CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

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CLARA LIVRE-SCRIPT …UN EXTRAIT – PROCHAINE PUBLICATION

21 juillet, 2021 (08:38) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

CIMETIÈRE

 

La voiture entre au cimetière, mais l’emplacement se trouve au fond, des longues minutes de trajet sont nécessaires dès la porte d’entrée jusqu’au fond, tant il est long le trajet jusqu’à la tombe, déjà ouverte, en pleine terre. il s’agit des emplacements funéraires en pleine terre et gazonnées.

 C’est la création des tombes « pour les pauvres » qui ne paient que le minimum, 2500€ ! Tombes provisoires et « solidaires » la plus immonde loi funéraire qui n’a jamais été mise en place par la loi des décrets funéraires français et contrôlée par la mairie de Paris.

L’emplacement est celui que la France appelle « pour les pauvres », destiné aux tombes provisoires pour 5 années et une journée, encore un « protocole » à respecter, avant d’avoir le droit de exhumer le cercueil pour le   transporter si l’on a de l’argent, vers une tombe décente

Elle descend difficilement de la voiture, s’approche tandis que le corbillard sort le cercueil et le dépose à côté de la tombe, si a cela l’on peut l’appeler une tombe.

Le trou rectangulaire a été déjà ouvert.

Un monticule de terre fraîche est à côté.

Les fossoyeurs sont à coté avec une pelle entre leurs mains, ils attendent.

Nadezhda en pleurant prend des photos avec son portable.

Elle s’approche pour voir la profondeur de la tombe…Pas de caveau, la terre noire, boueuse, insondable…

Prend la photo, calcule, regarde, pense.

Elle voit que le corbillard dépose juste au fil du trou ouvert, le cercueil entouré d’une corde.

Commencent à le descendre.

Deux corbillards s’approchent du trou et descendent le cercueil tandis que le troisième fait une révérence vers le bas.

Nadezhda crie, pleure en hurlements déchirants,

Non mon Dieu !!! Non !!!!!!!!!

Mais, non, mon !

 Dieu ! Tu n’existes pas ! Dieu n’existe pas !

S’approche d’elle l’un des corbillards, il lui dit quelque chose à l’oreille que nous n’entendons pas.

Un autre lui dit : Madame, s’il vous plaît, c’est déchirant Ne pleurez plus maintenant votre Maman est avec Dieu.

Nadezhda tourne le dos, abattue.

Commence à marcher vers la navette qui l’attend pour sortir du cimetière.

Elle est seule.

Les fossoyeurs ont accompli leur besogne.

Le corbillard s’en va.

Nadezhda sait que sa vie a pris fin.

La scène se ferme au même moment que dans un impromptu s’écoute le Requiem de Mozart, le mouvement La Lacrimosa.

La musique doit exploser au même moment que le cercueil est descendu et que les fossoyeurs commencent vigoureusement à remplir de terre la tombe.

——————————————————————————————–

 

                   

                            LE PSYCHIATRE 

 

 

                             ET GERIATRE

 

Le docteur traitant de Nadezhda lui avait dit ceci :

Docteur de Nadezhda : oui je pense que vous devriez prendre contact avec un confrère. Laissez-moi voir…

Elle cherche sur son ordinateur.

Nadezhda : s’il vous plaît docteur ne me recommandez pas de jeunes, ils sont en dehors de toute critique sociétale, ils n’ont pas d’expérience de vie, et sont tous euphoriques de se voir déjà en pratique professionnelle, ils donnent un quart d’heure ou maximum une demi-heure, et croient qu’ils peuvent aider, non à guérir des souffrances, mais ils se croient de demi-dieux capables d’entrer dans le cerveaux humain pour y intervenir, tout ce cirque, n’est pas pour moi, j’ai vécu toute ma vie indépendante et si j’avais besoin de conseil, c’est à mes parents que je faisais appel, je ne crois pas aux psychothérapies, et je ne me sens pas en manque d’une psychanalyse, ce qui m’est nécessaire n’est autre chose que de faire une analyse avec des Rayons X de ces 4 monstres, je comprends tout ce qui s’est passé, mais, j’ai besoin d’une conversation, d’un dialogue avec un clinicien expert et qui croit à mon récit, qui soit capable de le prendre en main, pour l’analyser avec moi, non l’effet que je souffre, mais le pourquoi de cet assassinat, moi je connais la cause, mais pas lui, alors j’ai besoin d’être crédible non du point de vue empathique mais du point de vue de la vérité des faits, de la vérité clinique, en plus j’ai toutes les preuves pour que lui les prenne en charge et les analyse, me comprenez-vous docteur ?

Il me faut l’exposer à un psy d’expérience, une personne mûre non un débutant.

Docteur : ne vous inquiétez pas, je vous comprends, j’ai connu un confrère, qui serais le plus adapté pour vous écouter, il est très bien, il a aussi une longue pratique hospitalière de gériatre.

Je pense qu’il sera très enrichissant pour vous de le rencontrer, d’autant plus que je crois qu’il a pris un temps de sa retraite pour poursuivre dans son Cabinet, je vais l’appeler.  

DIDASCALIES

La tenue vestimentaire de Nadezhda sera toujours noire.

Pour l’intérieur de la maison elle portera un jogging ajusté au corps, et des sabots plastiques noirs, de ceux qui porte le personnel médical au sein des hôpitaux.

Pour l’extérieur, à l’époque du vivant se sa Maman, CLARA, quand elle la sortait tous les jours en promenade, Nadezhda porta de jeans, un tee-shirt noir, des vestes noires, alternées avec un blazer en velours pour les sorties plus habillées.

Au cimetière elle est entièrement habillée de noir.

Les scènes de la Troisième partie, elle se rend aux 12 séances avec le psychiatre en pantalon noir ajusté, un pull en laine noir, des ballerines plates et un court manteau noir qu’elle enlève une fois entrée dans le Cabinet du Psychiatre.

 

CLARA

LA MAMAN

 

Avant son invalidité, elle est très bien habillée, en tenues de couleur douces, neutres, en beige qu’elle aimait tant… autant que le blanc et le gris.

Sa peu blanche de porcelaine, allait parfaitement avec cette douceur chromatique.

Les 4 portraits des « médecins assassins » de CLARA sont ajoutés à la fin du Script pour information nécessaire adressée au cinéaste.

À celles-ci, se joignent 4 scènes exclusivement pour le film, bien distinctes et séparées les unes des autres, pour que fassent un impact visuel percutant chez le spectateur qui doit comprendre comme devant un flash, par la force de l’image condensée dans un seul geste et regard, la méchanceté interne de leur action criminelle.

DIDASCALIES

 

La rue parisienne est presque vide à 9 h, du matin.

Seuls quelques passants, les cafés sont plein à l’intérieur, et une légère brume se laisse voir dans l’atmosphère.

C’est l’hiver.

Le temps est nuageux d’un froid jusqu’alors supportable.

L’on voit Nadezhda avancer vers la rue où se trouve le Cabinet.

La caméra doit se placer devant elle qui avance vers la porte d’entrée.

L’on commence pour la voir de loin, jusqu’à qu’elle arrive tout proche de la caméra, de face, visage ferme et sérieux.

Elle porte en bandoulière un grand sac où se trouve son lourd Rapport de 300 Pp.

Arrive vers l’immeuble, où une grande porte cochère se présente du côté gauche. Il y a un code.

Elle entre, dans le grand hall spacieux où il y a une deuxième porte avec un interphone, elle sonne et s’annonce.

1ère séance novembre 2015

Psychiatre : Oui ?

Nadezhda : C’est Nadezhda Gazmuri docteur, j’ai rendez-vous …

Psychiatre : Montez s’il vous plaît, c’est au cinquième, sans ascenseur.

Elle monte cinq étages d’un ample escalier d’un immeuble ancien et somptueux.

On voit monter Nadezhda.

La porte du Cabinet est ouverte.

Il l’attendait au seuil de la porte.

L’entrée à une lumière douce, une lumière jaunâtre d’intérieur.

Il l’a fait entrer tout de suite dans son Cabinet, une grande porte fenêtre est du côté gauche ; de ces portes typique des anciens immeubles haussmanniens.  Ils sont assis face à face.

Nadezhda, enlève son manteau noir, dépose son sac par terre, sort son gros rapport, le place sur ses genoux, se redresse, regarde le Psychiatre

Psychiatre : dites-moi, qu’est-ce qui vous amène ?

Nadezhda : je viens de la part de mon docteur Madame…, elle pense que vous êtes le confrère le plus à même pour m’aider.

Psy : quel est votre problème ?

Nadezhda : je vais vous parler clair et net, vous ne me connaissez pas, je suis d’un franc parler qui dérange, je vais direct à la question, je n’ai pas besoin de psychanalyse, une psychothérapique ? Vous le verrez, je la crois inutile, je me confronte en ce moment à un problème pragmatique, j’ai besoin de décrire mon problème, qui a des multiples facettes, à un intellectuel-clinicien, c’est pourquoi, aller voir un philosophe ou un avocat, ne m’est d’aucune utilité, d’autre part, mon docteur généraliste n’est pas habilitée pour me conseiller, elle me l’a dit, elle n’a ni votre formation spécifique, ni votre exercice de la gériatrie sur le terrain,  il est très urgent pour moi de vous dire que j’ai besoin d’obtenir de votre part un conseil sur mon rapport, je voudrais savoir si vous pouvez me lire, le voici, mon Rapport de 300 Pp…. à la fin  se trouvent toutes les copies des pièces à conviction, qui démontrent et qui font foi de ce que j’expose amplement, avec tous les détails, il a une intentionnalité juridique, et le Rapport est destiné naturellement à être lu par mon avocat, il doit être édité en 5 exemplaires, c’est la loi qui me l’exige, pour qu’il soit lu par le Conseil du Désordre des  assassins, et je dois le  déposer en plusieurs exemplaires  sous quinzaine à mon avocate, et devant le Conseil du Désordre …

Psy : il sourit… Le Conseil du Désordre ? Vous avez de l’humour…

Nadezhda : oui docteur, je me trouve incapable de le nommer autrement, je ne peux pas me trahir moi-même !

Le Psy se penche un peu vers l’avant et lui tend sa main, au même temps que Nadezhda lui tend le gros Rapport, déjà bien relié.

Psy : eh bien c’est un gros livre ça !

Je vais le lire.

