Grace a la donation Gazmuri, la France complète ses Collections de l’Ecole de Paris”

Sepan que ningún otro pintor ha entrado en el Patrimonio francés y que ningún otro ha tomado el lugar de privilegio que le correspondía al lado de su maestro André LHOTE y junto a todos los otros pintores de l’École de Paris. En 1983 el pintor Hernán Gazmuri entró en el Patrimonio francés.

Estoy segura de haber logrado mi misión.

Puedo morirme tranquila.

Este libro lo publicaré en edición bilingue francés español, estoy trabajando mi propia traducción.

Sera publicado en noviembre, fecha en que se cumplen 42 años de la muerte del pintor Hernán Gazmuri.

 

Nadezhda Gazmuri-Cherniak

www.hernan-gazmuri.com

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

LE PEINTRE HERNÁN GAZMURI RÉÉDITION REVUE ET AUGMENTÉE 2006-2021

14 août, 2021 (19:03) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

COUV HERNAN GAZMURI

Première édition 2006.

 

Chers Lecteurs,

AVERTISSEMENT

Ce livre en défense de la mémoire du peintre Hernan Gazmuri je l’ai édité à mon compte d’auteur en 2006.

Je n’ai édité que 10 exemplaires. Je n’ai jamais rien vendu. Jamais.

Il est important de faire savoir que l’imprimeur de l’époque  est un escroc, si par hasard un jour vous trouvez un ancien exemplaire; il a commis à mon encontre l’escroquerie du siècle, se faisant passer de simple imprimeur à « éditeur », il s’est auto-nommé EDITEUR , donc il a commis une double escroquerie, volant et violant un statut juridique qu’à l’époque il n’en avait point.

En 2009 quand j’étais avec Maman à Colmar, j’ai reçu un appel d’une connaissance qui m’avertit que mon livre se trouvait en vente à la FNAC, Chapitre etc, toutes les multinationales le vendaient, et depuis 2006;  comment aurais-je pu imaginer une telle escroquerie? « La justice française » ne fait aucune recherche dans ce type d’escroquerie, la plupart du temps les avocats s’échangent des dossiers, des mensonges écrits à l’appui des articles de loi, les rapports?  ils les rédigent en 24h et un jour avant la convocation, les clients avec l’aide Juridictionnelle nous sommes les méprisés et devons les supporter, sauf  qu’à présent, je sais me défendre de touts les escroqueries. Plus jamais ça!

L’expérience sert énormément, ces avocats… Ô combien je les connais! Il s’agit d’un autre type d’escroquerie, c’est une escroquerie morale.

Les rapports, il les rédigent à la dernière minute, à la va vite, et l’avocat de l’époque à fait de même, je n’ai pas obtenu des dommages et intérêts, c’est le résultat que l’on obtient avec l’aide Juridictionnelle. Je  commençais à connaître ce monde mafieux de l’A.J. Il se sentent supérieurs, la fausse supériorité des professions libérales. Un véritable avocat EXIGE que le juge fasse un contrôle judiciaire exhaustif dans la comptabilité de l’escroc-imprimeur, combien de livres avait-il vendu?

Cet escroc m’usurpe mes droits d’auteur, et déclare  sur son site qu’il a été l’auteur de la quatrième de couverture et  se met à vendre mon livre sans contrat évidemment  ni mon autorisation. Et, une fois que je l’emmène devant le juge, il reste sans aucun contrôle judiciaire.

Le citoyen le plus ignorant sait que le plagiat est condamné, tout comme la violation de la propriété intellectuelle et les droits d’auteur.

La personne la plus ignorante sait que voler les droits d’auteur, et vendre un produit, un livre, ce qui signifie faire du commerce avec le travail d’un tiers, sans contrat ni d’autorisation; ce vol est un délit, les peines qui encoure un voleur de ce type sont très lourdes en années de prison et en sommes d’argent qu’il se doit de payer  à la victime.

J’étais et je suis auteur indépendant; je possède mes ISBN , je garde ma propriété intellectuelle et mes droits d’auteur.

Plus jamais d’imprimeur, plus jamais d’avocats!

A  l’époque j’étais déjà auteur indépendant, affilié à l’Afnil. cet imprimeur débutait dans le monde de l’impression numérique et j’avais fait appel à lui comme simple imprimeur. J’avais gardé les preuves  en l’espèce et je les garde encore précieusement, toutes mes factures payées pour l’impression de mon livre. Après celui-ci, pour mes autres livres, je suis tombée sur un deuxième escroc, en date de 2010; celui-ci siège en Allemagne. Encore une fois, une personne m’avait annoncé qu’elle avait trouvé  un de mes livres en vente sur le site d’Amazon.

Une simple lettre de mise en demeure a servi pour qu’il le retire du site d’Amazon, il  dit « produit indisponible » on verra, à présent je le surveille.

En 2009, j’ai porté plainte contre le premier escroc.

Quand le juge lui demanda: « de quel droit avez vous mis en vente le livre de Madame Gazmuri sans autorisation ni contrat?