Ce que je peux vous dire est que le principal est de faire la rédaction en forme chronologique, surtout sans pathos, et signaler scrupuleusement les preuves à l’appui de votre déclaration, ne faites aucune accusation sans preuves à l’appui, car du point de vue aussi médicale que juridique, il ne serait pas crédible sans « preuves »

Nadezhda : bien sûr, je le sais, c’est pourquoi, et vous le verrez, je me suis efforcée de respecter ces trois principes, je pense que mon passé d’universitaire, où j’eus affaire à ce type de travail et aux nombreuses analyses de texte que je fais depuis mon adolescence, à l’époque où j’étais jeune étudiante, et ensuite comme professeur m’ont amplement habilitée à respecter les normes de ce type d’exercice de rédaction. Vous me direz…

Psy : bon quel est l’autre problème ?

Nadezhda : …. Je dois vous expliquer d’une manière presque physique…Peut-on dire…de faire le récit ? Peut la parole humaine dire, ce que l’intérieur organique d’un être humain peut ressentir quand on l’oblige à regarder sa Maman souffrir parce que 4 bourreaux la torturent en lui refusant les soins ?

Comment m’y prendre pour vous faire comprendre ce que j’ai vécu il y a deux ans, en octobre 2013, douleur qui reste à vif, comme si c’était hier ?…

On m’a torturé Maman, et on m’a obligé à souffrir avec elle son agonie indicible !

Savez-vous docteur ce que c’est que de voir le corps adoré de votre Maman pourrir, lentement, et devenir un cadavre lentement, sur un lit dur et froid d’un hôpital ?

Elle souffrait l’indicible privée de sédatifs, on l’a jetée là pour agoniser pire qu’un animal dans la jungle, car un animal condamné est assisté par un vétérinaire !

Si je l’avais confiée à une clinique vétérinaire, je suis sûre qu’ils l’auraient soignée et gardée avec douceur !

En une seule phrase : je me sens violée. Ils m’ont violée. Je suis violée.

 qu’en pensez-vous ?

Psychiatre : Vous le dites vous-même :

« Je suis violée »

Vous devez savoir que type de viol ne s’efface pas avec une petite toilette…

Vous resterez avec cette souffrance toute votre vie. Tel qu’un rescapé de guerre.

Fin de la scène qui se coupe là, abruptement,

Les deniers mots du Psychiatre, et le regard d’acquiescement tragique de Nadezhda doivent rester émotivement comme une dernière note sombre qui met un terme définitif à la sentence du médecin. 

Envahit d’un éclat la musique d’ARVO PART.

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Psychiatre : Vous avez raison.

Je connais parfaitement le protocole hospitalier et les abus inqualifiables contre les personnes âgées.

Ils les méprisent par le langage, les actes, et un laissez faire qui n’est jamais sanctionné.

Tout ce que vous me dites je le connais.

Vous croyez pouvoir lutter contre ça ?

Il lui fait un geste négatif avec la tête et les mains.

La scène est coupée.

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SALLE D’AUDIENCE DU

 

 

  CONSEIL DU DÉSORDRE

MADAME Y, L’HYENE-CRAPULE DE COLMAR NOUVELLE

19 juillet, 2021 (16:51) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

     NOUVELLE 

 

   

MADAME Y

 

L’HYÈNE – CRAPULE DE COLMAR

 

Dans cette nouvelle Nadezhda nous fait le portrait de Madame Y, l’Hyène- Crapule de Colmar.

Une analyse détaillée d’un portrait de femme sans nom, sans visage et sans âge ; nous ne connaîtrons d’elle que ses agissements crapuleux contre Nadezhda et sa Maman, sa besogne mortifère, ses actes ignobles de manipulatrice qui abuse de la situation de faiblesse qui traversait Nadezhda pendant son séjour à Colmar avec sa mère handicapée, invalide et grabataire.

Madame Y, en s’introduisant de force dans un foyer pour faire du mal et les escroquer, arriva à ses fins grâce à la pratique d’un « abus de confiance. »

Nous observons les manipulations que Madame Y exerça sur un couple mère-fille en binôme inséparable qui resta hors du temps par leur vie paisible dans la pauvreté ; c’est dans ce contexte que Madame Y, s’impose, extorque de l’argent à Nadezhda, vandalise les deux femmes, ment sans vergogne et s’organise pour réussir son entreprise malfaisante et cauchemardesque. Ses actes et ses mots se déploient devant nous qui découvrons sa véritable face au fur et à mesure que se dévoilent dans le récit les détails maladifs de sa psychologie de femme manipulatrice et malfaisante.

Cette Madame Y fait elle-même son autoportrait de manière ostentatoire devant la société colmarienne, petite ville alsacienne où tout le monde se connaît et dont il parait impossible qu’une mafia judiciaire puisse se monter avec tant de facilité.

Madame Y grâce à sa vie de famille ordonnée, réussit presque tout ce qu’elle veut…Mais, seulement presque.

Quiconque fait la connaissance de Madame Y ne peut que constater qu’elle mène une vie exemplaire de mère de famille nombreuse qui pour renforcer son autoportrait de respectabilité, elle scolarise une de ses filles, née d’un second concubin récent, dans une école privée catholique ; se déclare indigente et crie sur les toits avoir eu un cancer, elle s’en donne à cœur joie pour raconter à quiconque accepte de l’entendre l’exposé détaillé d’une telle expérience au sein du seul hôpital de la ville.

Elle avoue avec affront qu’elle adore montrer le cathéter qui reste encore attaché à son cou, elle le montre comme un trophée, pour avoir des réductions, émouvoir les fonctionnaires des impôts, passer plus vite dans les files d’attente et inspirer de la pitié dans les moments difficiles.

De nationalité allemande, elle sait organiser ses revenus en ayant plusieurs comptes bancaires en Allemagne pour percevoir deux pensions alimentaires, correspondant à ses deux premiers maris desquels elle a divorcé avec une solide stratégie pour leur extorquer les deux pensions. Ses deux comptes bancaires elle les cache devant toutes les administrations judiciaires françaises qui n’eurent jamais l’intention de l’inspecter en croyant à ses mensonges sur parole.

C’est ainsi qu’elle a construit sa vie et qu’elle poursuit son autoportrait oratoire en s’autoproclamant indigente, elle dit qu’il faut tout de même « travailler un peu » de temps en temps, ces petit boulots qui lui servent de paravent bien alternés pour percevoir des aides sociales et le RSA. L’essentiel elle le sort de son concubin, aussi expert en travail non déclaré qui lui permet de louer un spacieux appartement privé au centre-ville. Elle ne dit jamais qu’elle travaille « au noir ». C’est ainsi qu’elle convainc toute la société colmarienne de son exemplarité de femme au foyer.

Mais, Nadezhda qui avait fait sa connaissance dans des circonstances très particulières pendant son séjour à Colmar en 2010, nous donne un autre portrait de cette Madame Y. qui dans des moments de conversations, lui dévoile ses pratiques de manipulations et d’escroqueries courantes auprès des personnes âgées de son voisinage dont elle pense qu’elles vont décéder bientôt.

Les quelques mois que Nadezhda avait entretenu un « lien amical » avec Madame Y lui servirent pour faire l’expérience de la trahison, du pillage, de l’abominable absolu dont Madame Y en était capable, pour finalement devenir avec sa Maman, toutes les deux victimes de l’escroquerie sans précédents de cette Hyène de Colmar.

Cette nouvelle décrit le portrait et les actes terrifiants de manipulation judiciaires d’une femme crapuleuse et manipulatrice qui fut capable de convaincre avocats, juges et huissiers dans une entreprise satanique contre ce couple mère- fille.

Madame Y trouva ses proies faciles en Nadezhda et sa mère, en escroquant une femme en fin de vie et handicapée, qui ne pouvait prolonger sa vie que grâce au seul amour et soins permanents de sa fille, toutes les deux dans la misère, totalement isolées dans la solitude glaciale d’une petite ville d’Alsace, où se virent victimes de cette Madame Y, une crapule infamante.

L’entreprise satanique de Madame Y contre Nadezhda et sa mère fait acte d’un portrait féminin inhabituel dans la littérature actuelle.

Seul un expert psychiatre et criminologue serait en mesure de  conclure un véritable diagnostic destiné à une décision judiciaire.

Face à la description d’une telle cruauté contre l’humain, cette Madame Y l’Hyène-Crapule de Colmar, qui fut capable d’attaquer une femme invalide en fin de vie accompagnée de sa fille, par les moyens les plus mensongers et ignobles ; nous oblige à avoir beaucoup de courage et d’espoir dans l’humanité pour sortir indemnes d’un tel récit.

Couverture en préparation.

 ISBN :9782916591352

Publication et dépôt légal le 15 août 2021

 

 

 

 

CLARA LIVRE-SCRIPT PUBLICATION LE 13 AOÛT 2021

19 juillet, 2021 (07:29) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

NADEZHDA GAZMURI – CHERNIAK

 

        CLARA

 

   

       

LIVRE-  SCRIPT

 

 « Tout acte artistique est un mouvement de l’âme »

 

 

                                Andreï ZVIAGUINTSEV

                CLARA

             PIANISTE

      La veuve du peintre

       Hernán Gazmuri

     ASSASSINÉE A PARIS

        

     AVEC   PRÉMÉDITATION

                 EN 2  TEMPS 

      12-18   OCTOBRE 2013

   par son médecin Traître-Tant

             et ses amis

           AGONIE DE 8 JOURS

            Dont 4  À l’étage N°5 de médecine

              De l’hôpital D.

       Le Chef de Service Z.

     Et son équipe médicale : T.G.

 

              SCRIPT 

               CLARA

 

« La nuit vivante se dissipe à la clarté de la mort.

                         Michel Foucault

                   Naissance de la clinique

                                     P.16

 

          AVERTISSEMENT DE L’AUTEUR

Le sujet que je développe dans ce script a été déjà développé dans un corpus juridico-littéraire, mais que j’avais écrit pour servir de guide à un avocat en vue d’une plaidoirie, il fut rédigé une semaine après avoir mis en terre Maman. Il avait urgence de l’écrire pour le présenter très vitre devant le Tribunal et faire effective la plainte pénale.

Je n’ai jamais pu me donner un espace « pour faire mon deuil » car je ne crois pas à ce lieu commun ; l’assassinat de la Maman interdit « le deuil », je ne l’ai pas fait et ne le ferai jamais. Le deuil se renouvelle au jour le jour et jusqu’à la fin des temps, par-delà la fin des temps.

Je n’ai pas eu ni deuil, ni répit, j’étais obligée à rester en éveil, par l’obligation d’écrire la vérité dans un « rapport » qui trace l’assassinat par ordre chronologique, sans pathos, en évitant tout glissement inopportun vers une « interprétation personnelle » des faits, des répercussions mentales dans mon esprit et des conséquences indélébiles dans ma psyché.

Ensuite est venu le temps de rédiger ce même rapport juridico-littéraire en narration véridique des faits, laissant le libre cours, non à l’imagination, non à l’interprétation libre des faits, mais à un style nouveau de narration véridique qui laisse l’auteur, pas n’importe quel auteur, mais l’auteur « témoin oculaire » du crime ; l’entière la liberté de raconter sans contrainte ce qu’il a « vu », la narration est donc, dépourvue de tout élément fictionnel, mais imprégnée d’une analyse percutante, tel que le ferait une caméra cachée, montrant tous les événements, les faits provoqués par le groupe d’assassins-médecins, leur équipe médicale, leurs dires, leurs gestes, entremêlés au crescendo à l’agonie de Maman qui parallèlement avançait vers le dénouement final, les spasmes de la mort.

Dans cette deuxième écriture, narration dépourvue cette fois-ci d’éléments de contenu juridique, non destinée à l’utilisation ni des avocats ni des juges ; le corpus est cette fois-ci, le récit d’un rapport sorti de la salle de « Rayons X » ou passent absolument tous les actants du crime du début à la fin, ils laissent au clair leurs intentions criminelles et l’ampleur manifeste d’une unique intentionnalité assassine à double tranchant, générée par une double motivation.

Ensuite, il m’a paru évident, que la rédaction véridique de cette barbarie qui débouche naturellement dans la mort, serait percutante et mieux comprise par le moyen de l’image, c’est alors que s’est présenté devant moi, l’impérieuse nécessité d’écrire un script pour la réalisation d’un film.

Contrairement à ce que déclare Andreï Zviaguintsev, la réflexion sur les acteurs capables de représenter ce script ne s’est pas présenté après avoir fini la rédaction, mais en parallèle, pourquoi ?

Parce qu’il me paraît un « sacrilège » confier la figure de Maman à quiconque voudrait s’approprier de son essence, il n’y pas de créature au monde capable de se substituer à sa personne pour la représenter, et ce n’est pas moi en tant que fille qui le dit, d’aucuns qui l’ont connue me l’ont dit, et je raconterai en didascalie, au milieu du script, l’avis d’une collègue qui, lors d’un face à face avec Maman, a eu un choc en la voyant devant elle, mon amie de l’époque eu l’expérience de se trouver dans un face à face avec elle, un jour où je l’ai invitée déjeuner avec nous et elle  fit la connaissance de Maman.

 

        ARGUMENT DU LIVRE- SCRIPT CLARA

 

La Mère, âgée, invalide mais en bonne santé, en octobre 2013 subit un infarctus, mais se voit refuser les soins et devient La Cible entre les griffes du docteur Traître-Tant et le Chef de Service Z.

Elle est assassinée par refus de soins avec préméditation et meurt nécrosée à vif sans sédatif et soumise à des souffrances indicibles sous les rires du docteur Z.

Le binôme mère-fille est attrapée entre les griffes d’un docteur Traître-Tant et le Chef de Service Z avec son équipe médicale qui refusent les soins avec préméditation à la Maman victime d’un infarctus.

 Elle décède nécrosée à vif, sans assistance, assassinée en catimini à l’Hôpital D.

Peut-on être assassinée en France par refus de soins et devenir la Cible entre les griffes des faux médecins ?

 Une mafia de médecins torture et tue une personne âgée victime d’infarctus et la laisse se nécroser à vif.

Être immigrée, avoir du sang basque espagnole et russe -ukrainienne dans sa génétique et de surcroît artiste, peut devenir motif de persécution et de meurtre dans le pays d’accueil. La société administrative en France catalogue de « faibles » les êtres qui mènent une vie marginale et très éloignée des coutumes et des habitudes françaises ; il arrive très vite la détestation de la vieillesse, de la maladie et du handicap, sauf si ces composantes de la vie peuvent servir à des fins politiques, c’est alors que la machine administrative sera féroce pour utiliser les faibles pour une exploitation financière, le nouvel esclavage a besoin de dictateurs, des laquais qui mettent en œuvre les « protocoles » et surtout ceux de « soumission » les pauvres n’ont pas le droit de s’y opposer.

Les esprits atypiques sont catalogués de Cibles et le mouvement agira en « Moobing » tel que les mafias agissent dans le monde du travail, elles le feront au sein de la cité vis-à-vis de tous ceux que s’y révoltent et qui veulent maintenir leur dignité en totale indépendance et liberté. Les révoltes seront la cible et aptes à devenir l’objet préféré des mafieux qui agissent en concertation solidaire et collégiale.

C’est l’histoire de ce binôme mère-fille qui arrivèrent à Paris en 1980 en mission artistique pour faire don à la France de l’œuvre capitale de leur mari et père, le peintre Hernan Gazmuri : www.hernan-gazmuri.com.

Ce couple arrive à Paris, CLARA pianiste, veuve du peintre accompagne sa fille dans son insertion parisienne, et traversent ensemble sans jamais ses séparer trente années durant à Paris. Nadezhda l’a prise en charge depuis 1979 date de décès du peintre, Clara a fait don à la France de l’œuvre capitale de son mari et charge sa fille de réaliser la Donation Gazmuri. Nadezhda, travaille comme professeur d’espagnol mais elle quitte l’Éducation Nationale dès que Clara perd son autonomie en 2000 victime d’une maladie de dégénérescence du cerveau, (artériosclérose), qui sera responsable de la laisser invalide à 100%. C’est ainsi qu’ au cours de 13 années, Nadezhda s’occupe d’elle à plein temps, et choisi de vivre avec le RSA pendant 16 années pour avoir le droit de laisser sa Maman à la maison et s’occuper d’elle sans aucune aide extérieure.

La Maman subit 2 maltraitances provoquées par les équipes médicales avec le seul fin de punir la fille de refuser le « placement » en maison de retraite, EHPAD, la fille s’oppose aussi avec toute son énergie de placer du personnel chez elles, et d’accepter les aides financières de l’APA mises en place par le gouvernement français pour résorber le chômage grâce à l’invalidité des vieux abandonnés par leurs familles.

Clara et Nadezhda sont l’exemple vivant d’une réussite familiale et affective qui prouvèrent pouvoir assumer en binôme la vieillesse et la maladie, en faisant face ensemble à ce mal biologique qu’est la vieillesse.

L’agonie dura sept jours, dont quatre à la maison privée de soins avec préméditation par son médecin Traître-Tant et ensuite à l’hôpital où l’emmène Nadezhda contre l’avis du médecin Traître-Tant où, leurs amis et confrères finissent de l’achever, en lui interdisant les soins qui s’imposaient pour lui éviter les souffrances indicibles ; il n’est autre que « le sommeil profond », parce qu’un infarctus qui n’a pas été traité en urgence par le moyen d’une opération chirurgicale, qui stoppe les effets irréversibles d’une perforation, impose l’application du protocole chirurgical mondial : l’intervention chirurgicale, puisque les douleurs d’une perforation ne sont pas apaisées par aucun sédatif.

Si le patient est privé de sommeil profond, le seul sédatif capable d’apaiser les douleurs insoutenables d’une telle crise, sa fin est prévisible, il agonisera soumis aux douleurs indicibles, nécrosé allant lentement vers la mort inéluctable, mais subissant une métamorphose insoutenable, celle de devenir un cadavre encore vivant sur un lit transformé d’avance en cercueil ouvert.

 

L’INFARCTUS MÉSENTÉRIQUE.

 

Il s’agit d’une obstruction circulatoire qui mène obligatoirement à une perforation et à une hémorragie massive, ensuite se déclenche l’agonie et une nécrose généralisée à vif.

Le seul soin qui s’impose pour traiter un infarctus mésentérique est le bloc opératoire et le sommeil profond, ce protocole hospitalier est de rigueur de par le monde, il ne considère ni l’âge ni l’état du patient, il doit s’appliquer pour éviter les souffrance indicibles d’une telle crise, l’infarctus mésentérique se caractérisé pour être soudain, il peut apparaître chez une jeune personne, mais c’est rare, il s’agit d’un caillou qui obstrue l’intestin, provoquant une perforation et une nécrose si la personne n’est pas traitée en urgence pour l’opérer, la crise est essentiellement d’origine circulatoire et la médecine ne possède aucun moyen de la prévoir ni de l’éviter, seuls les soins d’urgence sont prévus, sans aucune assurance de succès, mais avec l’assurance de pouvoir épargner le patient de souffrir une agonie indicible.

C’est ce que ces 4 assassins obtinrent et avec succès, torturer la mère, obliger la fille à être la spectatrice ahurie et passive devant la transformation de sa mère de la personne bien soignée, traitée comme une porcelaine chez elle et soignée exclusivement par sa fille qui se battait contre tous pour la garder jour et nuit à la maison depuis 13 années, pour finir souffrante, un être agonisant qui devant elle devenait en trois jours un cadavre nécrosée sur le lit qui s’était transformée sous les ordres du Chef de Service, en cercueil ouvert.

C’est ce que ce groupe de quatre médecins et leur équipe médicale composée  des laquais assassins, ceux qui imposèrent à Clara et à Nadezhda, victime par ricochet, subissant malgré elle-même ce pretium doloris qu’elle refuse, car elle crie l’assassinat de sa Maman comme n’ayant pas de prix, ce qu’elle demandait  « à la justice », c’était uniquement la reconnaissance de ce crime et le bannissement du médecin Traître-Tant et principal instigateur de cet assassinat conjointement avec le Chef de Service Z. de l’Hôpital D. et de son équipe médicale.

La vieillesse, ce mal biologique imposé à l’humanité entière, n’est pas vécue pareillement selon la couche sociale et surtout financière des patients.

La  vieillesse, la maladie, et l’impotence n’arrivent jamais de manière anodine, mais presque toujours en imposant aux vieux des mutilations, des maladies et de souffrances.

Ces malheurs biologiques qui subissent les vieux sont ceux que la France rejette avec une stupide malveillance et chez des mafieux introduits dans le corpus médical avec des méthodes criminelles.    