Il lui répond avec la nonchalance des escrocs: J’avais un contrat. Le juge lui répondit: « où est ce contrat? »

« J’ai perdu le contrat… »   Il n’y en avait jamais eu !

C’est le monde français de la prostitution et commerce de l’édition! Il est de même dans le vedettariat  de la vente des toiles.

La même prostitution de l’Art se poursuit de par le monde!

Ce livre dédié au peintre Hernán Gazmuri sera réédité en version bilingue français espagnol.

Nadezhda Gazmuri-Cherniak

CLARA VERSIÓN EN ESPAÑOL PROXIMAMENTE

13 août, 2021 (12:32) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

CLARA

 

EN PREPARACIÓN LA VERSIÓN EN ESPAÑOL  QUE SERÁ ENVIADA A TODOS LOS PAÍSES DE LENGUA HISPANA.

     PORTADA CLARA                                  CONTRAPORTADA CLARA 

 

L’ATELIER D’ANDRÉ LHOTE ET LE PEINTRE HERNÁN GAZMURI: LA DECOUVERTE D’UNE PHOTO

13 août, 2021 (00:46) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

LE PEINTRE HERNÁN  GAZMURI DANS L’ATELIER DE LHOTE, RUE D’ODESSA

           ‘L’HOMMAGE A ANDRÉ LHOTE 

MUSÉE D’ART MODERNE DE LA VILLE DE PARIS    LA « DONATION GAZMURI »

 

NU A LA GRANDE CHAUMIERE TOILE DE NADEZHDA GAZMURI

   

NU A LA GRANDE CHAUMIERE  TOILE DE NADEZHDA GAZMURI

 

 

 

      L’ATELIER   D’ANDRÉ LHOTE

 

 

   ET LE PEINTRE  HERNÁN GAZMURI

          PARIS 1928

 

Chers Lecteurs,

Le hasard…l’on dit que le hasard n’existe pas… En fait c’est en cherchant des critiques sur l’exposition d’artistes peintres juifs de l’Ecole de Paris, au MahJ que les critiques regroupent comme s’ils avaient été les seuls peintres de ce que l’on nomme l’Ecole de Paris, où le nom du plus grand peintre et théoricien du cubisme que fut André LHOTE reste comme un absent absolu. Et, cette ignorance volontaire n’est pas exclusive de cette exposition, il s’agit d’un silence programmé. Pourquoi ? Les jalousies et les haines dans le milieu de l’art, l’est pareillement dans la peinture, car il y existe un des plus virulents sentiments d’infériorité, les exposants actuels, je les appelle les exposants de la prostitution de l’Art, les exposants du vide.

Bon, vous me direz, André Lhote a été une exception…Il était cubiste, etc., le terme Ecole de Paris a été tergiversé et utilisé au gré des intentions particulières des critiques. Si vous restez sur Wikipédia, vous ne ferez que renforcer l’ambiguïté, les dictionnaires sont utiles, j’en conviens, mais il va falloir approfondir. Qu’en pensez-vous ?

Je m’en vais alors chercher son nom pour vérifier si le désir de cette post modernité française de l’ignorer volontairement persiste et, Ô grand surprise ! et une des meilleures dans cette sombre période, je trouve un

miracle, je rencontre l’Association André Lhote et une photo  de Lhote avec ses élèves dans son académie, où au fond se trouve le peintre Hernan Gazmuri, photo que je n’ai pas, alors pour ceux qui persistent

dans leur haine et mépris, voici une nouvelle preuve, d’une part que je suis la fille du peintre Hernán  Gazmuri www.hernan-gazmuri.com, et d’autre part et le plus important message à la Mairie de Paris : vous devez accepter en dépit de votre mépris que je suis la seule disciple qu’il a formé dans les plus purs principes des Invariants Plastiques d’André Lhote, donc je suis la dernière héritière encore en vie de la plus prestigieuse Ecole de peinture moderne française, appartenance que je revendique, car mon maître, le disciple d’André Lhote, le peintre Hernan Gazmuri, m’a laissé en héritage une formation et une mission que je lui ai promis de prolonger.

Je reste et travaille au jour le jour dans la lignée picturale de cette appartenance que vous ne pourrez jamais effacer et pour maintenir ce lien indissoluble, j’ai fait le sacrifice d’un compromis de vie pour l’art, ce que vos « artefacts » du vide, ne réussiront jamais, ; ils resteront nonobstant comme les exposants du Néant plastique.

Je prépare un article sur les deux principaux tableaux de MODIGLIANI que j’eus la chance d’aller voir hier au MAHJ ; une pure merveille qui laisse un témoignage éternel de la vraie peinture ; détrompez-vous, elle n’a ni religion ni d’autre appartenance que leur attache aux Invariants plastiques.