                              SYNOPSIS

        A    MAMAN

 

 « A la créature la plus belle, sensible, musicale et remplie de bonté

                               Que Dieu et la Nature n’ont jamais créé. »

 

                                                 18   Octobre 2013

                           Date de son assassinat par quatre faux médecins dégénérés.

 

« […]Après quoi, il a pu s’enfuir avec les siens dans la montagne où il attend toujours du secours. Je l’approuve. Les martyrs, eux, ne prouvent rien, ce qui n’a jamais empêché leur utilisation à des fins de propagande massive »

 

                                                                             Philippe SOLLERS

                                                                                   Mouvement

                                                                                                  P.23

C’est vrai, mais…

Non, je n’ai aucune aptitude dans ma nature pour devenir martyre.

Vous serez bannis par ma parole de justice et de vérité plus puissante que n’importe quel Tribunal, vous serez bannis de par le monde…Et, reconnus comme des assassins de CLARA, la veuve du peintre Hernán Gazmuri, cette créature ineffable qui fut Maman une pianiste et une Maman d’exception.

Maman fut torturée et tuée avec préméditation en deux temps, d’abord par son médecin Traître-Tant et ensuite par ses amis et confrères qui finirent l’horrible besogne, avec des circonstances aggravantes, le Chef de Service et son équipe médicale, des monstres dantesques, la femme des urgences et le gastro-entérologue… Cette barbarie s’est produite ici en France et non par des terroristes, par des faux français qui profitèrent de la France un cursus de médecine qui les a octroyés le pouvoir de torturer sadiquement Maman et la firent agoniser privée de sédatif en se moquant de son agonie et de sa souffrance.

Ô combien aurais-je voulu hériter si n’est-ce qu’un infime degré de la tempérance et de l’indifférence que Maman avait face au Mal et à la société !

Maman détestait la société, n’avait aucune amie, elle me confia : « Je n’eus que trois amours dans ma vie, le piano, ton père et toi »

Maman était sévère, douce et silencieuse, experte en musique, personne ne jouait mieux qu’elle et avec plus de mystique et sévérité musicale le Clavecin bien tempéré.

J’entendis le Clavecin bien tempéré avant de naître, après dans le berceau

[…]

EL REBAÑO DE MEDIOCRES – SORBONA 1985 Y UNA CARTA DE ERNESTO SÁBATO

15 juillet, 2021 (20:12) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

CARTA DEL ESCRITOR ERNESTO SÁBATO.  SANTOS LUGARES 5 DE FEBRERO DE 1985

Gracias, querida Florence, por tu tarjeta. Matilde me ha leído algunas paginas de tu tesis y realmente me parece infame que haya merecido esa calificación.

Animo! Tenés mucho talento!

Un beso.

Ernesto Sábato

 

         EL REBAÑO DE MEDIOCRES

 

 

         SORBONA 1985

 

 

  “LA MENCIÓN DEL JURADO”

 

 

          RECUERDOS MAFIOSOS

                                   Y

 

  UNA CARTA DE ERNESTO SÁBATO

 

Estimados Lectores de lengua hispana:

 

 NADEHZDA, la esperanza quedó resguardada al fondo de la caja de Pandora.

Hoy, decidí abrir la caja de Pandora, les contaré en dos episodios la obra canallesca que ejerció contra mi persona este país de adopción, reconozco con amargura el haberme equivocado y hoy, ya vieja con mis 67 años a cuestas, por desgracia no puedo tomar el avión, o más bien el tren que me levaría bien lejos, para tomar refugio en otro país.

UNA JUBILACIÓN DE MISERIA

Lo primero que se piensa de una persona que termina su vida con una jubilación de miseria de 800€ es que se lo merece, porque es una analfabeta, mediocre e impostora que merece terminar su vida con semejante propina estatal, o bien alguien que se echó al suelo sin diplomas, sin capacidades para ganarse la vida y que es una alcohólica, drogada que vive a costas de la sociedad.

Cuando es una profesora de español de la Enseñanza Media, la que recibe una jubilación del más bajo grado laboral, una jubilación de miseria de 800€, que aquí en Francia es el mínimo que puede recibir un ser humano, son tres cosas bien precisas las que se piensa de ella; se las voy a enumerar bien precisamente:

  1. Que se dedicó toda su vida a no hacer NADA, es decir a ser mantenida por alguien, ahora no siendo casada, es decir jurídicamente no estando “a cargo de ningún marido” ni descendencia, los pensamientos más bajos se despiertan en la gente, nadie pude imaginarse que se siga sola trabajando sin pedir nada a nadie y viviendo pobre y honestamente.
  2. Que sus capacidades intelectuales son de las más reducidas y ramplonas y que los jurados cumplieron su labor dejándola en la categoría más baja del grado universitario y laboral.
  3. Mi vida profesional y de artista despreciada en Francia es un caso de figura excepcional, ya que debería haber recibido en respuesta el reconocimiento justo a mis facultades intelectuales ya bien desarrolladas en mi país de origen, es preciso saber que yo no llegué estudiante sino ya profesional, y también en respuesta al trabajo de investigación que guiada por el Profesor Couffon, dejé a lo largo de mis años de bien mal llamado perfeccionamiento en la Sorbona.
  4. Allí no encontré más que un rebaño de mediocres e impostores.
  5. Antes de morir hay que dejar las cosas bien claras. La capacidad que ejerce la sociedad de calumniar y de injuriar impunemente que ya tengo bien experimentada, me obliga a prepararme y avanzarme a sus canalladas.
  6. Con las capacidades intelectuales más altas, habiendo recibido en mi país de origen, Santiago de Chile las notas más eminentes de todos mis profesores desde mis diecisiete años edad, fecha en la que fui bachiller y entré al primer año de la facultad de pedagogía en Castellano; durante cinco años consecutivos no dejé de acumular notas y premios de excelencia.

 Mi estupidez mayúscula fue la ignorar que en Francia la Educación Nacional es el gremio más mediocre que existe en el país.

Mi estupidez mayúscula fue la de idealizar Francia sin tener ninguna prueba que mereciera acordarle una gracia gratuita.

 Mi estupidez fue la de conocer Francia únicamente por el relato novelesco del pintor Hernán Gazmuri.

 Mi imbecilidad imperdonable fue la de venir a instalarme con mi Madre para que al final de su vida, por un infarto, su médico TRAIDOR, la torturase y la asesinara como el salvaje asesino que es.

Limitándome solamente al análisis de mis notas del jurado Sorbornad, es preciso afirmar que ellos sabían que dándome la peor nota, la “MENTION BIEN”, quebrarían para siempre mi carrera, dejándome con esta jubilación de miseria que le sirve al vulgo para reírse de mí, ironizar, y golpearme cada día con la sorna propia de los mediocres; el único objetivo que se han propuesto es que no escriba, que me calle, que no pinte y que al fin decida suicidarme, es el camino que eligen los débiles, pobres víctimas de injusticias y que ignoran el verdadero valor que poseen; no es mi caso.

Soy la hija del pintor Hernán Gazmuri y de CLARA G. Cherniak, pianista; yo soy la heredera de estos dos genios del arte; heredé de ellos sus cualidades de maestros en el conocimiento de su arte, y de su alto espíritu, ¡no sueñen con que un día hastiada de Francia decida suicidarme, eso jamás! 

¡El hastío y el odio son saludables defensas para continuar el camino de adversidad, no lo olviden nunca!

La herencia española y rusa impide todo desvanecimiento, estos miserables que encuentro en mi camino cada día, demuestran ignorar el valor y la fuerza vital de estas dos herencias.

Estos salvajes se quedan al acecho, observándome y se preguntan: “hasta cuándo soportará el desprecio y su miseria?”

Yo les respondo: ¿y ustedes? ¿hasta cuándo siguen vivos?, cuando me informarán de que ya se han muerto… ¡Ese día lo celebraré!

VAMOS A LA SORBONA 1985.

Recién llegada a Francia, con mis Madre totalmente a mi cargo, lo primero que tenía que hacer era ganarme la vida, y para ello, realizar “las equivalencias “en la Sorbona, era el primer paso que debía atravesar; una vez obtenidas, tuve la suerte de tener como director de tesis al Profesor Claude Couffon. Me ahorro comentarios, daría para un libro bien documentado, es una historia digna de contar en detalle.

Les cuento el final de la historia; mi odisea como postulante a          doctora que la mafia de la Sorbona no pudo soportar. Mi tesis tenía por título: L’Ecriture et le message romanesque dans Le Tunel d’Ernesto Sabato”

Mas de 300 P., que “el ilustre jurado” no anotó más que con una MENTION BIEN.

Lo que aquí en Francia es una nota “MEDIOCRE” ya que una tesis de la más alta calidad como lo es la mía, por los descubrimientos novedosos de la investigación, jamás antes descubiertos, por sustentarse la tesis entera en un sócalo de investigación científico, donde cada postulado es demostrado con los textos, de lo contrario no sería un estudio comparativo, por la calidad y riqueza del la lengua castellana, y por el dominio del conocimiento que tengo del tema abordado en calidad de especialista, y por fin por la calidad oratoria con la que fui capaz de defender mi trabajo universitario,  por todas estas razones, que son las que se exigen de todo postulante a doctor; yo debía necesariamente obtener el TRES HONORABLE AVEC FELICITATIONS DU JURY. Es lo que quiso Claude Couffon y lo que pensó Ernesto Sábato, he aquí su carta.

Más esto el jurado sorbonnard no podía aceptarlo, lo mismo ocurrió luego con mi doctorado, y con mi nota del CAPES Interno, ya que soy especialista de la obra de Ernesto Sábato.

¿Qué fue lo que les indignó a estos mediocres?

Que “la alumna” universitaria que yo era, ya profesora en ejercicio, se tomase la LIBERTAD de expresión que en el escrito tomaba acentos de ENSAYO y no la de una tesis de COMPILACIÓN, modalidad de trabajo que los jurados exigen ya que sus mentes de mediocres no aceptan que un PROFESIONAL demuestre las virtudes siguientes:

  1. Independencia intelectual.
  2. Que una “doctoranda” se salte “las etapas” de sumisión académica.
  3. Que la postulante a doctora ejerza la capacidad de una sólida cultura y por lo tanto una libertad y capacidad de redacción en la elaboración de la tesis que en mi caso no se sometió a un espacio de investigación reducido, mi tesis ofrecía un campo pluridisciplinario, el descubrimiento central de mi exégesis del personaje novelesco de El Túnel, fue un verdadero descubrimiento, todas las exégesis que existen hasta ahora son erradas.
  4. Este “jurado” carece de cualidades humanas, desde su bajeza, lo único que buscan es rebajar al postulante para sentirse superiores, es el método francés que utilizan correctores, jurados y casi todo el profesorado, estos tipos son todos de la misma calaña.

El Profesor Claude Couffon trató de intervenir en mi favor naturalmente, él sabía en qué consistía la calidad y la amplitud de mi trabajo de investigación; yo era su alumna dirigida por él.

Les dijo esto:

“si yo no le hubiese dado la libertad necesaria en su trabajo de investigación, pues estén seguros de que ella no habría redactado una sola página, su descubrimiento es de lo más inteligente y merece que Ernesto Sábato lo conozca, Sábato debe conocer este trabajo; voy a enviárselo.”

El jurado quedo APLASTADO.

Yo, acostumbrada a este tipo de mafias, que mi padre el pintor Hernán Gazmuri tuvo que sufrir en Chile, no sólo como pintor sino como Profesor universitario de Historia del arte; él me tenía bien aleccionada en este tipo de persecuciones de mafias académicas y artísticas, sólo que yo no sabía que aquí en Francia yo correría la misma suerte que sufrió mi padre en materia de persecuciones mafiosas que son cosa habitual en países latinoamericanos.

Francia está aún peor, está en más bajo nivel que los países del tercer mundo.

La baja nota que me plantaron no me afectó en nada, sólo en mi lucha por obtener un puesto de trabajo como yo lo merecía.

Claude Couffon le envió mi tesis a Sábato.

Les dejo aquí una de sus cartas;  mantuvimos una correspondencia epistolar durante largos años. Luego recibió mi tesis de doctorado que corrió la misma suerte en Francia.

El Profesor Claude Couffon quiso que me fuese España, para defender mi tesis apoyada por una Profesora madrileña, amiga de él, pero un traslado con mi madre era imposible sin dinero para una estada de dos años en Madrid.

Fue así como mi descubrimiento exegético sobre el personaje novelesco Juan Pablo Castel quedó escondido, y obtener una beca cuando la edad sobrepasa los treinta años es imposible.

 Mi Profesor me dijo, “este trabajo no puede perderse, aunque no pueda ir a España, debe editarlo con el título:

“TESIS-ENSAYO”

La Fuentes Italianas en EL Túnel de Ernesto Sábato y tres estudios comparativos.

LES SOURCES ITALIENNES DANS LE TUNNEL D’ERNESTO SÁBATO ET TROIS ÉTUDES COMPARATIVES.

En este momento, debido a la escritura de mis trabajo de ficción, no tengo tiempo ni ánimo de reescribir ese trabajo monumental; ya que las dos tesis son un corpus de 600 páginas.

El tiempo dirá, tal vez una vez resuelto mi problema funerario francés, el que me toma gran parte de mi tiempo con la redacción de mi libro, probablemente decida volver a esas dos tesis de juventud.

A esta primera infamia francesa la siguieron otras, del mismo estilo, Couffon me dijo:” pero ¿qué vino a buscar aquí en Francia, que no sabe que la Educación Nacional es el terreno más mediocre que tenemos en Francia?”

No, yo no lo sabía. De haberlo sabido, no habría huido de Chile, porque para mafias, en Chile ya las conocía y dicen que, “es mejor diablo conocido que otro por conocer.”

En fin, mi “misión artística” en Francia terminó.

Por suerte esta manada de mafiosos de la Sorbona ya está bajo tierra bien muerta, como todos los del jurado mafioso y correctores del CAPES Interno, no son más que profesorcillos mediocres que no son ni siquiera capaces de hablar correctamente el castellano. Son un rebaño de mediocres.

Y yo, por el momento sigo escribiendo y pintando sobre esta tierra infernal, me queda aún mi tiempo.

Por el momento, les confío esta corta carta de Sábato, verán que es la mejor calificación que he obtenido, esta calificación de Sábato aplasta la mafia de la Sorbona, y es mi mejor galardón universitario.

Por respeto a mis trabajos, por respeto a mis padres que se sacrificaron porque yo tuviese una carrera universitaria del más alto nivel que me permitiese afrontar sola la vida y por el recuerdo de mi Profesor Couffon y Sábato, tal vez me decida por fin a reescribir ese monumento. Tal vez…

Hasta pronto.

 

   Nadezhda Carmen Gazmuri-Cherniak

 

 

 

 

 

MI GUARIDA Y MI PINTURA

12 juillet, 2021 (05:35) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

 MI GUARIDA Y MI PINTURA

 

 

[…]  y aunque no me hago muchas ilusiones acerca de la humanidad en general y de los lectores de estas páginas en particular, me anima la débil esperanza de que alguna persona llegue a entenderme. AUNQUE SEA UNA SOLA PERSONA.

                                                                         Ernesto SÁBATO

                                                                               EL TÚNEL

 

Estimados Lectores de lengua hispana,

Alguien me dijo que yo no podría seguir escribiendo, llevando una vida de ermitaña, sin hablar ni ver a nadie, sin contacto con eso que llaman “el mundo exterior”, yo le contesté que R.M. Rilke en sus Cartas a un joven poeta, asevera lo contrario, en ese libro le da consejos para que desarrolle su arte naciente en la escritura, consejos de valor eterno y universal. No olvidemos que estos consejos destinados al naciente escritor que se inicia en al arte de la escritura estaban destinados a un adolescente de no más de dieciséis años, lo mismo ocurrió con las conversaciones entre Kafka y el joven Janouch. El verdadero poeta encontrará tema en las cosas mas simples y le queda la infancia, un tesoro donde podemos refugiarnos.

¡Estos consejos no me deben ser destinados, ya que ahora soy una vieja de 67 años! Es una monumental equivocación la de creer que el retiro estanca la creatividad; bien por el contrario, la soledad la aumenta.

¿se acuerdan de lo que dijo Cioran?: “el tiempo abismante que se pierde en eso que llaman “vida social”.

Cuando postulé y presenté mi candidatura, y no solo una vez, sino varias veces, ante esos funcionarios Premios Nobel de la alcaldía de París, para que con un taller me permitiesen continuar mi trabajo pictórico, me lo negaron: “Hay miles de candidatos antes que usted y muy pocos talleres”.

Traduzcamos: “hay miles de farsantes embadurnadores de telas que pintarrajean monas y grafitis antes que usted que es la discípula del pintor Hernán Gazmuri, reconocido por el Académico René Huyghe en 1943, (Revista AMÉRICA) como pionero del arte moderno en Chile y discípulo de André LHOTE, Y reconocido por el crítico argentino Julio PAYRÓ , por consiguiente, usted es la última heredera de l’École de Paris

El alcalde de Paris de la época se retrató como lo que es, por primera vez en Francia un individuo que ocupa un puesto de funcionario declara la más garrafal estupidez públicamente: ¡hay miles de pintores! Y, para rematarla:

 ¡USTED Y SU MADRE SON COMO TODO EL MUNDO!

¡Es una aseveración tan cretina como decir que hay miles de poetas y escritores!

Esos que se auto declaran pintores, poetas y escritores, hacen nata, de ahí a que lo sean es incontestablemente NO; no lo son ni lo serán jamás, que les den becas para ir dos años a la villa Médicis es la aberración más increíble,  esto se produce únicamente en la alcaldía de Paris, donde todas las aberraciones están permitidas; en un reportaje de la ARTE, vi a dos efebos protegidos por la alcaldía de Paris, embadurnando entre los dos elegidos, una enorme tela, pintura hecha en dúo, en la que cada uno con una brocha en mano, embadurnaban la inmensa tela blanca que se mostraba  poco a poco, con los golpes de brocha como una inmensa y sucia porquería final;  el ventanal daba la vista hacia la hermosísima ciudad italiana que me esta vedada. Sentí una ola de vergüenza ajena.

Y pensé, que maravillas haría yo con una beca en Italia.

Y, ahora esta ley de prostitución del arte rige y es válida en todo el mundo; les han dado crédito los administradores ignorantes que los ensalzan por los únicos dos motivos que hoy en día hacen girar el arte: la política y el sexo.

 A buen entendedor, pocas palabras. La prostitución del arte comenzó cuando el último mecena nos abandonó, Daniel- Henry Khanweiler.

Como si esto no fuese poco, luego de esperar en vano un taller en París, durante cuarenta años; la cosa se agravó cuando con mi madre inválida pedí un HLM de urgencia, siendo prioritaria y casi SDF con ella en mis brazos, me vi rogando un lugar donde vivir.

En enero del 2013, el gran alcalde de la época, ese que apadrinó la actual generadora de desgracias parisinas, les dijo a unos periodistas: “que se espere, ella y su madre SON COMO TODO EL MUNDO!”.

Y, triunfante en su negativa, nos dejó en la calle a mi madre y a mí.

Luego se encadenaron mis tragedias, la perfidia de la Mafia de la calle Gris, seguida y guiada por el asesinato de mi madre por el doctor “TRAÎTRE-TANT.

Este primer Premio Nobel del Horror, como lo llamo, contestó como lo que es, nos dejó en la calle a mi madre y a mí, su negativa en mi necesidad absoluta de alojarme con mi madre me obligó a aceptar un rincón insalubre que me hizo conocer una mafia criminal, experiencia horrible que relato en mi novela:  Constanza y la Mafia de la Calle Gris de Paris.

Este preámbulo bien escrito, les diré  ahora  de qué manera me he salvado, si ahora puedo pintar luego de un largo paréntesis es únicamente gracias A UNA SOLA PERSONA, ella es anónima, y es a ella a la que le dedicaré mi exposición virtual, se trata de una señora sensible, amante de música, ella comprende lo que es la necesidad creadora;  trabaja en una sociedad de HLM.

Hace un año recibió mi carta de motivación junto a mi candidatura por una habitación de arriendo moderado, aquí en Francia estos departamentos están reservados únicamente a las familias de escasos recursos.

Mi carta la impresionó, según me lo dijo ella misma, y dejó mi carta en un cajón, esperando tener un piso que ofrecerme. Fue así como en marzo defendió mi carpeta ante la comisión y en un mes salí de la pieza parisina de 15m2 , para ocupar este magnífico departamento, donde dejé una pieza reservada como taller donde pinto.