 

Nadezhda Gazmuri-Cherniak

 

CLARA LIVRE-SCRIPT

11 août, 2021 (18:45) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

CLARA LIVRE-SCRIPT

 

 

CouvertureClaraCorepPDF (3)

 

 

 

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BANNISSEMENT EXTRAIT DU LIVRE-SCRIPT CLARA

4 août, 2021 (06:54) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

       BANISSEMENT

 

Détrompez-vous, ce Livre-Script destiné à devenir un film, ne raconte pas mon « histoire personnelle » de l’assassinat de Maman, non, quand bien même je fais le récit de la mise à mort de Maman dans l’espace de sept jours, ce récit à une intention universelle.

La torture préméditée d’une personne âgée, souffrante, incapable de se défendre, qui es torturée par un faux médecin et ensuite aidé dans la mise à mort par ses confrères et amis, il est indubitablement un acte terroriste et sauvage perpétré avec l’intention de la faire souffrir et de lui donner la mort.

Est-cela possible en France ? Ce Script en donne la réponse.

Ce Script veut dire au monde la mise à mort sauvage de ces assassins sur le corps souffrant de Maman. Ce Script devra effectuer le banissement du « docteur Traître-Tant » que l’administration juridique française m’interdit depuis 2013 ; ce Livre-Script remplace ce droit qui me revient en toute justice, car ce crime abject contre CLARA reste impuni.

Ce Script est un banissement ABSTRAIT de l’assassin N°1 qui s’opposa à l’hospitaliser et laissa Maman souffrante en lui refusant les soins d’urgence, sachant pertinemment que sans opération chirurgicale, elle souffrirait une perforation suivie de l’hémorragie massive ; les étapes cliniques inéluctables d’un infarctus mésentérique. Non, ici il n’y a pas eu de « faute médicale ». Le « docteur Traître-Tant » aidé par son complice et confrère, l’assassin N°2, le docteur Z. Chef du Service du 5ème étage de l’hôpital D. qui soutenu et amplement aidé par son équipe médicale ; œuvrèrent pour finir d’achever Maman dans ces trois derniers jours d’agonie ; ils s’enfoncèrent sur elle comme des véritables sauvages terroristes. Ces trois jours d’agonie furent orchestrés par le chef de service Z., sans que personne n’entre dans sa chambre, sans d’autre témoin oculaire que moi-même… « Parole contre parole ? » Ô non ! Je possède toutes les preuves en l’espèce de leur culpabilité absolue, je suis en possession de toutes les preuves que Maman, contrairement à ce qui disent les mensonges de leurs rapports juridiques, CLARA était en bonne santé la veille de son infarctus.

Que dirent les avocats de ces 4 assassins ? ils affirmèrent que CLARA était depuis longtemps aphasique, anorexique, anémique, son corps remplit d’escarres, ils assurèrent que je leur ai confiés une Maman abîmée, et « en fin de vie ». Ces mensonges monstrueux, je les ai bannis avec mes preuves. Et, le Certificat médical ci- joint confirme non seulement ma parole de vérité, il  justifie mon accusation catégorique.

La meilleure preuve : la veille de son infarctus, nous étions dans la terrasse d’un café d’avenue de la République. Et de retour chez nous, elle mangea son repas comme tous les soirs.

Une fille sort sa Maman dans son « fauteuil coquille » pour faire une promenade et  restent à la vue de tous dans la terrasse d’un café si elle est « en fin de vie ? »

Ces Mensonges abjects, greffés à leur violation du serment de déontologie font preuve d’une méchanceté au degré extrême.

Ils traitèrent CLARA souffrante comme un déchet, privée d’assistance, or le lieu qui aurait dû lui être réservé était le bloc opératoire et le sommeil profond, au lieu de cela, ils la jetèrent dans le 5ème étage de médecine, où sur un lit froid et dur son corps commença sa nécrose jusqu’à la mort.

Ils nos réservèrent la chambre de la douleur, la douleur indicible d’une agonie sans le seul sédatif qui devait lui être administré : le « sommeil profond ».

Le lit était déjà un cercueil ouvert, face au rires obscènes de ce Chef de Service que la France a « formé » dans son Ecole de Médecine et, de surcroît, elle lui octroie des droits absolus pour diriger un service hospitalier.

Toute sorte de refus de soins sur une personne souffrante et sans défense est acte criminel, or sur une personne hors du commun comme l’était CLARA, il est insupportable, mais pour le comprendre, il faudrait savoir qui était cette créature CLARA, non, ce n’est pas parce qu’elle était ma mère, elle avait une partie d’elle-même qui ne m’appartenait point : son talent de pianiste ; son aura, son talent, sa beauté furent reconnus de tous ceux qui la connurent et qui l’approchèrent, CLARA fut une femme par essence musicienne, une pianiste hors pair.

 Ce crime impuni perpétré ici en France, sera connu de par le monde ; un crime doublement abject, car commis sur une créature sublime : CLARA.

Ce banissement fait Livre-Script leur persécutera par-delà la fin de temps et à toute leur descendance.

 

Prochaine publication et dépôt légal le 15 août 2021

[417 Pp.]