Sin taller, sin piso en París, sin beca en Italia, si dinero, con una jubilación de miseria, privándome de lo más esencial, volví a mis pinceles;  esos miserables verán mi trabajo para el fin del año, lo expondré en este sitio, ya que las galerías también me están prohibidas;  es únicamente gracias a esta mujer que fue sensible a mi pedido, que ahora puedo pintar, es ella la única persona que ha salvado la enseñanza de Lhote, la enseñanza del pintor Hernán Gazmuri, quién fue mi único maestro, padre y amigo, el que me transmitió su saber sagrado para que yo continuase a perpetuar la herencia de la más excelsa teoría de la verdadera pintura moderna francesa, l’École de Paris, es esa la Francia que yo vine a buscar, por la que sacrifiqué todo el trabajo de toda su vida del pintor Gazmuri; nadie sabe que por la pintura abandoné en Chile nuestras casas de las que éramos propietarios, abandoné dinero y seguridad económica, por mi idiotez de venir a París en busca de las Invariantes plásticas.

 ¿Que encontré? Una mafia de malvados que sabiendo y viendo mis valores ensayaron por todos lo medios de silenciarme, de cortarme las manos, prohibiéndome pintar.

“Je veux étonner Paris avec mes pommes » dijo Cézanne, ya verán banda de mafiosos, es gracias a una sola persona que me ayudó dándome este magnífico HLM de tres piezas que ahora volví a mi paleta.

Reparto mi tiempo como André Lhote: “DE LA PALETTE A L’ECRITOIRE”

Lo que es seguro es que en el Cielo comprarán mis cuadros y mis libros, hay Ángeles que acogerán mis trabajos pictóricos y literarios, el ángel de mi padre y de mi Madre estará feliz de ver mis cuadros y de leer mis poemas, y serán recompensados; en cuanto a estos mafiosos malvados, que me persiguieron y me negaron todo para impedirme pintar, otro destino les estará reservado; dicen que: “El terreno del infierno es vasto…”

Sí, el infierno que, está lleno de buenas intenciones les dejará un amplio lugar bien reservado, porque esos malvados son en verdad “COMO TODO EL MUNDO”; por el momento viven aquí, en este bajo terreno francés, donde nadando en su propia y eterna mediocridad, no son capaces más que de dar brochazos y decir imbecilidades.

 

Nadezhda Carmen Gazmuri-Cherniak

 

 

 

           

 

 

 

FRAUDE FUNERARIO FRANCÉS: VIOLACIÓN LEGALIZADA DE LOS MUERTOS

8 juillet, 2021 (06:13) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

LA MUERTE EN FRANCIA:

 

 

POLÍTICA FUNERARIA DEL TERROR

 

 

ENSAYO

 

 

                           « […] Je ne pense pas que les décrets soient assez forts

                           Pour que toi, mortel tu puisses passer outre

                           Aux lois non écrites et immuables des dieux »

                                                          ANTIGONE

 

 

En este ensayo la autora va de lo particular a lo universal, exponiendo los estragos personales que ha debido vivir y que no toman fin, para procurarse una concesión perpetua para su madre, fallecida en 2013 y da a conocer públicamente las dificultades vividas y que la persiguen hasta ahora mismo, víctima de la barbarie de la alcaldía de Paris, lo que la motivó para hacer un profundo y detallado  análisis, extremadamente bien documentado sobre las condiciones impuestas por el Estado francés en lo que se refiere a la ley y decretos funerarios; yendo de las tarifas exorbitantes que impone la comuna de París en la venta de las concesiones funerarias a las modalidades bárbaras de la “retoma legal” de las concesiones funerarias cuando el plazo de pago del alquiler de la tumba ya se ha cumplido.

En la segunda parte se analiza la intervención de las Pompas fúnebres que, a pesar de estar controladas por el Estado, actúan como vulgares comercios, imponiendo precios libres que las familias pobres se ven incapaces de asumir; la autora desmitifica la creación de la Alcaldía de Paris de entierros “low-cost” que son un fraude y burda mentira de “solidaridad”, la que deja a los muertos pobres en la misma categoría de los “muertos de la calle”.

Nada queda sin pasar por los rayos X:  precios de concesiones provisorias en “plena tierra”, la creación de terrenos especiales al fondo del cementerio para muertos de familias “pobres”, los que no deben exceder el “arriendo” provisorio de los cinco años impuestos por la ley; al cabo de los cuales la alcaldía de Paris, abre la tumba y procede a la exhumación y tira el ataúd al fuego o al acido; la alcaldía argumenta que ahora la apertura del ataúd es seguida por la extracción de “los huesos” del difunto, para depositarlo en un osario con la identidad del muerto.

La autora desmiente esta salvaje aseveración,  basada en las declaraciones de la medicina legal que se equivoca, la descomposición de un cadáver no ha tomado fin al cabo de los cinco años impuestos por la ley funeraria francesa, la autora ha trabajado su ensayo con pruebas factuales, ya que ella debió exhumar el ataúd de su madre al cabo de cinco años, para transportarla obligatoriamente a otro cementerio, el relato es espeluznante de verdad, las mentiras de la alcaldesa rodarán por tierra y púbicamente por el mundo entero.

la Alcaldía de Paris, ha conseguido engañar e instalar su ley “laica”, con sus medidas de falsa “solidaridad”, dándose buena conciencia ante la nación y ante los ciudadanos inocentes que ignoran absolutamente todo de estas leyes funerarias. La alcaldía prosigue su labor argumentando que puso fin a las fosas comunes, no obstante, esconde que las reemplazó por por “concesiones provisorias” que no exceden cinco años de alquiler;

La autora denuncia a la alcaldía que impone una coerción criminal a las familias que no tienen dinero para pagar sus caprichos funerarios mercantiles, los que no tienen otro objetivo que el de succionar como hematófagos, dinero y sangre a las familias pobres y en duelo, las que deben aceptar que, por orden de la alcaldesa, abran la tumba y tiren el ataúd a la incineración, o al ácido, actuando como un vulgar basurero y que, el estatuto de los cadáveres que impone la ley funeraria francesa, los transforme sin piedad en vulgares desechos.

Critica caustica y sin concesión de la utilización grosera de los muertos con fines mercantiles, los que pasan a la  basura, al incinerador o a que finalmente, recurso rápido, tiren acido sobre el ataúd ; la alcaldía basada falsamente en sus leyes funerarias, creadas con un sólo objetivo, el mercantilismo funerario,  promueve y convence a los ciudadanos de que actúan en total legalidad;  de que en los cementerios faltan  terrenos,  de que los costos de manutención son elevados, todo este arsenal de mentira ha sido montado “legalmente” para justificar  impuestos desmesurados e inaccesibles para las familias sin recursos; en esto la autora es irrevocable para condenar la bárbara ley estatal francesa; en páginas implacables de acusaciones, se desmantela una a una las mentiras del Estado y su flagrante desprecio para con los muertos.

Luego de haber pagado con un esfuerzo fuera de serie la construcción de la tumba definitiva para su madre, por un total de 13.100€ a las pompas fúnebres , durante tres años, privándose de alimento, poniendo en grave riesgo su salud, y recurriendo medicamentos proteínicos, la autora se encuentra ahora amenazada de la violación legal de la tumba de su madre y de que su ataúd sea tirado a la cremación ante su imposibilidad de pagarle a la alcaldía de Paris los 7480€ que les debe aún por la concesión funeraria perpetua, no poseyendo más que una jubilación de profesora de español  de 833€.

Este ensayo postula una reforma funeraria radical en materia de precios y modalidades de adquisición de concesiones funerarias perpetuas; para darle entera libertad a las familias que desean que la tumba sea inviolable e imperecedera.

Los precios de las concesiones funerarias que se pagan al Centro de Impuestos, obligatoriamente en un sólo y único pago, sin ninguna posibilidad de plazo, debe ser definitivamente erradicado para aquellos que, siendo religiosos y sin dinero, se vean exonerados de responder financieramente al Estado si no poseen recursos económicos.

La autora postula un cambio radical, ella propone que las familias sin recursos para pagar una concesión perpetua deben obligatoriamente beneficiar de la gratuidad, porque si el Centro de los Impuestos del Tesorero Público exonera de impuestos sobre los sueldos a los pobres, ésta misma exoneración debe extenderse en materia de leyes funerarias.

La incoherencia legal y jurídica del Estado es en este ensayo desenmascarada en su totalidad.

Las leyes funerarias deben imperativamente estar en total acuerdo con los recursos personales del difunto y de la familia; acordándole la exoneración legal a la familia en caso de indigencia probada.

Este ensayo será enviado a todas la autoridades francesas y al Presidente del CEDH, para que se tome conciencia universal de que los muertos merecen otro estatuto y  con el objetivo de que este fraude funerario que el Estado francés impone a las familias pobres y en duelo, tome un fin legal definitivo.

 

Próxima publicación el 15 de octubre de 2021.

Edición bilingüe francés español.

 

Este ensayo es seguido de un segundo volumen titulado:

 

3 AÑOS, 36 MESES, 1095 DÍAS: 400€ MENSUALES: MI TORTURA FUNERARIA FRANCESA

 

LA DONACIÓN GAZMURI : EL ARTISTA, EL DESPRECIO, EL OBJETO DEL ODIO Y EL HEREDERO UNIVERSAL

30 juin, 2021 (08:38) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

LA DONACION HERNÁN GAZMURI AL MUSEO DE ARTE MODERNO DE LA CIUDAD DE PARÍS, POR CLARA, SU VIUDA

EN 1981, LLEGADA A FRANCIA EN 1983. DONACION PISOTEADA POR LA ALCALDÍA DE PARÍS ¡¡¡BRAVO!!! VERGUENZA NACIONAL Y MUNDIAL.

 

EL ARTISTA  EL DESPRECIO

 

EL OBJETO DEL ODIO

 

Y

 

EL HEREDERO UNIVERSAL

 

 

Estimados Lectores de lengua hispana,

He aquí mi manifiesto literario y pictórico que comprenderá dos partes, la primera es una explicación del desprecio hacia mi persona, la segunda, es decirles que acabo de cambiar mi proyecto de publicación, decidí no publicar en España. Tengo la lección de lo que le pasó al pintor Hernán Gazmuri, mi padre y maestro.

Los museos chilenos, en 1983, despojaros ignominiosamente a su viuda , mi madre, de toda su herencia pictórica, un crimen hacia su persona,; un robo manifiesto de los Conservadores de los museos chilenos que violaron el Testamento del pintor Hernán Gazmuri y, aquí en Francia, el oprobio y el desprecio de estos despiadados oficinistas, burócratas de las organizaciones parisinas que pisotean la DONATION GAZMURI que fue regalada por la viuda del pintor, Services Éminents rendus à la France!!!
que fue asesinada cobardemente en París en 2013 por su “Docteur Traître-Tant” y sus 3 cómplices.

¿DEBO AGRADECER  SU IGNOMINIA A FRANCIA?

EL DESRECIO, EL ODIO, EL ASESINATO.

He qui mi manifiesto.
Una breve historia se impone a título explicativo.
Hoy quiero contarles una historia que ya he relatado en este sitio, pero en francés, lengua que no es ni mi lengua materna ni de profesión. No la utilizaré nunca más, por tres razones bien justificadas, no teman, no me alejaré del tema:
1. El desprecio de Francia hacia mis trabajos de pintura y literarios lo soporto desde hace casi cuarenta años. “El desprecio societal y la lucha por el reconocimiento “desarrollado en sus ensayos Axel HONNETH, yo lo he vivido en mi propio ser, y yo respondo a Francia como se lo merece, el desprecio a una artista debe provocar una reacción salvadora, es cuestión de honor el responderles; es una cuestión de RESPETO hacia aquellos que fueron mis maestros: el pintor Hernán Gazmuri en mi formación pictórica, y respeto y reconocimiento hacia mis maestros de la universidad que me dieron conocimientos y clarividencia en materia de literatura.
Yo no soy una sumisa expuesta a sufrir estos carroñeros.
2. en materia de poesía, el escribir en otra lengua que la propia es someterse a un masacre voluntario. La traducción de un poema es ya en sí, para el traductor una traición; el resultado es la escritura de “otro libro”, es cierto que lo que se logra; es la “comprensión del contenido” , pero jamás la música interna del verdadero sentido que conlleva cada palabra escogida en un poema; la poesía es esencialmente un lenguaje sintético que sale de los más recónditos espacios del alma, expresado con un material lingüístico, gramatical y fonético especifico a cada idioma, es esta la principal razón por la cual la traducción de la poesía se destina a un fracaso total. Yo, siempre he postulado que el arte y especialmente el arte del lenguaje literario es genético; por lo cual debemos guardad nuestra lengua materna.
3. la última razón por la cual no escribiré nunca mas en francés es porque mi situación de jubilada en la miseria, como si yo no hubiese nunca trabajado en Francia, cotizado y demostrado mis excelentes competencias como profesora, no fueron recompensadas en su justa medida, fui la cible de carroñeros dela Educación Nacional que envidiosos de mi presencia y de mi quehacer como profesional segura de mi y ejerciendo con soltura, decidieron vengarse no titularizándome para que termine, como estoy, con una jubilación de miseria. Creyeron aniquilarme, creyero que me suicidaría como muchas profesorcitas de español formadas en Francia, pobrecitas sin visión ni carácter, que dan cursos de español “en francés”. Lógicamente que la única vez que me presenté al CAPES interno, estaba en ejercicio naturalmente, incitada por una inspectora española que no olvidaré jamás, luego de pasar la inspección me dijo esto:
“preséntese al CAPES inmediatamente, pero que nos hace, es un escándalo, ¿sola con su madre y no ha pasado el concurso en todos estos años?! Preséntese ahora mismo, las inscripciones están aún abiertas, lo obtendrá con toda seguridad.”
Me inscribí, y los correctores, me plantaron un CERO, algo totalmente inhabitual porque en un concurso, un cero es dado al candidato en sólo dos casos, o da la copia en blanco o no se presenta al concurso.
Asunto cerrado; mi vida profesional como profesora contractual me dio una jubilación de 833€ mensuales, y aquí sigo escribiendo y pintando; arrastrando todas las desventajas que la miseria impone, pero no dejaré jamás mi trabajo de pintora y de escritora, estos carroñeros que esperan que me muera para llegar a atrapar mis trabajos que despreciaron en vida, se encontrarán con un documento notarial bien especifico, ya nombré “mi heredero universal”.
Si no estuviese consciente de mi valor como artista pintora y escritora, no me preocuparía de defender mis cuadros y mis libros y no me preocuparía de defenderlos y dejarlos en buenas manos, para que una vez muerta, los defienda de estos cuervos ávidos y criminales.
En ese entonces, cuando “pasé el CAPES”, yo estaba inscrita en un sindicato que se llamaba “LE COLLECTIF DE NON TITULAIRES”, nos oponíamos a los concursos, y postulábamos para obtener la “titularización” como en Inglaterra, por años de ejercicio y por las pruebas factuales de éxito obtenido con nuestros alumnos. Por supuesto que esta proposición no podía obtener el beneplácito del ministerio de educación, fue rechazada por esta Educación Nacional llena de elementos mafiosos, quiero decir elementos que se refugian en este ministerio porque en otro lugar serían calificados de FRACASADOS INTELECTUALES E INCAPACES. Se aglutinan en la Educación Nacional para esconder su inferioridad, y se defienden con protocolos y concursos; comprendí muy tarde, que perdería mi vida profesional ejerciendo como profesora de español en Francia, es un lugar para MEDIOCRES, más no podía desatarme de este contrato, tenía que mantener mi hogar y mi Mamá que alimentar. Es así como soporté trabajando con la incertidumbre y el miedo permanente de no ser nominada cada septiembre, cuando aquí comienza en nuevo periodo escolar; porque las mediocres que “pasaron raspando con un 4/20 el CAPES son prioritarias!” algún día les contaré lo que dice el “rapport du CAPES espagnol”, (redactado por los inspectores en su lengua materna, el francés naturalmente) ¿qué dice como fundamental? Que titularizan profesoras que escriben con faltas de ortografía, no menos de 20 por página, es lo que dicen los INSPECTORES; ¡¡¡¡por escrito en el INFORME DE CAPES ESPAÑOL, profesoras de español en ejercicio que “¡¡¡no saben redactar una explicación de texto!!!” esas ganan su vida tranquilamente y hoy en día están gozando de jubilaciones confortables.
4. Y, la última razón de haber dejado para siempre el francés se deriva de la anterior causa, ser autodidacta en una lengua prestada, aunque no se cometan faltas de ortografía groseras, habrá siempre algo que corregir, en el pasado pagué correctores, uno excelente que vive y ejerce en Strasbourg, otros pésimos en París. En mi situación de miseria no vale la pena un sacrificio suplementario. Mis lectores no serán jamás los franceses y dado que soy autora independiente y que soy una pésima comerciante, me sometería a nuevas estafas, como las que sufrí en 2005 y 2011, ahora me quedo tranquila, las malas experiencias del pasado deben servir para no volver a cometerlas, sino es dar muestras de ser CRETINA, cosa que no soy.

Creo haber dado lo fundamental de mi manifiesto.
A titulo de recuerdo niunca esta demás, ha aquí “LA DONATION GAZMURI” que mi madre CLARA, la viuda del pintor hizo donación a este maravilloso pasi, ella quiso salvar estos cuadros, de su herencia personal que le dejo mi padre, ella decidió ofrecerlas a Francia, bajo el sabio consejo del Académico RENÉ HUYGHE que dijo: “gracias a esta donación Francia completa sus Coleciones de la Escuela de Paris”.
la obra mas importante del pintor Hernán GAZMURI fue incluida en “COLLECTIONS DE L’ECOLE DE PARIS” junto a su maestro André LHOTE.
Esto es lo que el antiguo alcalde Delanoë y la actual alcaldesa A. H. PISOTEAN con parsimonia y sin castigo, escondiendo la donación y tergiversando mis pedidos y reclamos con una nueva ignominia y calumnia contra mi persona.

Chile usurpó a la viuda del pintor, mi madre, contra la ley, de toda su herencia pictórica; ultrajando el TESTAMENTO escrito del pintor, y la ley de la propiedad intelectual; ignominia inmunda de ese país que hui hace cuarenta años y del que me desaté renunciando a la nacionalidad chilena, y aquí en Francia debo denunciar públicamente este oprobio del DESPRECIO emanando de la alcaldía de París.

Aclaración oficial hecha, mi documento notarial donde nombro mi único heredero universal será el alambre de púas contra estos carroñeros profesionales.

He dicho.

Nadezhda Carmen Gazmuri-Cherniak

 

 

 

 

 

UN POEMA DE AMOR DE PEDRO PRADO

22 juin, 2021 (08:56) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

         UN POEMA DE AMOR

 

           DE PEDRO PRADO

 

 

XVI

“Para mejor amarte no te amara;

renuncié yo a tu amor, más nunca al mío.

Tu viste en mi actitud solo un desvío,

un alma absurda y una mente rara.

Y la más pura lagrima llorara,

sufrí de la locura el desvarío;

de la muerte temida, sentí el frio;

mi angustia verde, y de crecer no para.

Te vi tan bella que te quise pura;

te vi tan dulce, que te quise buena;

te herí para apararte de mi lado;

para mi dejé solo la amargura;

hui el amor para escoger la pena;

Y en honda soledad mejor te he amado.”

                           Pedro Prado (1886-1952)

                  Esta bella ciudad envenenada

         

 

Estimados Lectores de lengua hispana,

Hoy quiero hacerles un regalo, este anuncia lo que mi breve ensayo crítico, revela como fundamental, siendo Rumí, Figura de este poema XVI, en Esta bella ciudad envenenada del Poeta chileno Pedro Prado.

No hay mejor y sublime regalo que ofrecer un poema, es un regalo intraducible, en ninguna lengua este poema de amor puede ser traducido; es cierto que un buen traductor podrá lograr, sin deteriorarlo en demasía, que una “comprensión del tema” sea clara y que  “el mensaje poético” sea superficialmente comprendido; es cosa más que sabida que la traducción traiciona al autor, más aquí la traición es abisal, y ella opera en la metamorfosis total del poema, terminando  en el escrito de otra cosa, que ya no es nada.

La poesía a diferencia de la creación en prosa dará en la traducción, la comprensión limitada del “tema” y de sus ramificaciones, que en los términos en que la exégesis se ejecuta actualmente, ya han sido dadas de baja acercamientos errados, gracias todos los trabajos de tantos soberbios exégetas del siglo XIX que dejaron inoperantes lo psicológico y lo biográfico.

Es mal signo el observar que en Sudamérica sigan aferrados a estas dos únicas formas de análisis para este poema. Es francamente risible el ver que se escapan precisamente cuando llegan a este poema; limitándose  a al acto reductor de los elemento estéticos explicados con “frases perifrásticas”, escapándose de lo esencial del poema de Pedro Prado, para desviarse hacia lo general; impidiéndole al lector el adherir simplemente, sin pedantería; porque la comprensión de la poesía excluye estos vicios, y exige el acercarse por los elementos “sensibles”, estrato capital en materia de arte poético, al igual que  en  la música, donde toda palabra exegética se diluye en las ondas sonoras que transmiten  la resonancia sublime.

A pesar de esta dificultad, todo comentador de textos profesional ya sea este profesor o crítico, o ambos a la vez, tenemos la tarea de hacerlo accesible superando todas las dificultades, claro es que únicamente para lectores de nuestra lengua.

Traducido al francés es el acto de traducción se transforma en masacre. El subjuntivo aquí empleado reciamente por Pedro Prado irrumpe en el primer verso de este soneto de amor, verso fulgurante y definitivo que da el tono y el significado de la renuncia al amor; enunciado lingüístico de un poder eterno, generador de una incomprensión  en todos los registros del conocimiento, la incomprensión de este poema es de orden lingüístico, filosófico, estético y psicológico, (cuando se aventuran a realizar la exégesis empleando la psicología) y para los especialistas, en donde me sitúo, he observado que a pesar de su evidente erudición, todos continúan desvirtuando su esencia; escapándose a lo puramente formal, análisis métrico, y peor aún, utilizando este poema de amor, como exégesis biográfica, rebajándolo a la pura anécdota, a obscuras desviaciones patológicas del espíritu, cuando lo que verdaderamente revela, si de “tema”, quiera hablarse y que yo llamo “mensaje poético,” es el afán supremo del poeta por hacer existir el amor en un desmesurado nivel de exigencia, y que es escondido virilmente,

La renuncia al amor será siempre cuestión incomprensible, al alcance de unos pocos privilegiados del espíritu.

Espíritu que, en esta época de artefactos virtuales infernales, han hecho desaparecer de la tierra.

La lengua francesa destruye con perífrasis este único e inigualable poema de amor, menoscabándolo con la traducción, y disminuyéndolo en fuerza, profundidad y alcance poético, que sólo el español lleva en su esencia.

Nadezhda Gazmuri-Cherniak

 

 

LAS MUJERES VIEJAS QUE ESCONDEN SU EDAD

24 mai, 2021 (12:33) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

LAS VIEJAS –  GOYA

      LAS MUJERES VIEJAS

 

 

 

   QUE ESCONDEN SU EDAD

 

Estimados Lectores,

Siempre y ayer también me quedé estupefacta ante las viejas verdes que se quitan la edad o que la esconden al público, como si no fuera visible nuestro envejecimiento, y me incluyo en la categoría de “viejas”, solo que yo no pertenezco a esta nueva categoría de idiotas que se creen jóvenes eternas y lo peor es que se ridiculizan en público.

El escritor Ernesto Sábato dijo que en vez de esconder la cédula de identidad y los relojes ¡las viejas deberían esconder los espejos! ¡Una verdad absoluta!

Yo recibí la mejor lección de vida de Mamá, un día conversando sobre este tema me dijo: “cuando una mujer envejece, lo primero que debe hacer es “hacerse discreta”.

Yo le pregunté “y, ¿dime Mamá, cuando es el momento de hacerlo?”

Mama me respondió: “Eso lo sabe toda mujer, tú también lo sabrás cuando ese momento llegará”

Yo lo supe, el día en que el médico traidor y sus cómplices me la mataron, el día en que la enterré mi juventud desapareció, yo tenía justo 59  años, tres meses después, al fin de enero 2014 cumplí mis 60 años. Llegó la edad avanzada que se adhirió a mi tragedia más absoluta y fue entonces cuando corroboré la enseñanza de mi madre.

A los 60 años ninguna mujer puede decir que “es joven.” Los 60 años son ya la entrada en la vejez, aunque esta avanzada edad no sea aún un estrago demasiado visible.

Yo sigo la enseñanza de Mama y la lección de Rembrandt en sus autoretratos.

Jamás he ocultado mi vejez, las actrices y mujeres de notoriedad que se esconden y se atreven a decir que preguntarles la edad es una “vulgaridad” se ridiculizan en público y en privado, como no ven que esta actitud es tan grotesca como cuando nos dicen:

“Si no es indiscreto

¿qué edad tiene?”

Aquí en Francia viven en confusión total; ha contribuido la locura de algunas que se ligan de “amistad” y se casan con señores 25 años más jóvenes que ellas, me refiero a esas viejas de mi edad. Ahora todas se creen autorizadas para ridiculizarse públicamente, lo que deberían hacer es esconderse, es decir “hacerse DISCRETAS,” vale la enseñanza de Mamá.

El otro día en el banco haciendo unos fastidiosos tramites, una tontita me dijo, Deme el número de su smartphone…”

No tengo, le contesté.

¡¿No tiene smartphone?! Exclamo espantada, ¡qué raro!

Pero señora, ya soy vieja, tengo 67 años, no necesito smartphone, eso es para los adolescentes o para los profesionales de servicios públicos.

Entonces me dijo otra idiotez más grande aún

“A los 67 años se puede hacer aún muchas cosas”

¿Señora, y de dónde saca esta conclusión? Yo le he dicho solamente que soy vieja para tener y pagar un smartphone, yo no le he dicho una sola palabra de mi trabajo ni de mis actividades, limitémonos al uso del smartphone, tener una cuenta bancaria de la que me libraría ipso facto, no incluye la obligación de tener un smartphone, además lo detesto.

Fin de la “conversación existencial” sobre la edad en el mostrador del banco.

Aquí en Francia  vivimos sumergidos cada día en una falta de juicio crítico, en suma en una detestable estupidez nacional y en todo orden de cosas.

 

Nadezhda Gazmuri-Cherniak

 

 

 

 

 

 

 

¿LA MUERTE?

23 mai, 2021 (05:38) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

2013

 

      ¿LA MUERTE ?

 

« Celui qui a été ne peut plus désormais ne pas avoir été : désormais ce fait mystérieux et profondément obscur d’avoir vécu est son viatique pour l’éternité. »

L’irréversible et la nostalgie –

                                                           Vladimir Jankélévitch

 

 

Estimados Lectores de lengua hispana,

¿La muerte como fuente de inspiración poética? Tenemos en nuestro registro español y ustedes lo saben bien, ejemplares grandiosos, y nuestra literatura de todos los siglos lo demuestra, no hay buen escritor y filósofo que no se haya dedicado a su análisis “estético”; sin embargo, en la filosofía encontramos pensadores que analizan y definen la muerte como un “escándalo”, yo adhiero enteramente a esta línea de pensamiento que no es una teoría sino un acto de “convicción sensible”.

Mi breve artículo no tiene la intención de dar un análisis de la muerte, desde mi adolescencia no he hecho más que estudiar, analizar, pensar, discutir y …aborrecerla, hasta que llego el día del duelo por la muerte inesperada de mi padre, cuando tan joven y recién graduada de profesora, yo más necesitaba de él; y luego el día del asesinato de Mamá, aquí en Francia, en Paris, ¡el tan adorado Paris!

Los estudios, escritos, análisis y poemas sobre la muerte estallaron en mil pedazos, “la muerte natural” creyentes o no, la asumimos todos, sin embargo si tienen la intención de lanzarse a analizar la muerte, les recomiendo cautela, hay diferentes tipos de muerte, suponiendo que ella sea “natural;”  no es lo mismo morir tranquilamente, o bien enfermos, pero dopados  gracias un fuerte remedio sedante que impide

el sumirse en  dolores insufribles que, soportar la mano asesina que da la muerte con el preámbulo de una tortura previa que hará agonizar sumidos en dolores indecibles.

Por haber vivido el horror sin límite que impuso un médico sádico y asesino que quiso intencionadamente hacer sufrir a mi madre rehusándole los cuidados que su infarto necesitaba y exigía con una urgencia vital, y porque la vi sufrir y necrosarse al vivo sin ayuda médica de nadie, bajo la risa sádica del segundo cómplice asesino, ¡que me indigno cuando escucho y leo que la MUERTE es tomada como “una obra de arte!”

Es la VIDA la que debe ser vivida como “obra de arte”, si está este programa en nuestras posibilidades ; el solo hecho de que nuestra Madre y nuestro padre nos hayan dado la vida y que a lo largo de tantos años nos hayan ayudado a sobrepasar enfermedades, ganar cada vez contra la muerte saliendo victoriosos gracias a ellos de esas “pequeñas muertes” que fueron nuestras enfermedades de la infancia, es ya “una obra de arte” de la VIDA que ganó cada vez contra la muerte ineluctable.

¡Ay! como me acuerdo de mi madre que cada vez que yo llegaba a ella con una nueva dolencia, porque de pequeña yo era frágil en extremo y pasaba enferma, “Mama me duele la garganta, tengo fiebre” y ella exclamaba desesperada:

¡Ay por Dios, ¡Ya, otra vez mi niñita  enferma!”

Ahí estaba Mamá, acostándome, echando manos a termómetro, médico y antibióticos con los que, a horas precisas, ella ponía el despertador para darme el comprimido al alba.

¡Si, señoras y señores, cada enfermedad exige una lucha encarnizada por la vida y por poner puertas afuera la muerte como persona non grata en nuestra casa porque intrusa y asesina!

No hay nada más trágico y horrible que la muerte.

Ya no me interesa el análisis filosófico, dejé de interesarme por esos escritos y tanteos ridículos de los que autoritarios desde sus puestos de catedráticos lanzan dictados a la humanidad.

¡Estos ejemplares no se han confrontado a la tortura y muerte de sus madres, ya los quisiera ver en tal encrucijada!

No tendrían aliento para decirnos que LA MUERTE es acogida como una “obra de arte”.

El deber de todo ser humano, aunque no sea artista, es el de por lo menos ensayar de ser un hombre o mujer dignos, el arte serio y verdadero es cosa aparte y rara, el arte no es dado a todos, es un don exclusivo al que no todos tienen acceso de nacimiento, en cambio, ser honestos y buenos, es una obligación que se debe exigir de la raza humana.

Tal como nos lo dice nuestro poeta Antonio Machado, al final de nuestro camino poder decir orgullosos de nuestro quehacer en la VIDA:

“[…] Soy en el buen sentido

De la palabra bueno.”

Nadezhda Gazmuri-Cherniak